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La dégustation Pape-Clément

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À LIRE >Pape-Clément l’œuvre de Bernard Magrez…


Propriété historique majeure avant d’être le vin d’un homme, Pape-Clément est à son meilleur depuis 1985-1986, époque de la reprise par Bernard Magrez. C’est une des quelques propriétés bordelaises myhtiques, de celles qui symbolisent et résument toutes les qualités que l’amateur recherche dans un grand vin rouge de Bordeaux. Pape-Clément y ajoute une personnalité qui lui est propre.
Depuis environ un quart de siècle, Bordeaux produit de très bons vins. Il n’y a plus de millésime médiocre et les crus sont chaque année meilleurs. Cette verticale en fait, une fois de plus, la démonstration éclatante. Pourtant, il y a dans les vins du Château Pape-Clément une constance qu’on ne retrouve pas partout. Pape-Clément est avant tout un cru qui donne une définition claire de son terroir. Le caractère truffé et précis du grain, la texture et le soyeux de la chair, c’est l’essence même d’un grand pessac. Combien de propriétés peuvent afficher une telle régularité sur une séquence de près de trente ans ?[/col]
[col width= »six »]Bernard Magrez était un industriel des vins et spiritueux, bien loin de l’univers et des logiques des grands vins. Cependant, il a tout de suite compris que Pape-Clément était un grand cru et qu’il fallait le mener comme tel. Peu à peu, Il a affiné le processus de élaboration en soignant les détails à toutes les étapes du process sans jamais perdre de vue l’objectif de tout propriétaire de grand cru classé : le sommet.
Les Anglais disent qu’il n’y a pas de grands bordeaux sans grands marchands. Les Américains prétendent qu’il n’y a pas de grands bordeaux sans grands critiques. On s’aperçoit surtout qu’il n’y a pas de grands bordeaux sans grands propriétaires, administrateurs, actionnaires. Tous les grands bordeaux sont poussés sur le chemin du succès et de l’amélioration permanente par des propriétaires qui y mettent leur passion, leur argent, leur temps et leur capacité à prendre des décisions au bon moment. Bernard Magrez a joué ce rôle pendant les 30 dernières années et le résultat est à, éclatant. Certes, il y a des équipes qui ont très bien travaillé, mais surtout il y a un cap qui a été défini et une impulsion qui n’a jamais failli.[/col]


2012 17,5/20

Fermé mais non maquillé au nez, notes de fraise au nez et en bouche, de la fraîcheur, tannin franc, bonne persistance, du caractère et de la complexité.


2011 18/20

Riche et serré dans sa texture, avec une vinosité rare dans le millésime, grande suite en bouche, et déjà présentes les notes fumées du terroir.


2010 19/20

Il frôle la perfection. C’est un monstre qui sait rester élégant et avancer à pas de velours. Le nez est exubérant, racé, superbe de maturité et de concentration, le boisé est à sa place, la bouche massive mais civilisée, grandement fruitée, longue et d’un équilibre irréprochable.Note: 19.0


2009 18/20

Nez puissant et impérial, grand fruit très mûr, minéralité, épices, boisé harmonieux et bien à sa place, bouche dense, profonde, montrant une belle ossature tannique, une grande vigueur. Très imposant, équilibré, fait pour durer.


2008 18/20

Vin équilibré, épicé. De la fraîcheur et une belle vivacité à ne pas confondre avec de la minceur. Finesse de tanin, on retrouve une énergie tonique et de la sveltesse.


2007 16,5/20

Finesse de tanins, raffinement de toucher. Éclat de fraîcheur qui accompagne une finale magnifique. Vin avec un potentiel de garde phénoménal.


2006 17,5/20

Caractère épicé, arômes typiques de pessac-léognan, note de truffe. Tanin plus solide que les crus précédents. C’est le premier millésime de cette série qu’on voit entrer dans une seconde phase aromatique avec ce nez de truffe et d’épices.


2005 18/20

Très beau cru, raisins mûrs. Très complet avec de la chair, mais des tanins qui sont sur la fermeté plus que sur l’épanouissement. On peut le laisser longtemps en cave.


2002 15/20

Vin très réussi, très équilibré. On a le côté épicé, fumé, des arômes de cuir. Vin très joli qui a l’âge d’être bu et qui a de la classe. Qualité et soyeux des tanins. Une chair très élégante.


2000 17,5/20

L’année du millenium ne pouvait être que grande. De la finesse, une chair dans l’élégance, des arômes purs, du dynamisme et de la profondeur. On retrouve la pureté du cru. C’est magnifique.


1995

Ce vin est dans la fin de sa deuxième phase avec des arômes de sous-bois. Il conserve en finale une note de fraîcheur mentholée. Beaucoup de délicatesse, nez complet. C’est un vin pour les grands amateurs, délicieux à table.


