Le saké de Nakata

Star du football international qui a pris sa retraite après la Coupe du monde 2006, Hidetoshi Nakata
a d’abord voyagé dans le monde entier avant de s’intéresser à la culture japonaise sur laquelle on l’interrogeait beaucoup, mais qu’il connaissait peu, le ballon rond ayant requis très jeune toute son attention. Au cours de ce retour aux sources des traditions et de l’artisanat de son pays, Nakata s’est découvert une passion pour le saké qui l’a conduit à créer sa propre étiquette, « N », avec l’envie de
« proposer le meilleur saké du monde, un saké qui remporterait tous les suffrages à la dégustation.» Et un saké de niveau international. Ultra premium, le saké « N » fera son apparition sur le marché français la semaine prochaine via Baron Philippe de Rothschild France Distribution (RFD).

Cette arrivée dans le portefeuille de RFD « témoigne de son savoir-faire sur les circuits de la distribution sélective, notamment les cafés-hôtels-restaurants de prestige, et de la passion du discours produit qui l’anime. C’est aussi la toute première fois que Baron Philippe de Rothschild France Distribution met en marché une marque japonaise, pays à la culture et aux traditions millénaires. » Respect des traditions, excellence, raffinement sont des valeurs partagées de part et d’autre de cette collaboration exclusive. Nakata a goûté plus de 1000 variétés de saké et visité près de 200 brasseries avant de créer « N » avec l’un des brasseurs les plus prestigieux du Japon, Takagi Shuzo (préfecture de Yamagata), réputé pour sa production artisanale et son saké Juyondai, ce qui signifie 14e génération.


« La culture japonaise est considérée comme une manière de vivre à part entière. Dès que l’on commence à s’imprégner de cette culture, c’est un processus sans fin, à l’instar de la calligraphie et de la cérémonie du thé, il n’y a pas d’objectif à atteindre, mais simplement un chemin à suivre. J’estime que la philosophie de la mentalité japonaise est de toujours s’efforcer de mieux faire, sur une route continue et sans fin qui mène à la perfection, mais quelquefois les Japonais ne sont pas toujours très bons côté ventes et marketing. J’espère quant à moi pouvoir soutenir ces traditions et devenir un porte-parole. » Distribué exclusivement en dehors du Japon, l’idée étant d’accompagner l’industrie locale sans la concurrencer, le saké « N » a fait l’objet d’une production très confidentielle de 800 bouteilles, dont 100 sont réservées au marché français (au prix conseillé de 1 300 €).

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