Les rosés de l’été qui commence (mon Top 5)

Longtemps, je me suis compté dans les rangs de la petite troupe lamentable qui voulait que les rosés ne soient pas des vins. C’est une longue visite au domaine de la Bégude, à Bandol, qui m’a décillé. Là, Guillaume Tari m’a fait goûter des rosés surprenants, dont un qui avait douze ans d’âge. Ce qui distingue un grand vin d’un petit, c’est sa capacité à durer. Nous y étions. Plus tard, j’ai découvert quelques merveilles en côtes-de-provence, à Peyrassol notamment, mais pas seulement. Les rosés bio de Château Gassier ont fait le job aussi. J’ai commencé alors à en conserver en cave et aujourd’hui, pour mon plus grand plaisir, je bois des rosés qui ont entre deux et dix ans d’âge. Parfois, ça ne marche pas, certains vins n’ont pas tenu la distance aussi courte soit-elle. La plupart du temps, je débouche des splendeurs. Voilà mon Top 5 du moment, à ce stade de l’été balbutiant.

 

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