Les primeurs ont commencé et voici, entre autres approches, pourquoi on ne va parler que de ça pendant un certain temps.
2,36, ce sont les millions d’hectolitres exportés en 2012 (+ 9 %), ce qui équivaut à 315 millions de bouteilles
et à 2,28 milliards d’euros (+ 16%). Si la Chine est la première destination en volume, la Grande-Bretagne
devient la première en valeur.
4, c’était en septembre dernier la date de début de vendanges pour les blancs secs dans les zones
les plus précoces. Le 24, c’était les rouges.
4,3, c’est ce que représente en milliards d’euros la commercialisation des vins de Bordeaux en 2012
(5,55 millions d’hectolitres, soit 740 millions de bouteilles)
5,2 millions d’hectolitres, c’est le volume estimé de la récolte 2012 (pour mémoire, c’était 5,7 en 2010
et 5,4 en 2011).
15 hectares, c’est la taille moyenne des exploitations du vignoble bordelais.
23, c’est le nombre de bouteilles de bordeaux vendues dans le monde chaque seconde.
39, c’est le nombre de caves coopératives.
70, c’est le pourcentage de la production qui est commercialisé par les 300 maisons de négoces.
7 200, c’est le nombre de viticulteurs (déclarants de récoltes dans l’une des 60 AOC)
55 000, ce sont les emplois directs et indirects générés par le vin.
110 200 hectares, c’est la superficie du vignoble. Quatre exploitations sur cinq en Gironde sont viticoles.
Sur la surface consacrée aux cépages rouges (89 % des vignes), le merlot tient 63 % de la place, suivi par
le cabernet-sauvignon (25 %), le cabernet franc (11 %), et d’autres (malbec, petit verdot…) sur le 1 % restant.
Les 11 % du vignoble réservés aux blancs sont partagés par le sémillon (53 % de la surface), le sauvignon (38 %),
la muscadelle (6%) et quelques autres, ugni blanc, colombard, merlot blanc (3 %).
Source : CIVB