Nuance et demi-teinte ne font plus partie depuis longtemps du principe même de la communication. « La viticulture bourguignonne est aux abois », c’est la première phrase d’un communiqué de presse émis par le CAVB. Bigre. Que se passe-t-il ? Les « naturistes » auraient-ils fait main basse sur les stocks de sulfites ? Un autre Chinois, annoncé par ses dollars, a-t-il l’intention d’acheter le clos de Vougeot ? Un orage de grêle installé à demeure dans le ciel clair de la côte, de Nuits à Beaune ?
Rien de tout ça. Voilà que des instances américaines ont demandé l’autorisation d’utiliser les mots « clos » et château », ce qui aux yeux des Bourguignons et de leurs collègues bordelais est une sorte de coup de poignard dans le dos. Je vous vois bailler d’ennui. Il y a de quoi…lire la suite