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Un vrai goût pour le champagne rosé

Gosset, Grand Rosé,
champagne non millésimé

Pourquoi lui
Le vin, c’est souvent une histoire de rencontres, de face à face, de confidences, de rires. Ici, c’est le cas. Les lecteurs attentifs de En Magnum n’auront pas manqué le portrait du chef de cave-directeur général de la maison Gosset, Odilon de Varines. Que les distraits soucieux de ne rien perdre se reportent au numéro 10, page 36.

On l’aime parce que
On entend ici et là que le marché du champagne rosé est en repli. Voilà bien quelque chose de nature à agacer les amateurs, dont je suis. Alors, supportons les rosés, leurs arômes épatants, leurs couleurs enthousiasmantes.

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Château Bellini ou le renouveau d’un domaine provençal

Propriétaire récoltant aux châteaux La Mascaronne (AOC côtes-de-provence) et Bomont de Cormeil (IGP coteaux-du-verdon), Tom Bove est un Américain d’origine italienne qui éprouve pour la Provence, ses vieilles pierres comme son vignoble, un amour qui ne se dément pas depuis plus de vingt ans (son premier achat fut le château Miraval, propriété ayant acquis depuis le statut de célébrité). Dans cette région qu’il qualifie de « best country of the world », ce passionné d’architecture qui s’envisage comme un “passeur” dans l’histoire a racheté en octobre 2016 un cinquième domaine viticole, Fontlade, qui se trouvait « dans un état défraîchi et peu valorisé. » Et c’est avec l’espoir de lui offrir « cent ans d’existence supplémentaires » qu’il a entrepris de lui rendre son lustre et une âme « avec des bâtiments repensés comme les anciens les avaient construits et un vignoble complètement restructuré afin de produire des vins qui révèlent le terroir. »

Comme pour ses projets précédents, Tom Bove s’est entouré des équipes du Cabinet d’agronomie provençale fondé par l’ingénieur agronome et œnologue Laurence Berlemont, qui le conseille depuis 1996 (et accompagne par ailleurs plus de soixante propriétés en Provence). La conversion au bio de ces vignes situées en AOC côteaux-varois-en-provence et entretenues de façon sommaire a débuté dès l’acquisition, les terres mal drainées ont été travaillées, des évacuations des eaux ont été installées afin d’éviter les excès au sein du vignoble et une nouvelle cave de vinification verra le jour en 2020. Plusieurs hectares de vignes ont été arrachés afin de les replanter dans une orientation nord-sud, « plus intéressante pour mener à terme les maturités » et de nouveaux cépages seront bientôt plantés (rolle et sémillon, notamment) afin d’apporter de la complexité aux vins de ce château désormais nommé Bellini, en hommage aux racines italiennes de son nouveau et attentionné propriétaire.


Conseillé depuis plus de vingt ans dans l’élaboration de ses vins par le Cabinet d’agronomie provençale, Tom Bove a toujours produit davantage de vins blancs et rouges que la moyenne de la Provence. De gauche à droite, les trois couleurs du côtes-de-provence La Mascaronne et de la cuvée Guy Da Nine, le viognier et la syrah produits au château Bomont de Cormeil et la toute première étiquette du château Bellini, dont la production débute avec un blanc issu majoritairement de rolle, « sublimé par une touche de sémillon et de grenache blanc », et élevé pour partie en barrique de chêne français avec des chauffes longues légères pour apporter complexité et potentiel de garde.

