Non, ce n’est pas d’alcoolisme ou de soirées « festives » (ce mot atroce) dont il s’agit. L’alcoolisme est une maladie ; l’ivresse, un état. Un léger dérèglement des sens qui permet de franchir d’un pas alerte les portes de la perception, comme nous le promettait Jim Morrison, en regardant ailleurs, autre chose. Voilà à quoi nous nous sommes attachés dans ce numéro avec la contribution lumineuse d’esprits bien tournés. C’est Julia Molkhou et son talent qui interviewent Raphaël Enthoven et lui tire l’ivresse dans le meilleur sens. C’est Laurence Zigliara, chercheuse universitaire brillante, qui interroge l’histoire de l’humanité. C’est Michel Bettane qui lit et relit les grands vins pour son plus grand plaisir et le nôtre. Gilles Durand-Daguin a ouvert des livres et nous en présente une recension singulièrement brillante. Thierry Desseauve lui-même apporte sa pierre à cet édifice dont on peut être fier. Et parce que nous ne négligeons rien, jamais, Louis-Victor Charvet a rencontré la directrice de Vin et Société. Ensemble, ils ont tenté de détricoter le mythe de l’alcoolisme pinardier, de séparer le vin de l’alcool. Le sujet ne se laisse pas faire.
Tous, ils sont avec nous pour donner du sens à notre penchant marqué pour les grands vins, les vins fins, les vins de lieux. Pour célébrer l’élégance, le goût, la beauté, se laisser emporter sur les rivages enchantés de cette ivresse-là. Loin des débordements, des excès, des anathèmes et des querelles obsessionnelles des tenants d’un hygiénisme qui l’est bien peu.
Retrouvez notre dossier « L’ivresse, sujet sensible » dans En Magnum #26, disponible chez votre marchand de journaux ou sur notre site :
Après presque deux ans d’absence, il était temps que le salon des grands vins par Bettane+Desseauve fasse son retour au Carrousel du Louvre.
Rendez-vous incontournable des amateurs de grands vins, Le Grand Tasting a eu lieu les 3 et 4 décembre 2021. Même lieu, mêmes horaires, même ambiance et un grand succès.
Pendant deux jours, vous avez eu l’occasion de rencontrer 350 vignerons formidables
sélectionnés par nos experts, de goûter plus de 1 500 excellents vins français et étrangers et de participer à 26 masterclass incontournables animées par des producteurs de talent.
Noël, quoi. Nous ne suivons pas les recommandations obscurantistes, nous disons Noël et rien d’autre. Pour faire valoir la divine occasion, voilà un large choix de 120 cadeaux pour autant d’idées. À tous les prix, puisque tout compte et que nous y sommes sensibles comme tout le monde. Ce choix est le vôtre, ami lecteur.
L’artiste irlando-danois Olafur Eliasson signe l’œuvre qui orne le haut de l’étiquette du premier cru classé du château Mouton-Rothschild. Si je ne connais pas le brief, je constate comme tout le monde que le résultat est élégant et aérien, bravo Olafur.
Venez découvrir le rôle du verre dans l’expérience de la dégustation des vins. On peut être sceptique devant l’idée que la forme d’un verre puisse avoir une influence au nez et encore plus en bouche sur l’appréciation d’un vin. Et pourtant, il suffit d’une dégustation comparative pour en mesurer l’impact. Grâce aux quatre verres Riedel de la nouvelle collection WineWings, cet atelier permet de comprendre pourquoi la forme d’un verre, loin d’être anodine, doit s’adapter aux caractéristiques du vin pour en offrir le meilleur.
Master class présentée par Victor Ulrich (directeur Riedel France)
À l’issue de cette dégustation, chaque participant repartira avec son set comprenant les quatre verres Riedel utilisés (valeur prix public : 104 euros).
Réservez vos places ? www.grandtasting.com/les-master-class-du-grand-tasting/
Il est là, elle aussi. Ils sont tous là. Bon, il est temps d’y aller. Michel m’attends déjà. On vous attends tous au Grand Tasting. 350 vignerons sélectionnés par les experts Bettane+Desseauve, 2 500 vins et 26 master class.
Le grand retour du Grand Tasting c’est Le vendredi 3 et le samedi 4 décembre 2021 au Carrousel du Louvre.???On vous y attend ???
