Accueil Blog Page 338

Du nord au sud, Castel s'engage

Depuis 1988, la stratégie de développement de l’entreprise familiale Castel s’attache à prendre en compte « l’ensemble des enjeux » et agit de façon engagée sur les plans environnementaux, sociaux, et économiques « en développant des pratiques reconnues comme responsables. » Le groupe s’implique aujourd’hui aux côtés de l’ONG Geres, « acteur de référence » dans la préservation de l’environnement qui œuvre depuis 40 ans « dans des domaines d’intervention variés : accès à l’énergie, production d’énergie propre, politique locale et territoires, changements climatiques, sobriété et efficacité énergétique, développement économique. »

« Via ses 26 filiales (Asie, Afrique, Amériques, Europe), via ses vignobles en France, en Afrique et en Asie, Castel saisit pleinement les enjeux inhérents aux conditions de production et de distribution à travers le monde. » Outre une priorité donnée à la sécurité alimentaire, Castel a pris différents engagements portant sur la réduction de l’impact environnemental de ses activités, la préservation des ressources et le développement d’une offre responsable (viticulture raisonnée, démarches de certification) qui ont porté leurs fruits. Depuis 2010, ses consommations de gaz, d’électricité et d’eau ont été respectivement réduites de 15, 20 et 24 % et Castel recycle désormais 75% de ses déchets.

Le soutien apporté aujourd’hui à Geres renforce encore la mobilisation du groupe et « souligne qu’une action commune en faveur du climat et des populations les plus fragiles est possible. » Devenir un ambassadeur de la solidarité climatique « consiste à devenir le porte-voix d’une communauté d’intérêts, au service d’actions concrètes dans les pays en développement. » À l’opposé du « catastrophisme », il s’agit de favoriser l’émergence d’une économie plus responsable d’une société plus consciente. On pourra lire ici la charte déclinant les six principes qui fondent cette solidarité.

Capture d’écran 2015-12-07 à 15.51.09

7 – Seize grands bordeaux


D’ici au grand jour, il y a 18 jours et il y a chaque jour ici une idée de cadeau



Du 1er au 31 janvier se tiendra la cinquième édition de l’opération menée par le négociant bordelais Duclot – La Vinicole autour de « de très grands bordeaux à des prix doux ». Enrichie cette année par cinq tables en province (voir la liste des 29 restaurants participant à cette édition 2016 ici), « Carte sur Table » est l’occasion d’offrir à un amateur la possibilité d’hésiter entre « 16 vins des plus grands terroirs des deux rives, de 1996 à 2011. » De Quimper à Megève en passant par Rouen, Paris et Gigondas, toutes les adresses sont répertoriées ici.

Capture d’écran 2015-12-07 à 14.09.03
Carte sur Table 2016, du 1er au 31 janvier 2016.
Offre valable dans la limite des stocks disponibles.


Le bon génie d' Enzo Vizzari

Rédacteur en chef de l’Expresso, Enzo Vizzari est un piémontais donneur de frissons. Son Master Class dédié au génie des vins italiens fera date. Avec cet amoureux de la Bourgogne, pas de mise en bouche, on attaque directo Barbaresco, sur un époustouflant Langhe Sori Tildin 2011 d’Angelo Gaja : modèle d’élégance, de pureté et de parfums ce cru interpelle par sa texture de grand cru bourgoguignon. Dans sa version 2001 le Rocche del Falletto Riserva de Bruno Giacosa offre des franges bien empourprées. Au nez le vin se livre heureux et frais sur des notes de fleur et de truffe blanche. Super Toscan, le Sassicaia 1998 de Tenuta San Guido à Bolgheri exhibe à la fois de délicieux arômes de truffe et de fumé qui rendent l’instant paisible. Véritable légende, le Brunello di Montalcino,Biondi Santi Riserva 1983, présente un nez terrien très noble, le tannin fondu et suave s’étire avec subtilité en terminant sur une note poivrée.Figés dans l’éternité, les blancs du domaine Valentini tirent une larme de religiosité à Michel Bettane prêt à prendre la bure pour de tels nectars: le Trebbiano d’Abruzzo 2010 constitue l’archétype absolu du vin nature ; sur ce cru pas de fruité ni de minéral mais un accent fermentaire d’une pureté unique. Le 1998 incarne le modèle du vin blanc d’exception, avec une part d’oxydation ménagée créée par le ferment et des accents d’essence de noisette transcendantaux.


L'album de famille de la famille Cattier


L’album de famille vous ouvre les portes et la mémoire des crus, humbles ou prestigieux.
Nous demandons chaque semaine à un grand producteur de nous ouvrir son album de famille
au travers de cinq souvenirs emblématiques de sa propriété.

Baladez-vous sur les images, qui seront dévoilées quotidiennement, et découvrez l’histoire de la Maison.