1990

Millésime abondant avec des raisins mûrs, la matière est riche et élégante, subtile et soyeuse, mais on sent une très légère dilution. il y a du volume, du soyeux et une belle qualité de tanins.


1988

Vin très classique dans ses équilibres, mais un peu austère. On retrouve une qualité de fraîcheur, de tanin, de fruit ainsi qu’une note de champignon. Belle netteté. En finale, cette austérité se transforme en une élégance fine et fruitée.

Embarquement immédiat pour Moët Hennesy

Pour la première fois, les différentes maisons du groupe Moët Hennesy, la partie vins et spiritueux de LVMH, sont réunies au sein d’une boutique qui a ouvert en septembre dans les allées dédiées au luxe en duty-free de l’aéroport Charles-de-Gaulle (terminal 2E). Cet espace unique au monde où les flacons de cognac Hennessy côtoie les bouteilles de champagne des maisons Moët & Chandon, Veuve Clicquot, Ruinart, Dom Pérignon et Krug propose aux voyageurs en partance « une interprétation contemporaine de la tradition. » Conçu par l’architecte Jean-Michel Wilmotte, ce corner d’un nouveau genre fait la part belle aux savoir-faire et à l’histoire de chacune des maisons. De grands crus en flacons rares, cette « exploration sensorielle » des vignobles du Cognaçais et de la Champagne inclut des effets sonores interactifs déclenchés par des capteurs. Ainsi, en passant devant une bouteille, ou en s’en emparant, le visiteur entend l’habillage sonore correspondant, cela peut-être de la musique ou bien la voix du maître de chai qui livre l’un de ses secrets. Enfin, une stimulation olfactive a été mise au point par Thierry Wasser, maître parfumeur de la maison Guerlain, sur la base de sa rencontre avec Richard Geoffroy, le chef de cave de Dom Pérignon. Fragrance discrète alliant « une pointe de violette, un soupçon de tilleul et quelques touches de muguet», le parfum d’intérieur Fleur de Vigne a été conçu pour emmener en voyage « au cœur des vignobles Moët Hennessy » chaque visiteur en transit dans cette nouvelle boutique, pour le moment unique au monde.

Les grands vins, ça va

La France va mal. Ce n’est même pas une information, chacun peut mesurer la cata à l’aune de ses propres préoccupations. Dans cette ambiance désastreuse, on se demande qui, quoi aurait le culot d’afficher une belle santé. La crise, déclenchée à la fin de l’été 2008 et dont on ne sait plus très bien si elle a cessé ou si elle est réservée aux seuls Hexagonaux, porte certainement la responsabilité de bien des déconvenues. Le monde du vin n’y échappe pas, qui y ajoute des épisodes météorologiques très inopportuns. La position prééminente du vin français dans le monde ne lui a pas épargné en effet les revers les plus brutaux depuis 2008. Le dernier trimestre de cette année-là et les deux premiers, au moins, de 2009 ont vu des marchés se fermer, des commandes s’annuler, des stocks s’accumuler. Lire la suite sur le blog bonvivant.

Les Chinois, Jésus et moi

Les Chinois chantent la gloire de l’Enfant-Jésus. Ne voyez pas dans mon propos une quelconque tentative de prosélytisme à caractère mystique. Si d’Enfant-Jésus je parle, c’est bien de celui qui s’habille volontiers d’une culotte de velours et s’est installé au cœur du vignoble de Grèves, dans ce splendide amphithéâtre dédié au culte du vin que constitue le vignoble de Beaune. Depuis plus de deux siècles, la maison Bouchard Père et fils veille sur sa destinée (1) et le ressuscite à chaque vendange dans tout son éternel éclat. Au cours de la dernière étape de notre périple asiatique, j’ai eu la chance d’animer un formidable dîner-dégustation dans la ville Guangzhou, mieux connu des Français sous le nom de Canton, dont le beaune-grèves Vigne de l’Enfant Jésus 1961 fut le héros. Canton, dans cette Chine du sud autrement moins policée que le raffiné voisin Hong Kong, que l’austère Beijing ou que la flamboyante Shanghai, Canton où les gens parlent fort cette langue cantonnaise si chantante et haute en couleur, Canton où comme partout en Chine, on aime afficher sa réussite à grand renfort de berlines allemandes rutilantes pour les hommes et d’escarpins Louboutin pour les femmes, à Canton donc, sous l’égide de mon ami Georges, homme du cru à l’inénarrable allure de chinese lover indolent, grand connaisseur et lecteur de notre guide depuis 1996, nous voici l’Enfant-Jésus et moi, face à trente-cinq Chinois prêts à célébrer le trésor.
On imagine trop, vu de France et y compris vu des producteurs français, le marché chinois comme un regroupement de béotiens buveurs d’étiquettes – fussent-elles factices – et incapables de repérer et encore moins d’apprécier les mille et une subtilités de nos vins. Ici, tous – et presqu’autant de femmes que d’hommes – jugèrent à son extraordinaire valeur la robe juvénile, les tanins de soie et les nuances de cuir tendre, d’épices fins et de fleurs fraîches qui composaient un extraordinaire bouquet, la longueur intense de ce nectar parti pour l’éternité. Les questions fusaient, toutes plus pertinentes et précises les unes que les autres, la compréhension du vin (et des six autres qui furent servis à cette occasion) totale et, souvent, très fine. Ici, à Canton, l’Enfant-Jésus était chez lui, comme sous beaucoup d’autres latitudes. Leçon : la civilisation du vin est universelle et ses valeurs sont beaucoup mieux partagées qu’on ne le pense habituellement.

