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Bernard Pivot et moi, on est très déçu

Voilà que deux ministres toutes gonflées de leur importance nous ont chagriné notre Bernard Pivot qu’on aime tant. Autant le dire tout de suite, il a rejoint un club qui compte des dizaines, voire des centaines de milliers de membres, dont moi.
Mesdames Filipetti (Culture) et Batho (Écologie, etc.) ont décidé du haut de leur savoir immense de ne présenter ni la candidature des « Coteaux, maisons et caves de Champagne » ni celle des « Climats de Bourgogne ». C’est net et sans réplique, les représentants du patrimoine mondial de l’humanité de l’UNESCO vont avoir à se pencher sur deux autres impétrants : la grotte Chauvet et la chaîne des Puys-faille de Limagne.

Non ne riez pas, c’est vrai et ce n’est pas drôle du tout.
Au lieu de porter haut les couleurs toniques de la France, ces dadames préfèrent une bousculade…

Jeanjean + Jeanjean





La Maison Jeanjean et les Vignobles Jeanjean se sont réorganisés afin que soient bien dissociées les activités de chacune des structures. La Maison Jeanjean, dirigée par Sébastien Narjoud, reste dédiée à la production et à la diffusion des domaines partenaires. Les six propriétés familiales qui constituent les Vignobles Jeanjean sont dirigés par Brigitte Jeanjean. Avec son équipe, qui vient de s’attacher les conseils de l’œnologue Claude Gros, cette dernière travaille à opérer une montée en gamme basée sur la connaissance des terroirs languedociens et une réelle démarche vigneronne.

Deux régions, deux salons.



Deux salons professionnels importants démarrent ce lundi.

A Marseille, la quatrième édition de Bleu Wine Expo, le salon organisé par la Fédération régionale des vignerons indépendants de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, se tiendra durant deux jours au Palais du Pharo. Plus de cent vignerons indépendants de Provence et du sud de la vallée du Rhône y seront présents pour accueillir importateurs, détaillants, restaurateurs et acheteurs professionnels venus du monde entier. Pour célébrer le statut spécial de la ville, capitale européenne de la culture cette année, une cuvée collector « Marseille-Provence 2013 » sera élaborée sur la base du vote des visiteurs. Plus d’infos ici.

Plus au nord, c’est le troisième vignoble de France et ses quatre-vingt trois AOC qui tiennent salon au Parc des expositions d’Angers. Créé en 1987, le Salon des Vins de Loire permet aux visiteurs français et internationaux de découvrir, en avant-première et avant la mise en marché, le millésime de l’année. Près de six-cents exposants du Pays Nantais, des Régions Anjou-Saumur, Touraine et Centre Loire, proposeront aux neuf mille visiteurs attendus de découvrir la richesse, la fraîcheur et la diversité de leurs vins. De dégustations en master class, l’une d’entre elles sera consacrée au chenin et au melon de Bourgogne, le programme complet de ces trois jours est .

Qu’est-ce qu’on fait ce week-end ?






On mange (deux fois) des crêpes. Samedi, à 17 h à Paris, chez Legrand Filles & Fils, pour accompagner la dégustation de deux cidres, cuvée brut et cuvée Saint-Georges AOC Pays d’Auge, issus du domaine familial Manoir d’Apreval (Honfleur). Dimanche, direction Reims, le domaine Les Crayères et son restaurant gastronomique Le Parc pour un savoureux brunch de la Chandeleur. Saveurs sucrées-salées et crêpes préparées sous vos yeux de 11h30 à 14h30. Menu hors vin 85 €, on pense à réserver.

On s’initie au gamay. Si on le rencontre dans de nombreux vignobles de France et s’il pousse sur 37 000 hectares au total dans le monde, ce cépage a pour terre de prédilection les côteaux granitiques du Beaujolais où il couvre
18 000 ha. Tout récemment, lors de la 3e édition de l’International du Gamay organisée par l’Inter Beaujolais, les experts ont jugé des centaines d’échantillons de vins élaborés à partir de cépage gamays (85 % minimum) produits dans le monde entier. Les gamays français ont reçu cent-quarante deux médailles, dont trente-deux Grand Or. Les appellations du Beaujolais, cent-treize médailles, dont vingt-trois Grand Or. Liste complète des vins médaillés .

