Accueil Blog Page 592

La place de Cannes

Mercredi prochain, pour le monde du cinéma, c’est un peu l’heure des primeurs. Buzz, consensus
et polémiques, la 65e édition du Festival de Cannes n’échappera sans doute pas à l’agitation habituelle. Tant mieux pour nous. Entre les présidentielles et les législatives, un peu de mode, de têtes d’affiche et
de cosmétiques ne saurait nuire. Mais si le festival est une belle vitrine, c’est aussi un marché pour les films du monde entier. C’est en coulisses que le plus important se passe. Le cinéma est (comme le vin) une affaire sérieuse qui doit pouvoir se discuter à l’abri des excès de la Croisette. Fournisseur officiel du Festival depuis 21 ans, la maison Baron Philippe de Rothschild réitère cette année le rendez-vous élégant qu’elle a créé en 2011. Son luxueux Mouton Cadet Wine Bar sera donc à nouveau présent sur le toit du Palais des festivals, en surplomb de la baie. Des grands vins et des grands acteurs (l’année dernière,
on y croisait Robert de Niro et Faye Dunaway), ça donne forcément un lieu très exclusif. Hors les soirées, dîners et interviews auxquels vous seriez conviés, le bar n’est accessible que sur rendez-vous.

L’éclosion du vin

Unique foudrerie française totalement indépendante, la maison François est devenue leader mondial
dans la fabrication des cuves et foudres en bois sur-mesure en seulement 10 ans. Créée en 2002 à Brive la Gaillarde, dans le Limousin, elle est dirigée par Laurent Lacroix, fils de viticulteur bordelais, œnologue
et désormais producteur de vins. Prouesses technologiques issues du savoir-faire de ses «Meilleurs Ouvriers de France», les deux innovations qu’elle propose aujourd’hui tiennent des propos différents aux producteurs. Pour Rubicuve*, première cuve cubique en bois au monde, il s’agit d’abord d’optimiser le volume dans les chais. Comparée à la cuve tronconique ronde, elle permet un gain de 27% d’espace.
Un choix rationnel, donc, que ce nouveau concept «carré» qui ne modifie en rien les qualités de fermentation et d’élevage des vins. Réalisée sur-mesure dans des volumes allant de 20 à 120 hectolitres, cette cuve peut bénéficier de toutes les innovations proposées par la foudrerie (fond anti-rétention, trappe frontale ras de fond…). 
Impressionnant ouvrage en chêne, l’ovoïde cuve 0’Wine* (voir photo ci-dessus) repose quant à elle sur les principes biodynamiques. Ses formes galbées favorisent un vortex permettant la mise en suspension des lies qui assurent une protection accrue du vin contre l’oxydation et lui apportent une plus grande complexité aromatique et gustative. Conçue en production limitée et numérotée, cette cuve de 25 hectolitres vaut 25 000 € hors taxe.

 

* Un jeu concours a été organisé au sein de la foudrerie pour trouver à ces deux derniers nés un nom original adapté au marché international et en lien étroit avec leur forme.

Confusion de doisys !

Dans nos commentaires et notes sur les primeurs 2011 parus dans Terre de Vins et TAST, le commentaire de Château Doisy-Védrines a été attribué au Château Doisy-Daëne et, donc, Doisy-Védrines a été oublié.
C’est dommage, rétablissons chacun dans sa vérité.

Les vrais commentaires sont les suivants :

Château Doisy-Védrines – 16 -17/20
Beaucoup de richesse aromatique, vin large, gras, très fruité et tendu, de belle élégance. Vieillissement assuré.

Château Doisy-Daëne – 16-17/20
Anormalement riche en sucre résiduel pour le cru, très grand format, pas encore pleinement expressif de son origine.

Dont acte, et en présentant nos excuses les plus plates à tous ceux que cette confusion a peiné.