De Londres à Los Angeles en passant par Québec, le printemps voyageur des vins de Loire

Dans le droit fil de ses beaux résultats à l’export, que nous vous avions détaillés ici, l’interprofession des vins du Val de Loire (Interloire) a mis en place de quoi dynamiser sa présence sur ses différents marchés internationaux. Aux Etats-Unis, où les exportations ligériennes ont doublé en volume et triplé en valeur en l’espace de dix ans, l’événement professionnel Spring to Loire vise à renforcer la présence numérique des vins de Loire : « Organisé successivement à New York, Los Angeles, Chicago et Houston du 10 au 19 avril, il permettra de satisfaire sommeliers, cavistes, détaillants et journalistes à la recherche de nouveautés à l’occasion de rencontres, de séminaires et de dégustations du nouveau millésime. »

A la même période au Canada, où 30 % des amateurs déclarent être prêts à payer plus pour accéder à des produits premium, les vins ligériens se prêteront au jeu des accords durant Québec Exquis !, le festival du goût et de la gastronomie organisé à Québec du 6 au 20 avril. Au Royaume-Uni, c’est en juin et à Londres que les consommateurs seront invités à découvrir la production ligérienne chez leur caviste, dans les restaurants et même au spectacle, durant quatre week-ends consécutifs : « Établis à partir de la Loire bucket list des Londoniens, qui donne son nom à l’évènement, quatre itinéraires sont ainsi définis donnant l’opportunité de découvrir et de déguster les vins du Val de Loire à travers la capitale. »

Comme chaque année, Interloire sera présent lors de différents salons internationaux comme le récent Prowein ou encore Think France, nouveau salon professionnel réservé aux vins français qui aura lieu à Londres demain. Enfin, des actions seront menées en France auprès des journalistes étrangers, durant la troisième édition de l’opération Val de Loire Millésime où « 70 journalistes venus des quatre coins du monde profiteront pendant quatre jours d’une découverte complète, diversifiée et qualitative du vignoble du Val de Loire et de ses appellations », mais aussi à l’occasion du traditionnel événement grand public de la rentrée, Vignes, Vins, Randos (VVR), week-end de balades qui accueillera pour sa quatorzième édition « des journalistes et influenceurs étrangers spécialement présents pour l’occasion. »

La sélection intraitable : un rouge de folie

Notre experte Véronique Raisin a eu un coup de cœur pour un rouge du Lot.
Si vous êtes pro, venez déguster ce vin au Grand Tasting Pro le lundi 25 mars 2019, au Pavillon Wagram. Vous pourrez y faire beaucoup d’autres découvertes…

Pas encore inscrit ? Vite, un billet ! https://pro.grandtasting.com/inscription/

Le champagne tout autour du monde

Avec un chiffre d’affaires global de 4,9 milliards d’euros, en augmentation de 0,3 % par rapport à 2017, l’année 2018 a permis à la Champagne d’engranger un nouveau record (source des chiffres : comité interprofessionnel du vin de Champagne). Le recul respectif des volumes de 4 % constaté en France et au Royaume-Uni, deux marchés représentant 60 % du total des ventes (qui est de 301,9 millions de flacons) a été compensé pour partie par une meilleure valorisation des cuvées, ce qui a permis à leurs chiffres d’affaires de résister (la baisse est de 2 %). De façon générale, l’export est resté orienté à la hausse avec une augmentation des volumes de 0,6 % (+ 1,8 % en valeur) et une demande très dynamique au-delà de l’Union européenne.



En 2018, 23,7 millions de bouteilles sont parties aux Etats-Unis (+ 2,7 %), 13,6 millions de bouteilles au Japon (+ 5,5 %) et 4,7 millions vers la Chine, Hong Kong et Taiwan (+ 9,1 %). Après dix ans d’une très forte évolution de sa demande (+ 134 %), le marché australien – qui représente 8,4 millions de bouteilles – a enregistré un léger fléchissement de 1,8 %, en raison d’un taux de change moins favorable. L’interprofession champenoise précise par ailleurs que certains pays ont confirmé leur potentiel. Ainsi le Canada avec 2,3 millions de bouteilles (+ 4,8 %), le Mexique avec 1,7 millions de bouteilles (+ 4,3 %) ou encore l’Afrique du sud, « qui dépasse pour la première fois le million de bouteilles, soit une remarquable progression de 38,4 %. »