Lancés il y a quelques années seulement, les deux grands crus de Gérard Bertrand relèvent d’une conception élaborée
Même si le savoureux demi d’ouverture devenu commentateur Pierre Albaladejo définissait le rugby comme un « sport de contournement », Gérard Bertrand, qui jouait lui troisième ligne, n’a jamais hésité à bousculer l’ordre établi. En rugby certainement, dans le vin assurément. Parti des Corbières avec les cinquante hectares de la propriété familiale de Villemajou, il a bâti un empire viticole en Languedoc, une région qui se cherchait depuis des décennies un autre destin que celui de pourvoyeur de gros rouge pour la France du XIXe siècle et de la première moitié du siècle suivant. Il a produit des millions de bouteilles au rapport qualité-prix impeccablement construit ; il a créé des marques qui sont devenues des références dans les rayons des magasins spécialisés ou non ; il a aussi très tôt compris les enjeux environnementaux en développant des gammes bio ou sans soufre ; il a saisi au bond les nouvelles tendances, celle du rosé ou aujourd’hui celle du vin orange. Mais cet esprit d’entreprise n’a jamais été déconnecté des racines vigneronnes de l’homme. Les deux facettes de la personnalité se sont superposées pour constituer un patrimoine viticole de seize crus dans différents terroirs de ce qu’il n’oublie jamais de qualifier de « plus grand vignoble du monde », ce Languedoc-Roussillon qui concentre effectivement 5 % de la production mondiale de vin. S’y est ajoutée la troisième singularité du personnage, ses convictions environnementales. Tous ses crus sont aujourd’hui cultivés en biodynamie.
Dans cet écosystème très personnel, Gérard Bertrand le compétiteur a toujours eu – et certainement depuis ses débuts – la volonté de s’inscrire dans la hiérarchie des grands vins. Dans un univers cadenassé par l’histoire des vignobles et le conservatisme de beaucoup de professionnels, le défi était immense. Créer un grand cru dans des terroirs reconnus, mais longtemps traités bien en deçà de leur potentiel, ce fut l’aventure de Clos d’Ora, en minervois-la-livinière, renouvelée quelques années après par celle de Clos du Temple, rosé d’appellation languedoc-cabrières. Ces deux vins ont immédiatement impressionné par leur qualité respective, mais aussi par leur prix, comparable à celui de stars bordelaises, bourguignonnes ou rhodaniennes. On ne mesure pas la hauteur du tarif pour une bouteille de La Grange des Pères, autre emblème de l’exceptionnel languedocien, mais ici, le pedigree business-friendly du personnage n’a pas manqué d’interroger les nombreux théoriciens du small is beautiful. Pourtant, Ora comme Temple ne sont pas nés d’un plan marketing, mais de deux terroirs, très tôt identifiés comme exceptionnels. Dès les années 1990, Gérard Bertrand acquiert ainsi des parcelles sur un terroir de marne et de calcaire, sur les hauteurs de La Livinière, où sont cultivées des vignes ancestrales de carignan et de grenache. Il va très vite compléter cet encépagement par de la syrah et du mourvèdre, tous menés en biodynamie.
Dix-sept ans plus tard (!), le premier millésime de Clos d’Ora, 2012, est produit. Le vin a trouvé aujourd’hui son rythme, celui d’un grand rouge profond et méditerranéen où le trio grenache-syrah-mourvèdre s’exprime avec une personnalité unique que complète une pincée d’un carignan intense. Pour avoir dégusté tous les millésimes depuis ses débuts, on est impressionné par sa complexité aromatique, mais aussi par l’équilibre profond, serein, qui se dégage de chaque expression d’une récolte : jamais la moindre faiblesse dans ce vin de grande garde, toujours une diversité de nuances et de textures. Le Clos du Temple procède de la même vision à long terme. Bertrand a pris le premier le virage du vin rosé en Languedoc, dont il est aujourd’hui le porte-drapeau incontestable en France comme à l’export. Il connaît le potentiel des terroirs de schiste et calcaire de Cabrières, dans le piémont des Causses, en matière de rosé. Il y distingue quelques hectares, cultivés toujours en biodynamie et labourés à cheval, associe grenache, syrah, mourvèdre, cinsault à une touche de viognier, le plus aromatique des cépages blancs, vinifie à froid et élève en barriques. Né avec le millésime 2018, Clos du Temple exprime chaque année la plénitude et la pureté d’un rosé hors norme, à la fois réjouissant par son expression aromatique extravertie et apaisé par sa longueur sereine et veloutée. Deux vins, deux expériences, deux références.
