Les instances professionnelles de la Filière Vin ne sont pas connues pour la virulence avec laquelle elles interpellent les pouvoirs publics. Lesquels se sont habitués à ne pas s’en mêler du tout, l’abandonnant à ses prédateurs d’élection, les prohibitionnistes très habitués à manipuler les lois en place.
C’est fini, les politesses de salon, les anaphores en boomerang volent bas.
Bernard Farges, président du CIVB* et de la CNAOC**, prend le micro et balance à fond. C’est l’ANPAA*** qui morfle.
J’ai trouvé ça sur le site LePoint.fr, mis en ligne par Jacques Dupont et c’est très bien….lire la suite sur le blog bonvivant