C’est quoi ?
L’association de deux expertises, talents et savoir-faire : b+d (médias, événementiel et prescription) et Vinexpo (événements internationaux du vin et des spiritueux)
Pourquoi ?
Redonner une place majeure à la viticulture lors des événements Vinexpo.
Quand ?
Lancement officiel de la marque à Vinexpo Hong Kong (24 et 26 mai 2016) puis rendez-vous à Vinexpo Bordeaux (18-21 juin 2017)
Ce n’est pas encore tout à fait visible, mais la belle saison est revenue. Entre les orages passés et ceux à venir, l’amateur parisien pourra profiter de cette “clémente” soirée pour reprendre le chemin des afterworks organisés de 19 h à 21 h 30 par la famille Legrand, soit dans sa boutique parisienne du huitième arrondissement, soit sur son site d’Issy-les-Moulineaux (il y a là des espaces de stockage de vin pour les professionnels et les particuliers installés dans d’anciennes carrières, mais aussi une boutique, un restaurant, etc.).
Comme à l’habitude, des assortiments de tapas (15 euros) et des assiettes de charcuterie et fromages (7 euros) accompagneront les propositions de dégustation de vin au verre de ce jour :
L’Ancienne Mercerie, Frou-Frou, faugères rosé 2014, 3,50 euros
Domaine FL, Les Bergères, anjou blanc 2010, 4 euros
Montirius, Minéral, vacqueyras blanc 2008, 5,50 euros
Domaine du Bel Air, Jour de soif, bourgueil rouge 2014, 4 euros
Domaine René Bouvier, Le Chapitre suivant, bourgogne rouge 2012, 6 euros
Afterworks du Chemin des vignes,
informations et réservation au 01 46 38 90 51 et au 01 42 65 39 86
Portland Airport. Le ton est donné, on est aux USA, un état fort, ça nous change.
Premier pinot noir, enthousiasme immédiat pour ce 2007 de Nysa
et le pinot noir d’Oregon en général.
En carafe, ce 2007 a cette densité.
Un vin raffiné, digeste et une impression de légèreté bienvenue.
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Alfred Tesseron
Le propriétaire de Pontet-canet à Pauillac est le premier à avoir introduit la viticulture bio dans un cru classé du Médoc. Sur l’impulsion de Jean-Michel comme, son maître de chai, il a poussé un peu plus loin le degré d’exigence dans la conduite de son domaine. Depuis 2004, les résultats sont là et ce ne sont pas les difficultés rencontrées en 2007 qui l’ont arrêté. Aujourd’hui, il est beaucoup moins seul à pratiquer le bio avec succès.
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Antoine Roland-Billecart
Il a 54 ans, il est directeur général en charge de l’export de la maison de champagne Billecart-Salmon. C’est lui qui porte la parole de Mareuil- sur-aÿ jusqu’aux marchés les plus émergents. Partager le succès des grands rosés qui ont fait la gloire de la maison ou inciter à la découverte des grandes cuvées, clos-saint-hilaire ou Élisabeth-salmon, la tâche est immense. Comme les perspectives.
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Ariane de Rothschild
Au nombre de ses responsabilités au sein du groupe éponyme, elle compte le vignoble d’abord construit par son beau-père Edmond et agrandi par son mari Benjamin. Bravement, elle a commencé par comprendre de quoi il s’agissait avant de lancer l’entreprise sur la voie d’un succès plus large que précédemment. les vins progressent à toute allure. Mention spéciale au Château Clarke et, surtout, au Château des Laurets.
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Hubert de Boüard
Le grand artisan du renouveau de Saint-Émilion a décidé de passer le volant à sa fille Stéphanie aux commandes de Château Angélus, promu premier grand cru classé A en 2012. Lui, il a changé de vie, se concentrant sur son affaire de conseil auprès de dizaines de domaines dans quelques régions françaises et à l’étranger. Sa grande sensibilité s’exprime maintenant sur d’autres terroirs.
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Bruno Giacosa
L’autre icône de la viticulture piémontaise (avec Angelo Gaja) est aujourd’hui un homme fatigué, mais il reste un dégustateur hors pair et le meilleur allié de sa fille Bruna qui a repris les rênes du domaine. Les barolos qui portent son nom devraient continuer à faire des étincelles et ceux qui portent sa signature se trouvent encore ici et là. La chasse aux vieux millésimes est ouverte.
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Lionel Lavail
Cet entrepreneur en pleine forme mène tambour battant un beau vignoble qui regarde la mer, à collioure. Pas moins de 200 hectares d’un seul tenant menés en biodynamie, un modèle du genre. Il s’est associé à advini pour reprendre la maison Cazes, connue pour ses rivesaltes admirables (voir verticale sur enmagnum.fr) et, c’est récent, Les Clos de Paulilles, vignoble de crique et de plage.