Emilio Perez à Lynch-Bages

«Perpetual Motion», c’est le nom de l’exposition qui sera inaugurée le 16 mai au Château Lynch-Bages. Comme chaque année depuis 1989, Jean-Michel Cazes a invité une figure de l’art contemporain à montrer son travail dans les anciens chais de sa propriété. Après Arnulf Rainer (2006), Günther Förg (2007), Hervé di Rosa (2008), Ryan Mendoza (2009), James Brown (2010) et Antoni Tàpies (2011), c’est Emilio Perez qui expose cette année. Représenté par la galerie Lelong de New York, ce peintre et dessinateur né en 1972 aime à dire que sa peinture est influencée par le rythme de la musique, qu’il écoute en travaillant, et les mouvements de l’océan. Il peint sur panneau de bois (laque, latex, acrylique) avant de retirer de fines épaisseurs de peinture au moyen d’un instrument coupant se présentant sous la forme d’une lame montée sur un crayon en aluminium. Les surfaces ainsi incisées révèlent alors les couches colorées inférieures, d’une autre teinte. Cette œuvre abstraite, intuitive et très graphique sera visible du 17 mai au 31 octobre, sur rendez-vous.

Ci-dessus : Emilio Perez, Keeping Down Confusion, 2011.
Acrylique et latex sur panneau de bois, 152,4 x 137,2 cm, #W13009

Qu'il est beau, mon château. Chapitre 2

Deuxième volée de châteaux vinicoles chinois. Dans un doux mélange entre château-fort et prison de Rikers Island, entre parc d’attraction et haute tradition. C’est immense, énorme, exagéré. La beauté est-elle dans cette démesure ?


Le château-fort en position dominante, le village de pêcheurs au bord de l’eau, les traditions sont respectées. C’est le château Treaty Port.

Le château Rong-Zi. Vu de l’extérieur, on dirait une prison.

Le château Rong-Zi. Vu de l’intérieur, c’est la Cité interdite.

Vin + vitriol


On en rira (jaune) ou pas, c’est au choix. Si vous n’avez pas eu l’occasion de lire l’édition d’hier
de Sud Ouest, apprenez que le Tribunal correctionnel de Bordeaux se penche aujourd’hui sur une affaire
de vin «remonté» à l’acide sulfurique concentré, rien que ça. Douze personnes sont poursuivies pour fraude et détention de produits destinés à corrompre (sic) des boissons destinées à la vente. Trop d’alcool et pas assez d’acidité dans le millésime 2003 abîmé par la sécheresse et les orages ont conduit les vignerons concernés à injecter dans leur vin ce qu’on appelle communément du vitriol, qu’ils ont estimé plus efficace que l’acide tartrique autorisé (sous certaines conditions). Qui a fait quoi, pourquoi et sur les conseils de qui ? C’est ici, tout comme les précédentes affaires au lait, au sucre ou aux antibiotiques.


Le nouveau président


«Ma période de présidence a été intense, je suis très heureux et fier d’avoir mis en place ce qui me
tenait à cœur
». Non, ce ne sont pas les mots d’adieu de Nicolas Sarkozy, mais ceux de Gilbert Perrier après l’élection de son successeur à la présidence du Comité interprofessionnel des vins de Savoie. L’assemblée générale qui s’est tenue le 27 avril dernier a désigné Pierre Viallet, viticulteur sur la commune d’Apremont, pour un mandat de trois ans. Si Gilbert Perrier s’est félicité d’avoir participé à l’évolution du comité et à la hausse de la notoriété de ses vins (Maison de la Vigne et du Vin et Vinothèque d’Apremont, renaissance des Trophées des vins de Savoie et création d’un poste dédié à la communication et aux relations avec la presse), Pierre Viallet a assuré que «priorité sera donnée à la poursuite de la stratégie engagée» avec pour ambition, outre le lancement du crémant de Savoie, la mise en place d’une segmentation des vins «avec une définition plus stricte des crus et des terroirs».
On en apprend plus sur les vins de Savoie ici.