Retrouvez le Clos d’Ora et quatre autres génies de la Méditerranée lors de la master class du samedi 4 décembre 2021 à 14h45 :
Génie de la Méditerranée Présentée par Alain Chameyrat
Domaines Ott, Clos Mireille (blanc)
Domaine Comte Peraldi, Cuvée du Cardinal 1999, ajaccio (rouge)
Château de Pibarnon, Cuvée Henri-Cath 2012, bandol (rouge)
Gérard Bertrand, Clos d’Ora 2012, minervois la livinière (rouge)
Xavier Vignon, châteauneuf-du-pape 1972 (rouge)
Les gens qui font le sauternes et le barsac avec les difficultés qu’on sait se sont rassemblés pour produire une petite plaquette qui dit intelligemment les choses sur ces vins sublimes de plus en plus négligés par les amateurs français. En italique, mes commentaires.
1. Ils sont délicieux
D’incroyables senteurs de fleurs, de fruits et d’épices relevées par de subtiles notes d’agrumes, un corps enveloppant et riche qui sait s’associer à une parfaite fraîcheur en bouche, une persistance aromatique savoureuse : aucun autre vin ne déploie un tel éventail de sensations gourmandes…
2. Ils sont rares et précieux
A l’automne, le soleil et les brumes concentrent le fruit, les vendanges deviennent travail d’orfèvre, les raisins sont cueillis grain par grain. La concentration naturelle et les sélections sévères entraînent des rendements minuscules. Un pied de vigne ne donne que quelques verres d’un vin hors norme.
3. Ils sont équilibrés
Le subtil équilibre entre douceur et vivacité est une des signatures des grands vins de Sauternes et Barsac. Leur sucre naturel est contrebalancé par une acidité bienvenue, c’est toujours l’impression de fraîcheur qui l’emporte.
C’est nouveau. Depuis cinq ou six millésimes, les sauternes & barsacs ont beaucoup gagné en fraîcheur. C’est surtout sensible sur la finale, plus légère et qui exprime parfois de délicates notes mentholées.
4. Ils sont d’une extravagante complexité
Orange, abricot, menthe, pamplemousse, ananas, fruits de la passion, fleurs d’acacia, muscade, safran… les fruits, les fleurs et les épices se répondent pour attiser les sensations.
Et cette complexité s’amplifie avec l’âge dans des symphonies aromatiques parfaitement rares.
5. Ils sont contemporains
Généreux, équilibrés et séducteurs, ces vins appellent les mariages et les métissages. Ils sont à l’aise avec le foie gras, le poulet rôti, les fromages bleus et exaltent les saveurs tendues des plats épicés des cuisines orientales.
J’ajoute avec gourmandise les huîtres, surtout chaudes, mais aussi dans l’explosion iodée de l’huître qui sort de l’eau. Et la truffe blanche. J’arrête parce que, là, ça me donne faim.
6. Ils sont éternels
Avec le temps, ces vins subliment la maturité. Ils évoluent, changent la grammaire des arômes et proposent des saveurs qui mêlent l’élégance et la complexité. Ils ont le bel avantage d’être exquis à tous les âges.
Nouveau aussi. Les millésimes récents les moins somptueux (2002, 2004, 2006) ont montré des sauternes et des barsacs très bons jeunes. Et c’est vrai que les 2001 (millésime immense) se goûtent très bien ces temps-ci, si j’en juge par un guiraud explosif goûté ces jours derniers. Cela dit, rien ne remplace un grand liquoreux dans un grand millésime avec vingt, trente ou cinquante d’âge. Souvenir pour la vie de vieux millésimes de rayne-vigneau très émouvants.
7. Ils sont uniques
Chaque bouteille est le fruit d’un terroir, d’un millésime et d’un vigneron qui apporte sa technique, son intuition, sa part de création. Les vins de Sauternes et Barsac ont chacun leur personnalité, ils affichent toujours une dimension artistique.
Il y a beaucoup de liquoreux qui valent le détour (Alsace, Touraine, Jurançon, Hongrie, …), tous ont des qualités qui leur sont propres, des densités de liqueur spécifiques, des développements aromatiques signés. Les sauternes & barsacs ont leurs caractéristiques plutôt exclusives, ce qui explique à quel point les amateurs de vin les aiment.
8. Ils sont vigoureux
Précieux ne veut pas dire fragile, les vins de Sauternes et Barsac sont des vins solides peu sensibles à l’oxydation. Une bouteille ouverte se conservera aisément quelques jours au frais.
J’ai fait l’expérience un certain nombre de fois et jusqu’à quinze jours dans la porte du frigo, c’est splendide.
9. Ils sont raisonnables
Flamboyants dans leurs arômes et leur expression, ils sont sages dans leur prix au regard de leur minuscule production et de la complexité de leur élaboration, et pourtant….
