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From Minuty, with love.

Deuxième arrêt du worlwide tour du château Minuty, domaine de 170 hectares situé à Gassin dans la presqu’île de Saint-Tropez, l’emblématique cuvée de côtes-de-provence rosé en image ci-dessus arbore cette saison un habillage signé par l’illustratrice anglaise Ruby Taylor. Pour cette édition limitée, cette dernière a gaiement réinterprété le mythe de Saint-Tropez. Coquillages et crustacés, mais aussi ancres marines, fruits d’été et lunettes de soleil pour une invitation aux plaisirs de l’été : « L’ambiance de Saint-Tropez est vraiment unique, à la fois rétro et en même temps très moderne. Pour créer cette édition limitée M de Minuty, je me suis vraiment inspirée de cette atmosphère si particulière. Les couleurs vives de cette ville ensoleillée ont également été une grande source d’inspiration. Avec cette création, j’espère que chacun ressentira la joie et l’esprit unique qui règnent à Saint-Tropez. »

Minuty X Ruby Taylor, M de Minuty “From Minuty with love”,
15 euros chez les cavistes (prix conseillé)

A l’attention de l’Académie nationale de médecine

Nous reproduisons ci-dessous la déclaration de Joël Forgeau, président de l’organisme Vin et Société, visant à répondre aux propos tenus par Gérard Dubois, professeur de santé publique et membre de l’Académie, et à rappeler la position de la filière vin et son engagement en matière de prévention.

« Vin & Société a fait l’objet d’une attaque virulente directe de la part du Pr Gérard Dubois, membre de l’Académie nationale de médecine, sur l’antenne de France Inter à 7h30 le mardi 30 avril 2019. Le professeur a relayé à son tour des arguments déjà distillés avec méthode et régularité, depuis des mois, par des entrepreneurs de morale qui, comme lui, au nom de la santé, déploient une véritable stratégie de dénigrement à l’encontre de la filière vitivinicole qui est le deuxième fleuron national à l’export, derrière l’aéronautique. Dans quel but ? « La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité », indique l’Organisation mondiale de la santé (OMS) dans le préambule de sa constitution. Faut-il rappeler que le plaisir et la convivialité font partie de la vie ? Pourtant, au nom d’une certaine vision de la santé, une croisade anti-vin visant l’abstinence est menée alors qu’il conviendrait au contraire de rechercher des points d’équilibre constructifs. »

« Vin & Société promeut une approche équilibrée entre économie et santé. Nous condamnons la violente charge morale visant à dénormaliser la consommation de vin. En effet, il ne faut pas volontairement confondre le produit et son mauvais usage, préjudiciable à la santé. Cette approche moralisatrice, disons-le clairement, vise à modifier pas à pas notre modèle culturel et notre façon de faire société. Vin & Société n’est pas « une entreprise de lobbying », comme l’a déclaré le professeur Gérard Dubois sur l’antenne de France Inter, mais une association qui représente la filière vitivinicole française. Elle parle donc au nom du deuxième secteur économique français à l’export générant plus de 500 000 emplois. J’en suis actuellement le président et j’assume de représenter les intérêts des vignerons, vigneronnes, négociants et négociantes, lesquels sont compatibles avec ceux de notre pays. Sans aucunement prétendre être des acteurs de santé, nous pouvons apporter notre contribution à la lutte contre le mauvais usage de notre produit. »