Prochain match France-Angleterre


La finale du concours inter-grandes écoles organisé par la maison de champagne Pol Roger a vu s’affronter l’élite des étudiants dégustateurs français, par équipes de trois. Le 13 avril dernier, à Epernay, ce sont les élèves de la Skema Business School de Lille qui se sont imposés face à leurs rivaux de Paris-Dauphine, de l’Ecole Normale Supérieure de Paris (vainqueur 2010 et 2011), de l’INSA Lyon et de Sciences-Po Bordeaux. Adaptation française du Varsity Blind Tasting Match organisé en Grande-Bretagne depuis 20 ans par la maison Pol Roger, et qui oppose les clubs de vin d’Oxford et Cambridge, le concours inter-grandes écoles a été créé en 2003. S’il s’agissait de départager les étudiants sur leurs aptitudes à déguster et identifier un vin à l’aveugle, le jury a surtout récompensé leurs capacités à comprendre et analyser les vins dégustés. Ainsi ont-ils du identifier les cépages, le pays d’origine, la région, l’appellation et le millésime des six blancs et six rouges servis, mais aussi exprimer et décrire les émotions qu’ils ressentaient en les goûtant. D’après Hubert de Billy, membre du directoire et descendant de la famille Pol Roger, «Le but du concours n’est pas d’aboutir à un résultat manichéen sur la prestation des étudiants, mais de les aider à trouver les clés d’une véritable compréhension du vin». Prochaine étape pour ces vainqueurs ? La finale internationale contre les étudiants d’Oxford qui aura lieu en juin.

Qu’il est beau, mon château. Chapitre 1

Et voici un nouvel épisode de nos télé-aventures chinoises. Aujourd’hui, « Qu’il est beau, mon château ». Non, ce n’est pas un énième avatar de DisneyWorld. C’est la culture du vin telle qu’elle comprise en Chine. Des châteaux gigantesques à côte desquels même Versailles fait un peu pavillon de banlieue.
Une démesure toute statutaire destinée à faire comprendre au passant à qui il a affaire.
Ce qui marche aussi avec le paysan, la méthode vient de loin. Partout, tout le temps, il a été question d’impressionner le manant. C’est vrai des temples grecs, des châteaux-forts, des cathédrales. Et c’est vrai de ces châteaux chinois, bien sûr.
Qu’ils le sachent, nous sommes très impressionnés. Bon, on ricane un peu, mais c’est de dépit, sûrement. Aura-t-on encore envie d’aller visiter Château Lafite, cette masure, ou le microscopique
Château Margaux ?

Extraordinaire paysage qui fait penser aux contreforts de la Cordillère des Andes, vers Mendoza.
Comme quoi, l’inspiration vient de partout. L’usine en bas, c’est la winery.

Le château Han-Sen et son miroir d’eau. C’est beau, non ?


Lui, il s’appelle Château Saint-Louis Ding.
Avec ses proportions européennes, on y croirait presque.

Cette drôle de gare de province, c’est le Château Bacchus

Les prix des primeurs 2011, affaires en vue

C’est sûr, maintenant. Les prix sont en baisse. De grosses baisses sur les plus chers, de petites baisses chez les moins chers, pas de baisse chez les pas chers. Logique. En vous reportant à nos précédentes publications de commentaires et notes sur les vins du millésime, en les croisant avec les prix ci-dessous, vous avez tous éléments en main pour faire votre marché. Ou pas. C’est vous qui décidez puisque vous savez tout.