C’est juste les moins chers des grands vins français, comme tous les liquoreux d’ailleurs.
10. Ils sont classés en 1855
Le plus célèbre des palmarès viticoles, le fameux classement de 1855, n’a pas pris une ride. Vingt-six crus de Sauternes et Barsac font partie de ce club très fermé, vous les découvrirez au fil des mois.
Voilà. Je publie ce texte pour dire mon goût pour ces grands vins. C’est de la pub ? Non, mais si ça fait pareil, si ça donne envie à quelqu’un de faire ou de refaire un tour du côté de ces vins d’or, tant mieux.
Retrouvez les grands crus classés de Sauternes et Barsac lors de la master class du vendredi 3 décembre 2021 à 18h30 :
Grand crus classés de Sauternes et Barsac en 1855, la magie des grandes années impaires
Les millésimes impairs sont souvent d’immenses réussites dans les grands vins blancs liquoreux de Sauternes et de Barsac. La preuve avec cette dégustation exceptionnelle, en présence de cinq crus au meilleur niveau. Présentée par Didier Galhaud (Château d’Arche, Sauternes), Jean-Jacques Dubourdieu (château Doisy-Daëne à Barsac), Philippe Baly (château Coutet à Barsac), Pierre Montegut (château Suduiraut à Sauternes) et Vincent Labergere (Château de Rayne Vigneau à Sauternes)
Château d’Arche 2017, sauternes
Château Doisy-Daëne 2015, barsac
Château Coutet 2009, barsac
Château Suduiraut 2005, sauternes
Château Rayne-Vigneau 2003, sauternes
On le voyait comme ça. La pandémie fatale s’éloignait. Commerces, restaurants et horizons se libéraient. L’économie repartait. Les Etats-Unis revenaient sur les taxes Airbus. Le Brexit était moins grave que prévu. Le vignoble ouvrait ses volets. Un air de printemps s’installait, aidé par une fenêtre météo très courte, pleine de promesses pourtant. Ce n’était pas ça. Les Français suspicieux (toujours) étaient rétifs à une vaccination de masse, le président fronçait ses sourcils bien peignés, les menaces volaient bas. Sur les réseaux sociaux, les pro et les anti s’empoignaient comme s’il s’était agi d’un vin nature ou de levures sélectionnées. La fête battait son plein.
La restauration et ses terrasses surdimensionnées qui pourrissent la vie des riverains voyaient la vie en rose et commandaient du vin allègrement (« à prix serrés, faut nous aider ») chez les vignerons exsangues qui acceptaient parce que la trésorerie, quoi ; on verra la marge après. Patatras, voilà que le passe sanitaire (« on n’est pas des gendarmes ») limitera aux seuls vaccinés…
Installée à Urville, au cœur de la côte des Bar depuis 1808 la famille Drappier avec à sa tête Michel, accompagné désormais de ses enfants, détient 55 hectares de vignes en propre et 50 hectares en contrats associés. Les vins produits en majeure partie sur des sols issus du Jurassique kimmeridgien font briller les cépages classiques de Champagne avec le pinot noir comme roi, mais aussi quelques autres plus rares comme le petit meslier, le blanc vrai et l’arbane. Attaché à respecter son environnement et l’identité de ces cépages, Michel Drappier compose des assemblages méticuleux précis et sincères. Pionnier dans l’élaboration de bruts nature à l’aide d’une viticulture saine, il élabore aussi sa liqueur de dosage pour les autres cuvées avec un extrême soin. Doté de magnifiques caves à Urville comme à Reims, grands et rares flacons se reposent paisiblement. Pas étonnant que le général De Gaulle en fit son champagne de prédilection.
Retrouvez Champagne Drappier au Grand Tasting les 3 et 4 décembre 2021 stand 226 et lors de la master class :
Les expériences des Drappier
Le vendredi 3 décembre de 18h30 – 19h15
L’exploration de nouvelles voies fait partie de l’identité de cette maison auboise. Dès les années 1990, Michel Drappier vinifie un champagne blanc de noirs sans dosage, à rebours de la tendance. Depuis, générations actuelles et futures puisent dans leur histoire et dans leurs expériences pour aller toujours plus loin. Replantation de cépages anciens, expérimentation du vieillissement en milieu marin, cette master class est une occasion unique de découvrir des cuvées rares.
Présentée par Michel et Hugo Drappier
• Trop m’en Faut ! ; champagne (blanc)
• Père Pinot, champagne (blanc)
• Perpétuité, coteaux-champenois (blanc)
• Grande Sendrée « Immersion » 2008 (blanc)
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