« Ainsi, comme nous l’avons déjà annoncé lors de la remise de la contribution de la filière vitivinicole au Plan national de santé publique au Premier ministre en juin 2018, je rappelle que nous sommes favorables à une meilleure visibilité du pictogramme femme enceinte sur les étiquettes de nos bouteilles. Des discussions techniques sont d’ailleurs en cours avec les autorités de santé. Nous ferons notre part en lançant dès l’automne 2019, une campagne d’information complètement autofinancée par notre filière avec un message clair : femme enceinte = zéro alcool. J’ajoute que nous assumons la réalisation de supports pédagogiques tels que Le Petit Quotidien, Mon Quotidien ou Les Chemins de la Vigne. Ils sont lus par les enfants qui le souhaitent en présence des familles ou des enseignants. Bien loin du fantasme prosélyte dont certains nous accusent, ces journaux présentent l’histoire et la culture de la vigne. Et c’est tout sauf une incongruité lorsqu’on sait que les petits Français vivent souvent à côté de paysages de vigne puisque celle-ci est présente dans 66 départements ! Faire connaître cette culture, c’est se donner les moyens de perpétuer une richesse et susciter l’intérêt pour faire naître de futures vocations professionnelles. Notre secteur économique est porteur d’avenir en France et à l’international. »

« Je terminerai en précisant que selon Santé Publique France*, les Français ont compris l’importance de la consommation modérée puisque 90 % d’entre eux déclarent consommer moins de 10 verres par semaine. Alors d’où vient le chiffre de 24 % de consommateurs excessifs mentionné par certains depuis le mois de mars ? Il correspond au non-respect d’un des critères suivants à un moment donné au cours d’une semaine : boire plus de 2 verres par jour, boire plus de 10 verres par semaine, avoir moins de 2 jours d’abstinence durant une semaine. Autrement dit, sans consommer de vin durant toute la semaine, mais en fêtant l’anniversaire d’un ami en buvant 3 verres un seul soir, vous entrez automatiquement dans la catégorie des buveurs excessifs. Je déplore les polémiques vaines à la française. Personne ne peut se réjouir de l’alcoolisme qui est un drame humain. Personne ne devrait faire de raccourci volontaire entre le produit et le mauvais usage de celui-ci. Au lieu de chercher un coupable idéal, cherchons plutôt les solutions. Et prenons exemple sur l’Espagne et l’Italie dont la morbidité et à la mortalité liées à la consommation excessive d’alcool sont parmi les plus faibles au monde selon l’OMS. Etat, associations, médecins, producteurs de boissons alcoolisées ont travaillé tous ensemble, avec le soutien de fonds européens. Une approche moderne et efficace que nous appelons de nos vœux. »

Joël Forgeau, président de Vin & Société
Paris, le 30 avril 2019

* Source : BEH, N° 10-11 – 26 mars 2019

Wine Explorers, 5 destinations insolites

Cantate des Garrigues, une cuvée lyrique à 11 euros

En attendant les vacances, vous rêvez de grands espaces et de senteurs de garrigue ? Cette cuvée de languedoc-cabrières devrait vous rendre le temps moins long…

Les lecteurs du Guide des Vins Bettane+Desseauve le savent bien. La Cave de Cabrières produit l’un des plus grands rosés du Languedoc car le terroir sied à merveille à cette couleur. Mais une fois n’est pas coutume, ce n’est pas de rosé dont nous parlons ici. La Cantate des Garrigues 2017 est un rouge très attachant, une cuvée à découvrir absolument pour ceux qui aiment dans les vins du Languedoc fraîcheur, générosité, arômes et saveurs. Nous ne connaissions pas cette cuvée sur les schistes qui diffuse des senteurs de garrigue comme peu de vins peuvent le faire. Thym, lavande, ciste, cade, genièvre, réglisse, cuir noble, c’est un bouquet d’arômes à savourer dès maintenant en attendant les beaux jours d’été.

Le vin : Cave de Cabrières, Cantate des garrigues, languedoc-cabrières rouge 2017

Le prix : 11 euros, prix de départ cave.