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Christophe Salin
Lui, il dirige Domaines Barons de Rothschild (Lafite) depuis Paris ou Pauillac. Il est l’artisan du développement de la société en Languedoc, au Château d’Aussières pour lequel il nourrit les plus grandes ambitions. Attentif à l’image de Lafite, il suit de près les soubresauts du marché mondial autour de son premier cru. Mais avec philosophie, Lafite étant sans doute le plus désiré des premiers de Bordeaux.
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Véronique Dausse
Cette grande jeune femme toute simple, photographiée en tailleur dans ses vignes, a la charge du vignoble de la famille Gardinier,
Château Phélan-Ségur à Saint-Estèphe. Passée par l’école de la coopération XXl (Nicolas Feuillatte), puis du grand négoce
(AdVini), elle a une pratique précise des marchés. Sereinement, elle a installé Phélan dans une position quasi unique à Bordeaux : celle d’un cru classé non classé.
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Clément Fayat
Le grand homme du BTP aquitain, très discret Bordelais d’adoption, a toujours eu des vignobles, comme une évidence existentielle. Aujourd’hui, il a passé la main à son fils Jean-Claude, non sans avoir initié le nouveau chai du Château la-Dominique, voisin de Cheval-Blanc et doté, comme lui, d’un nouveau chai spectaculaire, mais signé Jean Nouvel. Une très belle histoire dynastique.
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Dans le vignoble, la coopération prouve à bien des égards son dynamisme et la proposition faite par la cave Grand Listrac aux amateurs de tous âges et de tous horizons qui rêvent de devenir vignerons en est une nouvelle démonstration : « Quand, comment, où et avec qui faire le grand saut ? Telles sont les questions que de nombreux entrepreneurs se posent avant de se lancer dans le métier de vigneron. » Cette coopérative médocaine fondé en 1935 a décidé d’y répondre de la manière la plus simple qui soit en accompagnant littéralement le nouveau départ des aspirants viticulteurs.
Evidemment, cette aventure n’est pas faite pour ceux qui peuvent et veulent se lancer tout seul. Ici, l’idée est de s’associer, de s’engager dans un chemin collectif, basé sur le cahier des charges commun à tous mis en place par la cave au début des années 90. En citant pour exemple deux néo-vignerons venus de Bordeaux et sa région ayant conservé leur activité professionnelle dans l’aéronautique et dans l’industrie pharmaceutique, la coopérative explique que l’expérience passée de chaque nouveau venu est envisagée comme une « richesse » par les adhérents de la cave.
Solide socle de départ fait pour insuffler au rêveur l’énergie de passer à l’action, le programme d’aides de Grand Listrac va de la mise en relation avec des propriétaires en quête d’un successeur à la vinification et commercialisation des vins en passant par la recherche de parcelles, l’aide à la compréhension de la filière, notamment des financements possibles pour l’achat de terres ou de matériel, l’accompagnement technique (tutorat par des vignerons), la mise en commun de matériel, un soutien financier les premières années d’installation et l’appui d’une équipe dédiée aux aspects réglementaires et administratifs.
Pensés pour que la conversion au métier de viticulteur se fasse dans les meilleures conditions possibles, ces avantages permettent également à Grand Listrac, première marque de l’AOC listrac-médoc, d’assurer l’avenir de la coopérative par le maintien de sa production. Vendredi 10 juin, dans le cadre de la deuxième édition de la Semaine de la coopération agricole, la cave organise un atelier dédié au métier de vigneron et à l’installation en coopérative. Sur réservation uniquement, tous les renseignements sont là.
Le dernier champagne millésimé de la maison Lanson s’est fait remarquer lors des éditions 2016 de deux prestigieuses compétitions internationales, les Decanter World Wine Awards et l’International Wine Challenge (IWC). Le champagne Noble Cuvée brut 2002 s’est vu décerner une médaille d’or par l’IWC pendant que le Noble Cuvée blanc de blancs 2002 était récompensé par une médaille d’argent dans les deux compétitions. Le champagne blanc de blancs Extra Age de la maison a également reçu une médaille d’argent lors des Decanter World Wine Awards, dont tous les résultats seront connus début juin.
A partir de septembre 2016, Bollinger Diffusion assurera la distribution exclusive sur le marché français des cognacs de la maison Rémy Martin (Rémy Martin et Louis XIII) et du rhum Mount Gay, ces trois marques appartenant au groupe Rémy Cointreau venant étoffer un portefeuille de spiritueux constitué des cognacs Delamain et des whiskies Tullibardine et Mackinlay. Filiale de la holding familiale SJB (société Jacques Bollinger) créée en 1996, Bollinger Diffusion assure la distribution en France des champagnes et vins de la maison (Bollinger, Ayala, Chanson Père & Fils, Langlois-Chateau) ainsi que des vins du groupe Fayat.
