Quand Roger Zannier visite le château viticole Saint-Maur à Cogolin pour la première fois, il n’est pas comme nombre de ses pairs à la recherche d’une « maison de vacances exceptionnelle avec piscine ». Non, vingt ans plus tôt, en 1991, il avait investi dans un beau domaine du Douro portugais, la quinta de Pessegueiro où il produisait des vins secs sous la nouvelle (1979) appellation Douro. Des vins élaborés sur le conseil de Jean-Michel Cazes (Lynch-Bages) par la célèbre et très qualitative Quinta do Noval. Le vin, sa production, son commerce, il savait ce que c’était, il n’a pas découvert les vignes du château Saint-Maur au moment de signer chez le notaire comme cela arrive parfois. Et le voisinage avantageux de Saint-Tropez agissait plus comme une opportunité de marketing que comme un aimant people. La belle histoire était là était là.