CHÂTEAU DOISY-DAENE – Barsac – 2ème cru classé – Blanc – 28,60 €
CHÂTEAU COUTET – Barsac – 1er cru classé – Blanc – 46,50 €
CHÂTEAU CLIMENS – Barsac – 1er cru classé – Blanc – 82,50 €
CHÂTEAU DE CAMBES – Bordeaux – Rouge – 32,00 €
CHÂTEAU REYNON – Bordeaux – Blanc – 5,85 €
CHÂTEAU PUYGUERAUD – Bordeaux côte de francs – Rouge – 8,50 €
CHÂTEAU BOLAIRE – Bordeaux supérieur – Rouge – 7,20 €
CHÂTEAU GRAND VILLAGE – Bordeaux supérieur – Rouge – 9,50 €
CHÂTEAU CROIX MOUTON – Bordeaux supérieur – Rouge – 7,05 €
CHÂTEAU CANON PECRESSE – Canon Fronsac – Rouge – 11,25 €
CHÂTEAUDU GABY – Canon Fronsac – Rouge – 12,00 €
CHÂTEAU REYNON – Côtes de Bordeaux – Rouge – 7,67 €
CHÂTEAU ROC DE CAMBES – Côtes de Bourg – Rouge – 42,00 €
DOMAINE DE L’AURAGE – Côtes de Castillon – Rouge – 23,50 €
DOMAINE DE L’A – Côtes de Castillon – Rouge – 18,90 €
JOANIN BECOT – Côtes de Castillon – Rouge – 14,70 €
CLOS FLORIDENE – Graves – Blanc – 12,87 €
CHATEAU LANESSAN – Haut-Médoc – Cru bourgeois – Rouge – 10,10 €
CHÂTEAU CARONNE SAINTE GEMME – Haut-Médoc – Cru bourgeois – Rouge – 8,80 €
CHÂTEAU PEYRABON – Haut-Médoc – Cru bourgeois – Rouge – 6,60 €
CHÂTEAU BELLE-VUE – Haut-Médoc – Rouge – 11,40 €
DEMOISELLE DE SOCIANDO MALLET – Haut-Médoc – 2ème vin – Rouge – 11,70 €
CHÂTEAU CAMBON LA PELOUSE – Haut-Médoc – Cru bourgeois – Rouge – 10,30 €
CHÂTEAU LA TOUR CARNET – Haut-Médoc – 4ème cru classé – Rouge – 22,77 €
CHÂTEAU LARRIVAUX – Haut-Médoc – Cru bourgeois – Rouge – 7,70 €
CHÂTEAU SOCIANDO MALLET – Haut-Médoc – Cru bourgeois – Rouge – 23,00 €
CHÂTEAU DE CAMENSAC – Haut-Médoc – 5ème cru classé – Rouge – 19,50 €
CHÂTEAU CHARMAIL – Haut-Médoc – Cru bourgeois – Rouge – 11,75 €
CHÂTEAU CANTEMERLE – Haut-Médoc – 5ème cru classé – Rouge – 23,00 €
CHÂTEAU SENEJAC – Haut-Médoc – Cru bourgeois – Rouge – 9,00 €
CHÂTEAU BERNADOTTE – Haut-Médoc – Cru bourgeois – Rouge – 12,60 €
LA FLEUR DE BOUARD – Lalande de Pomerol – Rouge – 19,60 €
LE PLUS DE LA FLEUR DE BOUARD – Lalande de Pomerol – Rouge – 69,00 €
CHÂTEAU FOURCAS-HOSTEN – Listrac-Médoc – Rouge – 9,60 €
CHÂTEAU FONREAUD – Listrac-Médoc – Cru bourgeois – Rouge – 8,70 €
CHÂTEAU FOURCAS DUPRE – Listrac-Médoc – Cru bourgeois – Rouge – 9,00 €
CHÂTEAU D’ARSAC – Margaux – Cru bourgeois – Rouge – 11,95 €
CHEVALIER DE LASCOMBES – Margaux – 2ème vin – Rouge – 17,00 €
CHÂTEAU MONBRISON – Margaux – Cru bourgeois – Rouge – 23,00 €
CHÂTEAU LABEGORCE – Margaux – Cru bourgeois – Rouge – 15,51 €
CHÂTEAU DU TERTRE – Margaux – 5ème cru classé – Rouge – 23,80 €
CHÂTEAU LA GURGUE – Margaux – Cru bourgeois – Rouge – 12,50 €
CHÂTEAU DESMIRAIL – Margaux – 3ème cru classé – Rouge – 20,90 €
BLASON D’ISSAN – Margaux – 2ème vin – Rouge – 17,00 €
CHÂTEAU LA TOUR DE BESSAN – Margaux – Rouge – 11,60 €
CHÂTEAU SIRAN – Margaux – Cru bourgeois exceptionnel – Rouge – 19,00 €