En annonçant une vendange 2018 « hors normes du point de vue agronomique et d’une qualité exceptionnelle », l’appellation champagne se réjouit de ces résultats qui confortent sa stratégie de valorisation « fondée sur une recherche constante de l’excellence qualitative et des engagements environnementaux exigeants.  »

En côte de Nuits, 2017 remplit les caves

Tous les deux ans les villages de Vosne-Romanée, Chambolle-Musigny et Morey-Saint-Denis organisent leur “Trilogie en côte de Nuits” au château du Clos de Vougeot. L’occasion de transformer le parking en salon de la berline allemande et, pour les professionnels européens, de goûter le millésime prêt à être vendu, en l’occurrence 2017.

Foule des grands jours au château ce 11 mars. C’est l’embouteillage dans la grande salle en fin de matinée. Certains visiteurs râlent. Les vignerons ne savent plus où donner du goulot. Non pas que le millésime 2017 soit annoncé comme exceptionnel, mais pour une fois, depuis longtemps, il devrait y avoir du vin pour tous. Globalement, les vignerons sont contents. Ils ont généralement produit plus de trente hectolitres par hectare et vont parfois même titiller les quarante. Au domaine Mongeard-Mugneret on dit que c’était « le millésime de la sagesse. » Comprendre : il fallait être sage en ne cherchant pas à trop produire. Car après le gel de 2016, certaines vignes étaient très vigoureuses.

La vendange en vert s’est parfois imposée, comme chez Grivot qui l’a effectuée trois semaines avant les vendanges. Mais une fois encore, il est risqué de généraliser. Jean-Nicolas Meo constate même qu’à Vosne-Romanée, « là où ça n’a pas gelé en 2016, on fait moins de vin en 2017 que l’année précédente. » Un vigneron qui parle très bien du millésime, c’est Romain Taupenot du domaine Taupenot-Merme : « En 2017, on fait plus de sortie de raisin qu’en 2014, 2015 et 2016. Mais c’est joli, avec des touches florales. En fait, à la base, il y avait une jolie matière, mais elle ne s’exprimait pas. Les vins ont gagné en chair après la fermentation malolactique. Je pense qu’ils n’ont rien à envier aux 2016. » À voir.

2016 a été un millésime très peu productif et assez compliqué. Il n’est pas réussi partout, mais quand il est réussi, il est très grand. Les contraintes en 2017 étaient différentes. Il fallait évidemment éviter la surproduction, mais les Bourguignons savent dompter le pinot noir. Reste que certains vins manquent de fond. Ils réjouiront les restaurateurs, qui pourront les servir rapidement, mais risquent parfois de décevoir ceux qui cherchent de la longueur en bouche. Comme toujours, ça n’est pas vrai chez tout le monde. D’une part parce que ces trois villages comptent un nombre de stars incalculable, qui semblent être capables de faire de chaque millésime un grand millésime. D’autre part parce que, parfois, le vigneron veut contrarier le millésime, au risque de se tromper.

Le risque en 2017 était de trop vouloir extraire pour amener de la matière et parfois des tannins fermes, voire secs. On l’a constaté chez certains, mais Michel Bettane incriminait la date choisie pour cette dégustation : « Nous sommes en pleine période de mise en bouteilles. Certains vins ont été embouteillés dans les deux semaines précédant la dégustation. Cette opération tend à refermer les vins. De telle façon qu’il est parfois compliqué de savoir si le vin est intrinsèquement serré ou s’il est juste dans cette phase ingrate d’après mise. » Au final, le niveau est bon, ce qui est heureux car les vins de ces trois appellations connaissent un succès mondial, ce qui a créé énormément de tension sur les prix.

Il ne faut d’ailleurs pas s’attendre à ce que ceux-ci baissent, mais, pour une fois, ils ne devraient pas augmenter. Une consolation. Et comme le 2018 qui suit a lui aussi été assez généreux, en plus solaire, on va peut-être pouvoir sortir de cette période d’hyper-inflation sur les vins de Côte-d’Or qui atteignent des tarifs parfois dissuasifs. Vosne-Romanée, Chambolle-Musigny, Morey-Saint-Denis, de toute façon, ça n’est pas pour tout le monde.

