La France va mal. Ce n’est même pas une information, chacun peut mesurer la cata à l’aune de ses propres préoccupations. Dans cette ambiance désastreuse, on se demande qui, quoi aurait le culot d’afficher une belle santé. La crise, déclenchée à la fin de l’été 2008 et dont on ne sait plus très bien si elle a cessé ou si elle est réservée aux seuls Hexagonaux, porte certainement la responsabilité de bien des déconvenues. Le monde du vin n’y échappe pas, qui y ajoute des épisodes météorologiques très inopportuns. La position prééminente du vin français dans le monde ne lui a pas épargné en effet les revers les plus brutaux depuis 2008. Le dernier trimestre de cette année-là et les deux premiers, au moins, de 2009 ont vu des marchés se fermer, des commandes s’annuler, des stocks s’accumuler. Lire la suite sur le blog bonvivant.