Vu de loin, c’est le genre d’histoire qui ne m’enthousiasme guère. Sauf que. De quelque chose qui a l’air d’une embrouille à l’américaine en mode do-it-yourself, on passe à quelque chose d’assez génial, à partir du moment où l’on se penche sur l’affaire.
De quoi s’agit-il ?
De la possibilité offerte à l’amateur de réaliser son propre vin. Pas à partir de poudre de perlimpimpin, mais bien à partir de raisins provenant d’une douzaine de parcelles réparties sur quelques appellations bordelaises du Médoc et du Libournais…lire la suite