La gastronomie comme elle est arrangée par la pauvre ministre Pinel et ses acolytes est une cuisine immangeable, une vieille sauce à base d’hypocrisie et d’idéologie. Une fois encore, la « Fête » de la gastronomie s’est avancée sans qu’à aucun moment les trois petites lettres qui composent le mot vin n’aient été imprimées. Dans son édito, Pinel surfe sur les bons sentiments et le politiquement correct, elle se tortille pour surtout ne pas écrire « vin ». Et ce n’est pas Thierry Marx, cuisinier et parrain de l’opération, qui allait faire quelque chose, il n’est pas concerné, il ne boit pas de vin.
Comme si les banquets prônés par la dame Pinel se passaient à l’eau. Pfff.
Ces gens sont fous. On ne peut plus continuer à gloser sur l’hallucinante propension française à se tirer dans le pied en poussant des petits soupirs fatalistes comme si ce n’était pas de notre faute. Ça suffit. Ce n’est pas une déviance psychologique, c’est une action…lire la suite