CHÂTEAU POTENSAC – Médoc – Cru bourgeois exceptionnel – Rouge – 14,50 €
GOULEE – Médoc – Rouge – 16,71 €
CHÂTEAU MAUCAILLOU – Moulis-en-Medoc – Cru bourgeois – Rouge – 14,05 €
CHÂTEAU MAUVESIN BARTON – Moulis-en-Medoc – Rouge – 11,50 €
CHÂTEAU CHASSE SPLEEN – Moulis-en-Medoc – Cru bourgeois exceptionnel – Rouge – 20,80 €
CHÂTEAU POUJEAUX – Moulis-en-Medoc – Cru bourgeois exceptionnel – Rouge – 19,60 €
CHÂTEAU LA FLEUR PEYRABON – Pauillac – Rouge – 14,50 €
CHÂTEAU CROIZET BAGES – Pauillac – 5ème cru classé – Rouge – 23,05 €
CHÂTEAU LAFITE ROTHSCHILD – Pauillac – 1er cru classé – Rouge – 490,00 €
CHÂTEAU OLIVIER – Pessac Léognan – Grand Cru Classé – Blanc – 21,20 €
CHÂTEAU OLIVIER – Pessac Léognan – Grand Cru Classé – Rouge – 20,20 €
FUGUE DE NENIN – Pomerol – 2ème vin – Rouge – 16,50 €
CHÂTEAU BOURGNEUF – Pomerol – 25,90 €
CHÂTEAU GAZIN – Pomerol – Rouge – 48,00 €
CARILLON DE L’ANGELUS – Saint-Émilion Grand Cru – Rouge – 41,00 €
CHÂTEAU BEAU SEJOUR BECOT – Saint-Émilion Grand Cru – 1er cru classé – Rouge – 40,60 €
CHÂTEAU COTE DE BALEAU – Saint-Émilion Grand Cru – Rouge – 13,80 €
CHÂTEAU DE PRESSAC – Saint-Émilion Grand Cru – Rouge – 16,00 €
CHÂTEAU LE TERTRE ROTEBOEUF – Saint-Émilion Grand Cru – Rouge – 120,00 €
CHÂTEAU ORMES DE PEZ – Saint-Estèphe – Cru bourgeois exceptionnel – Rouge – 21,20 €
CHÂTEAU HAUT MARBUZET – Saint-Estèphe – Cru bourgeois exceptionnel – Rouge – 24,60 €
CHÂTEAU LILIAN LADOUYS – Saint-Estèphe – Cru bourgeois – Rouge – 11,60 €
MARQUIS DE CALON – Saint-Estèphe – 2ème vin – Rouge – 14,90 €
CHÂTEAU TOUR DE PEZ – Saint-Estèphe – Rouge – 12,20 €
CHÂTEAU COS D’ESTOURNEL – Saint-Estèphe – 2ème cru classé – Rouge – 115,00 €
LES PAGODES DE COS – Saint-Estèphe – 2ème vin – Rouge – 33,00 €
CHÂTEAU LILIAN LADOUYS – Saint-Estèphe – Cru bourgeois – Rouge – 11,60 €
MARQUIS DE CALON – Saint-Estèphe – 2ème vin – Rouge – 14,90 €
CHÂTEAU CAPBERN GASQUETON – Saint-Estèphe – Cru bourgeois – Rouge – 12,90 €
CHÂTEAU BEYCHEVELLE – Saint-Julien – 4ème cru classé – Rouge – 52,00 €
CHÂTEAU LALANDE – Saint-Julien – Rouge – 12,60 €
CARMES DE RIEUSSEC – Sauternes – 2ème vin – Blanc – 16,60 €
CHÂTEAU RIEUSSEC – Sauternes – 1er cru classé – Blanc – 55,00 €
L’EXTRAVAGANT DE DOISY DAENE – Sauternes – Blanc – 149,50 €
CHÂTEAU LAFAURIE PEYRAGUEY – Sauternes – 1er cru classé – Blanc – 29,00 €
CHÂTEAU CLOS HAUT PEYRAGUEY – Sauternes – 1er cru classé – Blanc – 34,12 €
CHÂTEAU SUDUIRAUT – Sauternes – 1er cru classé – Blanc – 52,00 €


Les prix sont ceux communiqués par La Vinothèque de Bordeaux et Mes Primeurs, à Saint-Émilion. Il va de soi que ces deux sites marchands constituent une recommandation de notre part. Nous jugeons ces gens fiables et dignes de votre confiance.

www.mesprimeurs.com
www.vinotheque-bordeaux.com

Les primeurs, la suite par ici