(1) Le cru appartenait sous l’Ancien Régime à un ordre religieux qui fut exproprié sous la Révolution. Les Bouchard acquirent aux enchères peu de temps après ce « bien national ».

Georges Dos Santos, Cave Antic Wine à Lyon


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Cave Antic Wine
18 Rue du Bœuf
69005 Lyon
04 78 37 08 96

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Après avoir fait un tour du monde des vignobles, Georges « Jojo » Dos Santos a ouvert au cœur du Vieux Lyon une véritable bibliothèque de vins de tous les jours, le Rhône et le Beaujolais en haut de l’affiche, des grands noms en grands formats et de 20 pays viticoles.
4 300 étiquettes, 87 millésimes, un nombre incalculable de vins avant 1900 et un tôlier branché sur 220 volts ! Vous demandez … on trouve ! Large soif les gones.

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Y ALLER


Crédits photo d’ouverture : http://www.anticwine.com/

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Chablis Château-de-Béru 2010

 


 

Clos Béru 2010

Dans ce beau millésime cette cuvée est déjà arrivée à maturité : elle dégage un puissant arôme de froment qui rappelle la forte activité des levures et le respect de leur travail à l’élevage puis à la mise. Le vin est très gras, ample, savoureux, et sans lourdeur grâce à une fin de bouche saline qui met très honnêtement en valeur les sols classiques, argilo calcaires de ce clos. Une étiquette élégante ne dépare pas le produit. Si 2010 est épuisé le 2012 devrait prendre dignement la suite, en attendant le prometteur 2014.

16/20

Disponible à 36 euros la bouteille
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Une petite révolution est en train de se produire dans le « jeune » vignoble du chablisien, ce qui n’est pas le cas des vignes quand elles ont plus de 30 ans, mais de la mentalité des vignerons qui ont attendu que leurs enfants prennent la relève pour faire le travail comme il faut. Ainsi dans son joli vignoble clos de murs Athenaïs de Béru pratique une viticulture respectueuse, inspirée par les pratiques biodynamiques et a métamorphosé le vin de sa propriété qui ont longtemps été disons « ingrats ». On s’aperçoit que quelques coteaux en bordure des premiers crus pourraient légitimement en faire partie. Outre la beauté du château et le charme de la châtelaine on n’hésitera pas lors de séjours dans la région à loger dans de très agréables chambres d’hôte.

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La préhistoire est parmi nous, j'te jure

Le monde enchanté de l’internet ouvre à chacun le droit à l’expression. Très bien. Même si.
Enfin, bon, voilà que certains en profitent pour nous vendre n’importe quoi, ce n’est pas nouveau. J’ai reçu ce communiqué de presse délicieux et je ne résiste pas au plaisir intense de le partager avec mes lecteurs tant aimés. Il s’agit d’une reproduction de l’original, je n’y ai rien changé du tout et surtout pas les fautes d’orthographe, admirables.Lire la suite sur le blog bonvivant

Le week-end du sauternes

Pour 2014, l’interprofession évoque un beau millésime, frais, aromatique et plus que jamais « cousu main », qui aura exigé un travail de précision et beaucoup de patience de la part des vignerons de Sauternes et Barsac. Après une longue période de temps chaud et sec, les vendanges ont débuté à la mi-septembre sur des raisins passerillés, c’est-à-dire secs, mais non botrytisés. Les averses des quinze premiers jours d’octobre ont permis le développement tant attendu du botrytis.

« De nombreuses tries ont été nécessaires à la récolte des raisins afin d’extraire le meilleur de la vendange. Le savoir-faire du vigneron sauternais s’est ainsi pleinement exprimé durant ces vendanges : un travail artisanal, rigoureux et précis de sélection des meilleurs raisins lors des différents passages dans la vigne. A travers chaque instruction donnée à son équipe de vendangeurs, c’est la personnalité du vigneron qui s’exprime et qui appose sa griffe sur son vin. »

C’est ce savoir-faire typique de la production de liquoreux que le grand public est invité à découvrir, samedi et dimanche, dans une cinquantaine de châteaux situés dans les communes de Fargues, Sauternes, Barsac, Bommes et Preignac, en AOC sauternes et barsac. Des repas fermiers sont au programme au château Jany (Barsac) et des démonstrations du travail du sol par traction animale auront lieu au domaine de Pistoulet (Bommes) et au château La Clotte-Cazalis (Sauternes).

