Conçue par Maximilien Riedel, la gamme « O » propose depuis maintenant dix ans des verres à vin sans pied, moins fragiles, adaptés à la fréquentation du lave-vaisselle. Elle vient tout juste de s’enrichir d’une série de trois verres « Big O », spécifiquement adaptés aux cépages les plus dégustés au monde, syrah, cabernet-sauvignon et pinot noir (de gauche à droite sur la photo ci-dessus).
Ils sont disponibles en boîte de deux verres conçus pour le même cépage (23 €) ou en set incluant les trois propositions (34,50 €). Hommage à New York, et inspirée par cet art de vivre très urbain que la ville ne cesse de réinventer (tout comme la gamme « O » en son temps), la carafe à décanter Apple en photo ci-dessous convient quant à elle à tous les types de vins (28,60 €).
Pour les vins, je ne suis pas vraiment favorable à ces formes en gobelet.
Quand on remarque la peine qu’ont les gens à boire correctement avec des verres sur pied, nombreux sont ceux qui tiennent le verre par le calice !
Non, un verre sur pied se saisit par la tige (entre pied et calice).
C’est élégant – cela ne réchauffe pas le vin – cela ne laisse pas de marque sur le calice.
J’ai une collection de photo des grands de notre monde qui n’ont pas de “Savoir-Boire”, un classeur plein de rois, reines, barons, baronnes, chefs d’état, acteurs, souvent propriétaires de domaines et châteaux viticoles, auxquels ce rudiment à table n’a pas été inculqué. L’habitude étant prise, ils ne se corrigent plus.
Ce n’est donc pas avec ce type de verre que l’on ira vers le progrès. Mes petits-enfants auxquels le savoir-boire et autres bons usages à table ont été enseignés ont plaisir à me dire, lorsqu’on les invite au restaurant : “Philippe, à la table à côté, ils n’ont pas lu ton livres”. Nous savons donc de quoi nous parlons !
entièrement d’accord!