Comme chaque année, il faut se demander qui va en vouloir.
Les Américains semblent tenir la corde sur le 2015. Grand marché d’amateurs curieux, les USA se positionnent déjà via quelques gros marchands de la côte Ouest (ils donnent le ton) et de la côte Est (ils font les volumes).
Londres, comme toujours, explique qu’il va falloir être très light sur les augmentations. Comme la livre ne se tient pas très bien face à l’euro, si le vote du 23 juin sur le Brexit ne se passe pas comme il faudrait, le plongeon risque d’être sévère.
On nous serine en boucle que la Chine serait atone, ce que nous ne croyons pas. Le repli des grands premiers crus dans les ventes aux enchères n’a aucun impact sur les ventes en primeur…