Le Top 3 de Michel Bettane :
1- Le domaine des Lambrays produit une fois de plus un clos-des-lambrays de très haut niveau. Beaucoup de fruité au nez et une bouche qui allie densité et finesse.
2- Cette année, c’était la bataille des échezeaux et des clos-de-vougeot. C’est ce dernier qui gagne chez Mugneret-Gibourg avec un nez séduisant et une bouche complète.
3- C’est le contraire chez Jacques Prieur avec l’échezeaux qui sort du lot. Un vin intense et dense. Très sérieux.

Le Top 3 d’Alain Chameyrat :
1- Cécile Tremblay, toujours au meilleur niveau. Avec un échezeaux qui ira loin.
2- Jérôme Castagnier, à Morey-Saint-Denis, a très bien réussi son millésime. Les vins ont du fond, ce qui n’est pas le cas partout.
3- Anne Gros fait toujours des vins en dentelle. Le millésime sied bien à sa délicatesse.

Le Top 3 de Gilles Durand-Daguin :
1- Meo-Camuzet fut le premier domaine goûté. Beaucoup de finesse et surtout de velouté de bouche dans les vins cette année. On se régale illico.
2- Mugneret-Gibourg, un domaine qui monte. Ils font notamment du chambolle premier cru Feusselotes. Nez de fruits noirs, en largeur, et bouche soyeuse avec du fond.
3- Jean-Yves Bizot fait dans l’artisanat pointu. Explosion de fraîcheur au nez de ses vosne, avec de l’orange sanguine, et des bouches fines, précises.

C’est le printemps !

Accueillons dignement le renouveau printanier en annonçant aux viticulteurs en recherche d’alternatives aux pesticides le lancement des désherbeuses écologiques Oeliagri. Emanant d’une PME française multi-récompensée* et leader européen dans son domaine depuis 2017, cette solution à envisager en complément d’autres pratiques vertes (bio-contrôle, enherbement, etc.) a été développée par la société bretonne Oeliatec qui commercialisait jusqu’alors ses machines de désherbage à eau chaude auprès des collectivités locales et des professionnels de l’horticulture. Fondée en 2010, Oeliatec compte trente salariés, réalise un chiffre d’affaires de 5 millions d’euros (à 75 % en France) et équipe notamment les villes de Cergy, Bordeaux, Montreux, Bruxelles, Porto, Stuttgart, Rotterdam, Barcelone, Amsterdam, etc.

Aujourd’hui, l’entreprise poursuit son développement avec une gamme spécifiquement développée pour les professionnels du maraîchage, de l’arboriculture et de la viticulture. Adaptables à tout type de tracteur et de terrain, ces désherbeuses plus puissantes utilisent des eaux de récupération chauffées à 120°C et propulsées à basse pression sous forme de micro gouttelettes pour désherber de manière écologique. Afin d’adapter sa technologie (tout le savoir-faire repose sur un dosage précis entre pression et température de l’eau grâce à une hydraulique sophistiquée), Oeliatec a investi 190 000 euros en recherche et développement et a travaillé, « en étroite collaboration avec de nombreuses exploitations françaises qui ont testé pendant plusieurs mois la désherbeuse Fréhel, première machine de la gamme », explique son dirigeant, Jean-Pierre Barre.

* Prix du salon Vert 2014 ; Trophée Crisalide 2014 ; Trophée de l’Innovation Aquiflor 2015 ; Trophée de l’innovation GTH Hollande 2017 ; Trophée de l’innovation (catégorie “Eau et Biodiversité”) du Carrefour national des Gestions Locales de l’eau 2018.

Un grand blanc de gastronomie

Ce vin tord définitivement le cou à la réputation de blancs du languedoc lourds et sans nuances.

