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Mes magnums (79) : un bourgogne, très bon, pas très connu

Il est grand temps d’aller se faire voir ailleurs que chez les grands noms du vignoble, largement inabordables quand ils ne sont pas juste introuvables. La maison Champy, fondée en 1720, tient commerce en face des Hospices de Beaune, aucune chance de se perdre. Souvenons-nous que ce millésime 2015 a particulièrement souri aux beaunes premier-cru.

Mes magnums (78) : la Bourgogne en mode normal

Le double avantage des domaines de Bourgogne moins connus, c’est qu’ils ont du vin à vendre et le pied sur le frein des tarifs. Et puis, ayons de la tendresse pour ceux qui vinifient vingt-deux appellations différentes sur quatorze hectares.

Mes magnums (77) le grand vin d’un rebelle

Aimer gourt-de-mautens pour la vie, c’est facile. Il suffit d’y avoir été une fois (deux, c’est mieux) et d’avoir bavardé avec Jérôme Bressy en regardant la colline, ses considérations sur le style, d’où il vient, tout ça.

Mes magnums (76). En discret hommage et soutien à Hubert de Boüard

Hubert de Boüard, l’auteur de ce vin, a pris l’habitude de qualifier chaque millésime d’un mot. Pour 2014, c’est « L’Indien ». Ce n’est pas à cause de quelque arôme épicé, il s’agit de l’été, l’été indien qui s’est installé peu à peu pour donner, in fine, un octobre « doré, chaud, magnifique. » Peaufinage des maturités, vendanges repoussées, vin raffiné.