Les coordonnées : 04 67 88 91 60 ; email : [email protected]
http://www.estabel.fr/produit/cantate-garrigues-rouge-aop-languedoc-cabrieres/

Vignerons et terroirs d’avenir,
saison 4

Ci-dessus et ci-dessous, découvrez les trois projets qui ont remporté la quatrième édition du concours Vignerons et terroirs d’avenir, soutien à l’activité viticole initié par Advini en 2015 et co-organisé avec Montpellier SupAgro et SupAgro Fondation. Connus depuis la fin mars, ces lauréats installés en vallée du Rhône, dans le Roussillon et à Cahors ont été officiellement récompensés hier lors d’une remise de prix qui s’est tenue au Club Français du Vin.

Grands vainqueurs de cette session 2019 qui a généré 150 candidatures (et la mobilisation de 110 étudiants ingénieurs auprès des candidats retenus), Julie et Graeme Bott, vignerons dans les AOC côte-rôtie, condrieu, saint-joseph et seyssuel, ont reçu 50 000 euros. Installés depuis 2016 dans l’un des vignobles les plus hauts de France, entre 600 et 700 mètres d’altitude, Solenn et Dominique Génot (Mas Llossanes) se sont vu remettre le deuxième prix, une dotation de 20 000 euros. Enfin, le jury a été touché par le projet de Benoît Aymard (Clos d’Audhuy, Cahors), fervent défenseur de son terroir et du malbec et récipiendaire d’un troisième me prix exceptionnel de 10 000 euros.

Destiné aux jeunes vignerons, ce concours a pour objectif d’encourager « le développement de l’activité viticole en soutenant des projets humains et respectueux de l’environnement qui mettent en avant la grande variété des terroirs français. » Lauréat en 2017 avec sa compagne Maya Sallée, Nicolas Fernandez (Domaine La Calmette, Cahors) confie que cette participation leur a d’abord permis de prendre du recul sur leur projet. Ensuite, dit-il, « remporter le premier prix donne un vrai coup de pouce pour démarrer et mettre en œuvre des initiatives dont nous n’avions pas les moyens. C’est fabuleux qu’un concours aide autant les jeunes vignerons simplement en leur demandant de défendre ce en quoi ils croient. »

Champagne de vignerons, le bar éphémère est ouvert !

Sous la bannière collective “Champagne de vignerons” créée en 2001 par le syndicat général des vignerons de la Champagne (SGV-Champagne) sont regroupés près de 4 300 vignerons et coopératives du vignoble champenois qui défendent les valeurs de l’artisanat, de l’authenticité et de la proximité et participent à « la création de cuvées rares et uniques. »

Chaque année depuis 2016, ces champagnes qui portent haut l’identité de celui ou celle qui les a élaborés prennent leurs quartiers d’été à Epernay où un espace de dégustation éphémère, installé dans la cour d’honneur du syndicat, sert de vitrine aux producteurs qui s’y succèdent (vingt-quatre vignerons sont attendus cette saison, la liste est à découvrir ).

Inaugurée dès aujourd’hui, la quatrième édition de cet événement permettra aux amateurs du monde entier de découvrir jusqu’au 15 septembre « la diversité et la typicité » de ces cuvées issues des quatre grandes régions de Champagne (côte des Bar, côte des Blancs, montagne de Reims et vallée de la Marne), présentées cette année dans le bel écrin en photo ci-dessus, une caravane Airstream de 1948.

L’Eté des vignerons, 26 avril – 15 septembre 2019

19, avenue de Champagne, 51 200 Epernay
Ouvert tous les jours de 12 h à 20 h et jusqu’à 21 h vendredi et samedi

