Mes magnums (76). En discret hommage et soutien à Hubert de Boüard

Château Angélus, saint-émilion grand cru 2014

Pourquoi lui
Hubert de Boüard, l’auteur de ce vin, a pris l’habitude de qualifier chaque millésime d’un mot. Pour 2014, c’est « L’Indien ». Ce n’est pas à cause de quelque arôme épicé, il s’agit de l’été, l’été indien qui s’est installé peu à peu pour donner, in fine, un octobre « doré, chaud, magnifique. » Peaufinage des maturités, vendanges repoussées, vin raffiné.

On l’aime parce que
Mille raisons. Par quoi commencer ? L’opiniâtreté d’Hubert de B. ? L’immense qualité d’Angélus sur une longue période, signe de talent et de terroir ? L’intelligence du processus de transmission à la génération montante ? La grande implication dans le développement de l’appellation ? Les sujets abondent qui, tous, disent la même chose. Reste le vin, épatant, comme toujours. Ici, dans un millésime peut-être un peu plus souple que 2015, le temps le dira.

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