Festival de Cannes, 36 heures dans une boîte de nuit

Un salon professionnel qui fait semblant d’accueillir le public, nous voilà au Festival de Cannes, 65e édition. Il y a de la misère dans cette histoire. Tous ces gens qui crament leurs allocations familiales pour tenter d’apercevoir une vedette qui s’en fout, perchés qu’ils sont sur leur petit escabeau pliant, à quoi s’ajoute tout ce demi-monde plus ou moins friqué, mais pas toujours équipé du badge qui va bien. Ceux qui ont loué une Porsche à l’aéroport pour faire genre. Celles qui n’en finissent plus avec leur chirurgien esthétique. Le tout brassé à faire peur par une organisation d’un très parfait cynisme dans une ambiance bas de gamme…lire la suite

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