Les Primeurs 2018, par Michel Bettane

Parler moins pour parler mieux
Dans notre France du blabla, 2018 a déjà fait beaucoup parler de lui alors que les vins ne sont que des embryons. Les faits climatiques sont connus. Beaucoup d’eau l’hiver et en début de printemps, beaucoup de chaleur et de sècheresse l’été avec de la souffrance sur les sables, mais pas sur les sous-sols argileux. Des orages, parfois de grêle, avec des dégâts dont des développements fulgurants du mildiou, piégeant les naïfs, les imprudents ou les paresseux. Un incomparable été indien concentrant les sucres dans le raisin à un niveau inédit (largement au-dessus de 14 degrés naturels dans de nombreux cas, mais avec des PH de 3,50/3,60 inespérés par rapport aux 3,8/4 de 1989 ou 1990). Et, de surcroît, des réserves en jus dans les raisins qui ont pu diluer les vignes trop productives. Les échantillons primeurs variaient d’un jour à l’autre, comme souvent. Ce qui n’a pas évité les jugements expéditifs et péremptoires. Sans parler des mauvais coucheurs qui dénonçaient un peu vite un manque de matière. Un comble avec ces raisins champions toutes catégories.

On jugera encore mieux des réussites individuelles dans un an et on évitera les matchs absurdes entre Rive droite et Rive gauche. Mais on peut affirmer que les deux cabernets furent souvent monumentaux sur les sols qui leurs conviennent et que je n’ai jamais, en quarante millésimes, vu des merlots aussi riches au cœur du Médoc. Quelques très rares vins manquent à l’appel, n’ayant pas été présentés chez les négociants ou visités au cours de marathons épuisants avec des samedis fermés à la visite (!). Exception faite à Sauternes pour des raisons que j’expose plus bas et à Yquem qui ne présentait pas de 2018.

Considérez nos notes discutées une à une par notre collectif de dégustateurs aguerris et souvent à la suite de plusieurs dégustations, dans des lieux et des atmosphères différentes plus comme des indices de préférence plutôt qu’un avis définitif qui serait absurde. Et foin de nos dégustateurs internationaux qui enchaînent les 98/100 à la parade, par démagogie. Bref, un grand millésime mais vous êtes avertis d’un type inédit dans un contexte économique international prudent et morose.

En attendant sauternes
L’année 2018 fut difficile pour les vins liquoreux du Sauternais : différents accidents climatiques (gel, grêle, mildiou) ont souvent considérablement réduit la récolte. Jusqu’au 12 octobre, il n’y avait pas de pourriture noble bien développée. Après cette date, la pourriture noble s’est développée de façon très rapide (et pas toujours noble) avec de grandes concentrations en sucres, mais souvent un manque de pureté aromatique. Au moment des primeurs, les assemblages ne se présentaient pas à leur mieux. C’est la raison pour laquelle nous préférons pour beaucoup de crus retarder notre jugement sur les réussites individuelles.

Photo : Guy Charneau

Dans la famille Le Grand Tasting, voici Le Grand Tasting de Printemps

Les 24 et 25 mai prochains au Carreau du Temple, l’équipe Bettane+Desseauve vous attend pour une édition spéciale, fraîche et printanière, du Grand Tasting Paris. La billetterie est ouverte.

Pourquoi un Grand Tasting de Printemps ?
Le mieux est de poser la question à Thierry Desseauve : « La civilisation du vin a de multiples facettes et toutes ne peuvent être présentes dans un seul festival, fut-il le plus grand. C’est ainsi que s’est progressivement imposée l’idée d’imaginer un second évènement annuel capable d’ouvrir de nouvelles portes du monde du vin, de permettre des découvertes, des rencontres et des bonheurs inédits : Le Grand Tasting de Printemps est né et nous vous y attendons avec plaisir et impatience. »

Le Languedoc, l’autre pays du rosé
Même si l’on en boit désormais tout au long de l’année, le printemps est LA saison du rosé. Le Languedoc propose de très belles cuvées, des rosés assez pâles comme en Provence mais aussi des cuvées plus soutenues en couleur, en arômes et en intensité. Ce sont des rosés de gastronomie capables de sublimer un apéritif comme d’accompagner des viandes rouges. Et ils font merveille avec de la cuisine exotique, notamment asiatique. Bref, cette sélection de cuvées en AOC languedoc et IGP pays d’oc est à découvrir de toute urgence.