Il n’est pas le seul, si les blancs de 2016 ne laisseront pas de grand souvenir en Languedoc, 2017 a été un grand millésime dans cette couleur dans la région. Cette cuvée est l’un des exemples les plus aboutis, construit autour de la marsanne, de la roussanne et d’un zeste de viognier. C’est un grand blanc de gastronomie, complexe et frais, apte à servir les poissons et les viandes blanches les plus nobles à la manière d’un hermitage blanc. Sophie et Vincent Guizard, après leur séparation avec le Domaine Montcalmès, ont créé cette propriété de huit hectares, implantée près d’Aniane. Leur rouge fait aussi partie des meilleurs, nous avouons ne pas bien comprendre pourquoi il ne revendique que l’appellationrégionale languedoc alors qu’il provient de l’un des meilleurs secteurs de la nouvelle appellation terrasses-du-larzac. Mais cela n’enlève rien au talent de ce rouge ni à ceux qui le font.

Le vin : Domaine Saint-Sylvestre, languedoc 2017, blanc
Le prix : 22 euros
Les coordonnées : 09 60 50 30 15 ; email : [email protected]

Toutes les infos sur ce domaine sont à retrouver dans l’appli Le Grand Tasting.

Jusqu’à samedi, les prix sont plus petits

La vente privée printanière organisée par la boutique parisienne Les Caves de Taillevent permet aux amateurs de bénéficier jusqu’au 23 mars d’une remise de 20 % sur une centaine de références (dans la limite des stocks disponibles). Par exemple, parmi les vins “collection Taillevent”, le saint-émilion Château Pavie-Macquin 2015 est proposé à 30,40 euros la bouteille au lieu des 38 euros habituels et le bellet blanc 2015 de Clos Saint Vincent à 36 euros au lieu de 45. Parmi les champagnes, la cuvée Blanc de blancs 2009 de Pol Roger est à 72 euros au lieu de 90 euros et au rang des grands crus de Bourgogne, le clos-vougeot 2010 du domaine Méo-Camuzet coûte 223,20 euros au lieu de 279 euros. La sélection complète, assortie d’un bon de commande, est à découvrir et télécharger ici.

Les Caves de Taillevent
228, rue du Faubourg Saint-Honoré, 75008 Paris

La Cave du château fête son quatrième printemps

Pour célébrer ses quatre ans d’existence, le caviste parisien attenant au restaurant Le Clarence – tous deux appartiennent à la société familiale Domaine Clarence Dillon (château Haut-Brion, entre autres) – propose à l’amateur dès aujourd’hui et jusqu’au 6 avril une foire aux vins déployant une très large sélection issue de tout le vignoble (Alsace, Auvergne, Beaujolais, Bordeaux, Bourgogne, Champagne, Corse, Jura, Languedoc, Loire, Provence, Rhône, Savoie) ainsi que quelques spiritueux. Près de deux cents flacons en promotion (bouteilles et magnums) dont on trouvera le détail ici.

A titre d’exemples, parmi les tout petits prix, citons le bordeaux rouge Clarendelle produit par la maison (millésime 2015, 13 euros), le côtes-du-rhône rouge Les Deux Albion 2016 du château Saint Cosme (27 euros le magnum), le bourgogne rouge 2016 du domaine François Lamarche (18 euros), la cuvée Les Vignes de Montgueux de Champagne Lassaigne (31 euros), le blanc Haut Carco 2015 du domaine corse Antoine-Marie Arena (19 euros), le côtes-du-jura blanc Charmille 2016 de Guillaume Overnoy (18 euros), le saint-nicolas-de-bourgueil La Mine 2016 de Yannick Amirault (13 euros) ou encore la cuvée Syrah 2016 du domaine Jamet (IGP collines-rhodaniennes, 12 euros).

La Cave du château
31, avenue Franklin D. Roosevelt, 75008 Paris