[hsmap name= »cattier »]


6 – La part de l’ombre


D’ici au grand jour, il y a 19 jours et il y a chaque jour ici une idée de cadeau



Lancée en 2000, la carafe Extra de la maison de cognacs Camus joue toujours avec succès du côté de l’épure et de la transparence. Elle est désormais assortie d’une version laquée de noir qui cache avec audace la robe aux reflets acajou d’un cognac que le maître de chai de la Maison, Patrick Léger, qualifie d’« expérience aromatique riche et puissante. » 


Camus, cognac Extra « Dark & Intense », 480 euros


5 – Noël tous les mois


D’ici au grand jour, il y a 20 jours et il y a chaque jour ici une idée de cadeau



Service permettant de recevoir chaque mois deux bouteilles de vin sélectionnées par Jean-Michel Deluc, ancien chef-sommelier du Ritz, « Le Petit Ballon » compte déjà 20 000 abonnés à ses deux formules de box, L’Age de raisin (19,90 euros/mois) et Le Bel âge (39,90 euros/mois). Outre un “kit du dégustateur” comprenant deux verres certifiés INAO, un tire-bouchon, un stop-gouttes et un guide du “parfait dégustateur” (24,90 euros), le site propose en cette fin d’année des cartes-cadeaux permettant d’offrir un abonnement de 3, 6 ou 12 mois, cliquez , et ce même à la toute dernière minute grâce à la version imprimable.



Carte-cadeau « Le Petit Ballon », à partir de 59,70 euros.


4 – Une longue histoire


D’ici au grand jour, il y a 21 jours et il y a chaque jour ici une idée de cadeau


Spécialiste des écrits sur le vin depuis 1813, l’éditeur bordelais Féret vient de publier un “beau livre” d’art et d’histoire qui explore les relations entre le vin et le divin, unis depuis plus de six mille ans « dans une même ferveur » et relate la place de cette boisson sacramentelle et fondatrice « dans la mémoire et la vie des hommes. » Incarnation de la civilisation, le vin est « éminemment religieux » avant d’être culturel ou économique.

Liens sacrés du vin et de Dieu, ou des dieux : imaginerait-on Noé sans son cep de vigne et son ivresse ? La Bible sans ses quatre cent quarante et une citations sur la vigne et le vin ? Dionysos/Bacchus sans leurs attributs… viniques ? La Pâque juive sans ses quatre coupes de vin ? Le paradis d’Allah sans ses fleuves de vin précieux ? Les fêtes de la Saint-Vincent sans le jus de la treille ? »

Journaliste spécialisée dans les domaines du vin et de la gastronomie, l’auteur de cet ouvrage est la créatrice du site plusbellelavignebio.com et du guide des vins en biodynamie (Plusbellelavignebio 2015 et Féret 2014, 2013, 2012). Evelyne Malnic a également signé de nombreux livres, entre autres L’Accord parfait, avec Philippe Bourguignon (Le Chêne 1997, prix Saumur 1998, réédition en 2005), le Grand Larousse des vins (participation à l’ouvrage collectif) et Le vin décrypté avec Antoine Petrus (2007).

Evelyne Malnic, Le Vin & le Sacré.
Editions Féret, 176 pages, 39,90 euros


Le vin, je l’aime, je le respecte

La consommation de vin a beaucoup changé en 50 ans. Le vin est passé d’un statut “aliment quotidien” à un produit de consommation occasionnelle, de convivialité et de partage. C’est une bonne chose. Il est d’autant plus essentiel d’accompagner ces changements et de donner aux Français des cadres permettant de se situer. »
Joël Forgeau, président de Vin & Société

Avec pour “héros” des grains de raisins pleins de raison, l’organisme Vin & Société, qui fédère les 500 000 acteurs de la vigne et du vin en France, s’apprête à lancer une campagne pédagogique nationale qui durera jusqu’à l’été 2016. Cette initiative qui est une première pour la filière viticole a pour ambition de faire connaître les repères de consommation définis par les autorités de santé, qui donnent un cadre très clair à la notion de modération ainsi qu’une définition de la consommation excessive, mais sont pourtant ignorés par neuf Français sur dix (baromètre Ifop – Vin & Société 2014).


« Il nous paraît fondamental de faire connaître les repères de consommation. Rappelons que les pouvoirs publics dépensent seulement 5 millions d’euros par an pour conduire des campagnes de prévention alcool et qu’aucune campagne sur les repères de consommation n’a été menée jusqu’à présent, contrairement à ce qui se fait par exemple en Espagne ou au Québec », explique Joël Forgeau, en ajoutant que L’OCDE a rappelé à l’ordre au mois de novembre tous les pays membres, estimant leurs dépenses de prévention insuffisantes.