Le prix du plaisir
Grand plaisir mais petit prix. Chaque année, le concours Prix Plaisir Bettane+Desseauve récompense des vins entre 2 et 18 euros et à moins de 30 euros pour les champagnes. Le jury ? Des amateurs passionnés qui dégustent à l’aveugle dans des conditions professionnelles quelque 1 800 cuvées. Au final, un podium or, argent, bronze et bio (c’est la nouveauté 2019) à tester au Carreau du Temple.

Tour de France
Faites un tour des meilleurs terroirs avec, entre autres domaines qu’on aime, Hugel & Fils (Alsace), Paul Jaboulet Aîné (Vallée du Rhône), Taittinger (Champagne), Pierre Gimonnet & Fils (Champagne), Aegerter (Bourgogne), Château La Gardine (Châteauneuf-du-Pape), Château de Côme (Bordeaux), Chante-Cocotte (Languedoc), Domaine Hauvette (Provence), La Bastide Blanche (Provence), Terra Vecchia (Corse), Château Marsyas (Liban), Vignobles Gérard Bertrand (Languedoc), etc.

Spirit, es-tu là ?
Six bartenders parisiens, parmi les meilleurs évidemment, concourent pour le prix du Cocktail Hero, en partenariat avec la Maison de spiritueux Villevert. Les épreuves du concours auront lieu en public au Carreau du Temple devant un jury expert. Résultat le samedi 25 avril vers 16h.

Les six participants à la compétition Cocktail Hero. Ils sont jeunes, ils sont beaux et ils sont super forts en cocktails.

La surprise
Comme c’est une surprise, on ne peut encore rien vous dire. Juste que jusqu’à aujourd’hui ces vins n’ont jamais été dégustés lors d’un salon amateur…
Infos et billetterie sur : printemps.grandtasting.com

Du pique-nique au dîner vigneron, escapade à Sancerre

C’est reparti pour les déjeuners sur l’herbe dans le Sancerrois avec le domaine Henri Bourgeois. Et pour bien d’autres choses encore organisées à la belle saison par une famille de vignerons installée depuis dix générations dans le village de Chavignol.

Des dégustations au caveau (tous les jours de 9 h 30 à 18 h 30) aux promenades balisées dans ses vignes assorties du désormais traditionnel pique-nique concocté tous les jours de mi-avril à fin septembre par Jean-Marc Bourgeois, chef du restaurant gastronomique La Côte des Monts Damnés (il y a aussi un bistrot et un hôtel, cliquez ici pour plus de détails), la famille Bourgeois propose aux amateurs tout un programme pour découvrir Sancerre et son patrimoine « à travers ses spécificités géologiques, culturelles, gastronomiques et touristiques. »

Notamment au fil de dîners “accords mets-vins” durant lesquels un vigneron de Chavignol s’invitera à votre table « pour des échanges privilégiés autour de ses propres cuvées » (à partir de 65 euros par personne, sur réservation au 02 48 78 53 20).

Voyage à Bordeaux

Avis aux amateurs de passage dans la région de Bordeaux, une rencontre avec le journaliste et écrivain Jean-Paul Kauffmann est programmée le mardi 30 avril dans le cadre des “grands entretiens” organisés à La Cité du vin. Moment d’échange privilégié avec l’auteur de Voyage à Bordeaux (1989) et Voyage en Champagne (1990), connaisseur éclairé qui fut également rédacteur en chef de L’Amateur de Bordeaux, cette rencontre d’une heure et demie animée par le journaliste Jérôme Baudouin se tiendra à 19 h à l’auditorium Thomas Jefferson du musée. L’événement est gratuit, ce qui n’empêche pas de retirer son billet en cliquant . Un dîner de prestige organisé dans le cadre de la cave Latitude 20 complètera cette soirée (plus de détails et réservation ici).

« Le vin est la seule matière vivante qui devient délectable avec le passage des années. On remonte le sens interdit du temps »


Jean-Paul Kauffmann