Au château de Rayne Vigneau, la dégustation se fera au sommet d’un cèdre centenaire et au chateau Guiraud, on pourra profiter des derniers jours de l’exposition Le cercle parfait de la lune ne dure qu’une nuit, dont nous vous avions parlé ici. Enfin, des séances d’initiation à la dégustation organisées par l’Ecole du vin de Bordeaux se tiendront au château La Tour Blanche (Bommes). Ces sessions gratuites de 40 minutes seront dispensées de 14 h à 18 h durant les deux jours, sans réservation.

Le programme complet de ces journées « portes ouvertes » est à découvrir ici.

La caisse de douze côtes-du-rhône


Le côtes-du-rhône est une légende. Oui, encore aujourd’hui et même, peut-être, plus que jamais. Voici notre caisse de douze. Le plaisir est dans la caisse vide.


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Domaine Grande Romane blanc

Pierre Amadieu 9,95 euros 14,5/20

100 % vieilles clairettes vinifiées en barrique, un vin expressif aux notes florales associées avec du miel, la bouche est pleine et grasse avec toutefois une belle fraîcheur.
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[su_tab title= »VIN 2″]Barroche

Domaine de la Barroche rouge

Châteauneuf-du-Pape 2004 NC 15/20

Vin à la robe profonde, au beau nez de fruits noirs et de prune, à la longueur suave, structurée en finesse, tapissant.
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calendal

Philippe Cambie Calendal rouge

Philippe Cambie – Les Halos de Jupiter 2006 NC 16/20

Appartenant à l’oenologue vedette de Châteauneuf du Pape, Philippe Cambie et au propriétaire du Domaine des Escaravailles Gilles Ferran, cette petite vigne du Plan de Dieu permet la naissance d’un Calendal qui débute splendidement dans la vie : à la fois allègre vin de soif et de plaisir, avec ses notes très expressives de fraise et sa fraîcheur subtile, c’est un vin complet, profond et persistant. Un régal!
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chênebleu

Abélard

Le Chêne Bleu 2006 NC 14,5/20

Concentré et précis en bouche, avec des arômes de poivre noir et de cacao. Le passage en barriques reste toutefois très marqué mais les tanins sont fins et soyeux.
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fontduloup

Château de la Font du Loup blanc

Châteauneuf-du-Pape 2005 NC 15/20

Ce domaine sagement mené a réalisé de beaux 2005 et 2006. Ainsi, cette cuvée principale séduit par sa robe pleine, son corps onctueux, son style sans lourdeur, élégant et profond.
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réméjeanne

Les Arbousiers

Domaine La Réméjeanne 2006 NC 14,5/20

Du véritable jus de cerise au nez et en bouche. Extrêmement plaisant, une belle structure en bouche avec des tanins fermes et bien travaillés.
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closmontolivet

Clos du Mont-Olivet

Châteauneuf-du-Pape 2003 26 euros 15/20

Arôme discret de petite cerise noire, d’olive, texture très souple, finesse évidente. Le vin s’étoffera comme d’habitude au vieillissement.
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[su_tab title= »VIN 8″]
notredamedecoujeac

Notre-Dame de Coussignac

Ogier NC 14,5/20

Plus intense que le côtes-du-vivarais, ce vin qui associe la syrah et le grenache se révèle gourmand et plus long, avec un bon fruit.
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saint cosme

Château de Saint-Cosme

Côte Rôtie 2005 NC 13/20

Très fruité, gras et immédiatement séduisant, ce côte-rôtie joue sur sa rondeur et sa fraîcheur plus que sur la profondeur.
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Mas saint louis

Mas Saint-Louis

Châteauneuf-du-Pape 2010 20,50 euros 16,5/20

Beaucoup d’élégance dans le toucher de bouche, notes fraîches de cassis en bouche, persistant et noble, une heureuse découverte, rappelant les vins d’autrefois en beaucoup plus pur.
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tradition

Tradition

Domaine Santa Duc 2009 23,30 euros 15,5/20

Très complexe sur l’olive noire, le kirsch avec une touche de cacao, la bouche offre un beau soyeux de tannin et de l’équilibre.
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TerresBoisées

Terres Boisées blanc

Domaine Alain Voge 2011 21,90 euros 14,5/20

Mûr, onctueux, moins boisé que Fleur-de-Crussol mais de même style, un rien mielleux.
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