Basé sur des valeurs communes à ces deux groupes familiaux et une même vision du devenir de leurs marques « ancrées dans des terroirs reconnus et associés à des héritages et un savoir-faire d’exception », cet accord conforte la position de Bollinger en tant qu’acteur « majeur » de la distribution de vins fins et de spiritueux de prestige dans les réseaux traditionnels français. Ce dont se réjouit Etienne Bizot, le directeur général de SJB : « Bollinger Diffusion va offrir un portefeuille de marques prestigieuses et complémentaires à nos champagnes et à nos vins et cela à l’ensemble de sa clientèle (…). Il s’agit d’une nouvelle étape dans le développement de nos marques sur le marché domestique et nous sommes heureux qu’elle puisse s’engager avec les marques du groupe Rémy Cointreau. »
C’est Aymeric de Maistre, qui s’est récemment vu confier la direction générale de Bollinger Diffusion, qui est en charge de la mise en œuvre et du développement de ce partenariat à propos le groupe Rémy Cointreau, par la voix de sa directrice générale, Valérie Chapoulaud-Floquet, se déclare également très heureux : « Nos deux sociétés familiales partagent non seulement les même valeurs, mais surtout une recherche d’excellence authentique que nous souhaitons faire partager à nos partenaires distributeurs et à nos clients. Nous sommes très confiants dans cette vision qualitative. »
L’ouverture au public est prévue pour le mercredi 1er juin à 9 h 30 (accès, horaires, tout est là), mais on peut d’ores et déjà réserver en ligne son billet d’entrée dans ce nouveau haut lieu du vin. Le système mis en place permet de définir précisément le jour et l’heure de sa venue et le e-billet fait ensuite office de coupe-file, avantage assez indispensable dans le cas d’événements aussi attendus et annoncés.
Le billet donnant accès au parcours permanent (avec guide multimédia disponible en 8 langues), à l’exposition en cours (Carte blanche à Isabelle Rozenbaum – Photographies de chantier) et au déjà fameux belvédère du huitième étage, pour une dégustation d’un verre de “vin du monde” avec vue panoramique sur Bordeaux, coûte 20 euros (plein tarif adulte).
Valables un an, les abonnements à La Cité du vin permettent un accès illimité au lieu et à ses expositions ainsi qu’au belvédère (dans la limite de 5 dégustations dans l’année), seul ou à deux selon la formule (48 et 84,50 euros). Ils offrent également un tarif avantageux à vos amis (4 maximum par visite) ainsi que des remises à La Boutique, au restaurant Le 7 et aux espaces Latitude 20. Enfin, les billets et pass pour les ateliers ainsi que la programmation de l’auditorium devrait être disponibles dans les jours à venir.
La Cité du vin, ouverture le 1er juin. Billetterie en ligne ici.
La maison de Champagne Besserat de Bellefon a été récompensée par quatre fois lors de l’édition 2016 de la compétition International Wine Challenge, qui vient de se tenir à Londres. Deux champagnes de la gamme Cuvée des Moines, le millésimé 2006 et le grand cru blanc de blancs, ont reçu une médaille d’or. La cuvée des Moines grand cru blanc de noirs ainsi que la cuvée B de B, une médaille d’argent.
Trente-trois établissements scolaires ont participé à l’édition 2016 du concours du « meilleur élève sommelier en vins et spiritueux de France » créé à l’initiative de la maison Chapoutier. La finale s’est tenue à Tain L’Hermitage sous le haut parrainage de Denis Verneau, chef sommelier du restaurant doublement étoilé La Mère Brazier (Lyon), Master of Port 2015, sommelier de l’année 2015 et meilleur ouvrier de France sommellerie 2015. Souhaitons à Jade Dufrenoy, étudiante au lycée hôtelier Bonneveine, qui a remporté la vingt-quatrième édition de ce concours « réservé aux élèves sommeliers qui suivent leur scolarité dans les lycées hôteliers ou CFA français et présentent soit la Mention complémentaire en sommellerie, soit le Brevet professionnel en sommellerie », de suivre ce même parcours. Elle vient en tout cas d’exceller, entre autres épreuves détaillées ici, face à un questionnaire dont l’amateur pourra apprécier la difficulté en cliquant là. Il est même permis de renvoyer ses réponses.
« Je suis ravie et très fière d’avoir gagné. C’était une super expérience, qui m’a permis de présenter des vins que j’aime et de découvrir d’autres vins magnifiques. Et en plus, petite fierté supplémentaire, j’ai mis les garçons au tapis. »