« Elles représentent en moyenne 3 % des dépenses totales de santé et la France a un niveau encore inférieur avec seulement 2 %. Certes, nous ne réglerons pas tous les problèmes de santé publique à nous seuls avec une première campagne d’information, mais nous nous engageons et nous faisons notre part. Nous tendons la main aux autorités de santé pour des actions complémentaires concertées alliant raison et responsabilité. Chacun le sait bien, l’éducation et la prévention sont les chemins les plus efficaces pour lutter contre les abus. »

A partir de dimanche, dans la presse quotidienne nationale (Le Journal du Dimanche, Le Figaro, Le Monde et Libération), la presse hebdomadaire (Le Point, L’Obs, Paris Match), la presse professionnelle (La Vigne, La Revue des vins de France, Rayon Boissons, Viti, Terre de Vins) et sur différents sites d’info grand public comme de gastronomie, les affiches ci-dessous vont largement se montrer. Cette toute première campagne grand public de Vin & Société sera aussi relayée sur les réseaux sociaux (#Vindomptables) et 500 000 notices de consommation responsable vont également être éditées. 





Aimer le vin, c’est aussi avoir un grain de raison :
2 verres maximum par jour pour les femmes,

3 verres maximum par jour pour les hommes,

4 verres maximum en une seule occasion
,
0 verre au moins 1 jour par semaine.

Capture d’écran 2015-12-03 à 17.29.43

Un vignoble pionnier


A l’heure où Paris accueille la COP 21, la Champagne rappelle son engagement dès les années 80 dans une viticulture durable et responsable. Par la voix de son comité interprofessionnel (CIVC), la filière rappelle qu’en 30 ans « les températures ont augmenté de près de 1,2°C et les dates de floraison et de vendanges ont été avancées de deux semaines. » Face à cet « impératif climatique », pris en considération très tôt, estime Vincent Perrin, directeur général du comité interprofessionnel du vin de Champagne, de nombreuses solutions ont été mises en œuvre pour la protection de l’environnement (référentiels techniques, outils d’aide à la décision, conseils et accompagnement). « Nous nous devions d’anticiper », souligne Vincent Perrin, et cette précoce mobilisation ne s’est jamais tarie.

En 2003, la Champagne a été la première région viticole au monde à calculer son empreinte carbone et à mettre en place un plan carbone qui a permis de définir plusieurs axes d’actions, viticulture durable, transport et fret, efficacité énergétique des bâtiments, achats responsables et accompagnement de la mobilisation, aboutissant à des solutions particulièrement innovantes, comme la réduction de 7 % du poids de la bouteille de champagne. La Champagne a ainsi réduit ses émissions de gaz carbonique de 15 % par bouteille expédiée en 10 ans et fait partie des rares filières économiques à avoir réduit ses émissions en valeur absolue. »

En 2015, 100 % des exploitants du vignoble champenois sont intégrés dans cette démarche et la récente inscription sur la Liste du patrimoine de l’humanité des « Coteaux, maisons et caves de Champagne » est venue saluer cette capacité de la filière à préserver son patrimoine. Pascal Férat et Jean-Marie Barillère, co-présidents du comité interprofessionnel champenois, confirment que les « vignerons et maisons de Champagne sont plus que jamais soudés autour d’une stratégie de viticulture durable. Valoriser nos vins, c’est innover en permanence pour transmettre aux générations futures un patrimoine économique et écologique. »

3 – L’art de la conservation 



D’ici au grand jour, il y a 22 jours et il y a chaque jour ici une idée de cadeau



Depuis quarante ans, Eurocave permet aux professionnels comme aux particuliers du monde entier de conserver leurs vins (et aussi leurs cigares) dans des conditions qui font référence du point de vue de la technologie comme de leur simplicité d’utilisation. En s’attachant autant à la garde des bouteilles qu’à leur bonne conservation une fois ouvertes, le leader du secteur propose ainsi aux amateurs différents solutions pour la conservation et le service de leurs vins, fabriquées dans le nord de la France. A ses différentes “caves” pour la maison permettant de stocker de dix bouteilles (« Tête à tête ») à plus de deux cents (gamme Première), Eurocave vient d’ajouter le bar à vin deux-en-un en photo ci-dessus, dont l’efficacité « a été prouvée scientifiquement par la cellule d’expertise scientifique en œnologie (CESEO) de l’Institut universitaire de la vigne et du vin. » Baptisé « Wine Art », il permet de conserver deux bouteilles jusqu’à dix jours après leur ouverture en combinant mise à température et mise sous vide automatisée. Lauréat des trophées de l’innovation créés à l’occasions des dix ans du Grand Tasting, Eurocave sera présent au carrousel du Louvre ces vendredi et samedi, stand 73.

Eurocave, bar à vin Wine Art, 399 euros