La loi Evin a un parrain (manquait plus que ça)

Il y a deux façons d’encadrer l’alcoolisme. La bonne ou la mauvaise. L’éducation vs. la répression. Poutine, président de toutes les Russies, a décidé de frapper d’interdiction la moindre mention du nom d’un produit contenant de l’alcool, sans distinguer le vin des alcools forts (pour les alcools forts, + 36 % de taxes supplémentaires, tiens, prends ça, ivrogne).
Comme en France, vous demandez-vous ? Oui.
Le modèle est reproductible et tant qu’à faire dans le front bas, notre loi Evin à nous est parfaite. La grosse voix et le flou. La grosse voix pour faire peur aux enfants et le flou pour ouvrir la porte à toutes les tartouilles possibles. En France, avec vingt ans d’expérience, on s’y connaît. On a vu la courbe de consommation du vin s’effondrer et celle des anxiolytiques monter en flèche. La suite ici

À lire aussi