On anticipe. Février est arrivé dont le point d’orgue sera la traditionnelle Saint-Valentin. A ce sujet, trois choses à faire. D’abord, consulter le catalogue en ligne de la vente aux enchères de vins fins que la maison Artcurial organise mardi et mercredi et qui comporte, en partenariat avec le Château Yquem, quelques lots de sa cuvée Y,
un vin blanc sec moins connu, mais pas moins grand, que son célèbre liquoreux. Parfait si vous partagez votre vie avec Yves ou Yaëlle, mais aussi dans les autres cas.

On anticipe, suite. Que les pointilleux le sachent, ce ne sera pas tout à fait le jour J, mais la veille, que se tiendra cette dégustation en forme de tour de France des rouges mythiques, dont les places sont comptées. Le tarif est de 68 €, on s’inscrit ici après avoir lu le programme des réjouissances, qui se dérouleront dans un restaurant parisien :

-Domaine de Trévallon 2004
-Domaine Clos Rougeard, Saumur Champigny « Les Poyeux » 2007
-Domaine Rostaing, Côte-Rotie « La Landonne » 2004
-Château Bel Air Marquis d’Aligre, Margaux 1995
-Domaine Barral, Faugères « Jadis » 2000
-Domaine Breton, Bourgueil « les Perrières » 1986
-Château de Fonsalette 1997
-Domaine de l’Arlot, Vosne Romanée 1er Cru « les Suchots » 2006

On anticipe, fin. Si vous aussi, vous croyez que «la connaissance du vin et de ses univers permet d’accroître le plaisir et l’intérêt de la dégustation» et que «mieux connaître le vin permet également de mieux boire», à savoir ne boire que les vins que l’on préfère, «ceux qui sont à notre goût, ceux qui sont bien nés et bien faits, dans le respect du terroir, de la nature et de la santé», alors votre idée du vin, cet hédonisme contemporain, va avec les objets qui sont sur ce site-là, une mine de trésors pour le jour des amoureux et pour tous les autres jours.

On va se promener. Mardi dernier, la Maison de cognac Rémy Martin, et plus précisément son offre appelée
Visites et Rendez-Vous, a reçu le Prix national de l’œnotourisme dans la catégorie Mise en valeur d’un site viticole. Une récompense qui vient saluer un travail à destination du grand public, mis en place dans les années
90 et affiné en 2007, qui propose des expériences épicuriennes autour des cognacs de la maison, du terroir, de l’histoire, du patrimoine, du savoir-faire et de de la gastronomie.

Le vin, l’homme, la nature.Les vérités de Michel Bettane.

Peu de sujets liés à la civilisation du vin enflamment (et par accumulation) abrutissent autant les esprits que la question du terroir. Beaucoup de « terroiristes » me font penser aux talmudistes qui inlassablement essaient de rationaliser ce qui relève du mystère ou de la foi, ce qui peut être utile sur le plan moral et philosophique, mais n’a aucun sens en matière de plaisir et de goût, et encore moins d’agriculture, malgré le mot culture. Cela fait plus de trente ans que j’essaie de comprendre avec l’aide d’innombrables vignerons, un peu partout sur cette planète, la relation qui existe entre une saveur et une origine, ce qui me semble la moindre des politesses par rapport à notre tradition européenne qui en matière de vin lie pour l’éternité ces deux concepts. Je sais que je n’ai pas encore beaucoup avancé dans cette longue enquête (qui n’est heureusement pas encore finie), mais je suis sûr au moins d’une chose, c’est qu’il faut éviter tout dogmatisme idéologique ou crypto religieux, et surtout tout jargon pseudo scientifique (le pathetic pretense cher à nos amis anglais), si l’on veut aider le public à y voir un peu plus clair.

Le postulat de départ ne saurait être remis en question. Un vin portant un nom géographique n’a de sens ou de probité commerciale que si c’est un goût relié à une origine. Un goût reproductible au cours des âges, reconnaissable plus ou moins précisément par plusieurs générations de consommateurs et transmissible par des mots, malgré la différence des sensibilités entre les êtres humains et leur diversité génétique qui, on le sait, détermine leur perception des saveurs. Les facteurs de variabilité tout au long de la chaîne de perception d’une saveur sont les plus compliqués à comprendre, relevant à la fois de la connaissance scientifique du goût et de celle du langage, avec trois étapes : perception, mise en forme de la perception par le cerveau humain et expression de cette perception. Je laisse à des personnes forcément plus qualifiées que moi, médecins, neurologues, linguistes, le soin de résoudre ces difficultés. Mais la création de cette saveur par la nature, c’est-à-dire la vigne, le sol, le climat et le savoir-faire humain (l’homme n’étant qu’un facteur naturel de plus), c’est quand même plus facile à expliquer, même si l’amoncellement de stupidités dans ce qu’on lit partout sur ce sujet met trop souvent l’amateur de vin sur de fausses pistes.

Le vin, c’est une vigne, un sol, un climat, du ferment et du contrôle humain. Chaque élément n’a pas plus d’importance qu’un autre et seule la chaîne des actions (mais aussi des hasards) qui les relie a du sens. Point par point, reprenons. La vigne d’abord. C’est une plante, un être vivant, avec ses caractères génétiques, davantage de gênes même que l’être humain, et une façon de s’alimenter. On met trop l’accent sur l’alimentation par les racines, qui concerne essentiellement l’alimentation hydrique, et la transmission au raisin d’oligo-éléments contenus dans le sol, le mot oligo indiquant bien que tout cela relève du détail. L’alimentation principale est aérienne, la photo synthèse par la feuille, donc la lumière, le froid, le chaud, la pluie, le vent, selon les hasards de l’année et du lieu, formant le fruit, sa richesse en sucre, sa saveur particulière, ce qui renvoie les fanatiques du terroir et de la géologie et donc tous les faiseurs de trous et dessinateurs de cartes géologiques à leur rôle limité, mais indispensable, de spécialistes, d’historiens. Outre le caractère du cépage et du matériel végétal utilisé, l’importance du millésime saute aux yeux et justifie la sagesse de l’empirisme bourguignon qui préfère le mot « climat » au mot terroir.

Le fruit, c’est donc le début de l’histoire. La seconde étape, c’est le ferment. Le ferment contribue au goût, mais ne le détermine pas. Je sais que je vais choquer beaucoup d’esprits crédules, mais l’idéal de la fermentation est une fermentation aussi neutre que possible, le ferment, c’est-à-dire les levures, n’ayant comme mission que de transformer en vin aussi exactement que possible les promesses du fruit. Et dans cette promesse, il y a forcément l’expression de l’origine. Le terroir, au sens large, est dans le fruit, pas dans la levure. Même si la levure est présente sur le terroir, ce n’est pas la même chose. Cela réduit à néant le débat byzantin sur l’incompatibilité des levures indigènes ou exogènes, surtout si l’on écarte les levures aromatiques du commerce, pour ne conserver que celles qui ont été sélectionnées pour leur neutralité et leur efficacité. Une levure indigène travaille bien ? Tant mieux, qu’on la garde. Une levure indigène travaillant mal (cela existe aussi) tue le vin et donc l’origine, terroir et climat confondus. Qu’on l’empêche de nuire. On le voit, l’homme doit prendre à un moment donné la relève de la nature et donner une dimension de civilisation par un travail d’élaboration où toute la finesse d’observation et de jugement dont il est capable joue un rôle prépondérant. La plupart du temps, quand tout se passe bien, cette élaboration peut prendre la forme minimale d’une assistance bienveillante et complice, c’est la philosophie de nombreux viticulteurs de vins célèbres qui très modestement se disent au service de leur cru. J’ai pu constater que c’est plus souvent un mensonge pieux. De très nombreux choix décisifs relèvent d’interventions précises : détermination de la date de vendange, maintien ou non de la rafle, rapport idéal entre le volume des cuvées et le volume des cuves, longueur et régulation de la cuvaison, manière d’extraire le tannin dans les vins rouges ou d’équilibrer oxydation et réduction dans les vins blancs, choix de l’usage ou non de la barrique, du volume de ces barriques, de leur fabrication (séchage, chauffe, montage), de l’origine des bois, durée de l’élevage, contrôle de la mise en bouteille, etc.

Savoir, intuition, morale, rigueur, précision, sang-froid, il en faut des qualités pour réussir un grand vin, sans parler de la précision du goût puisque de nombreuses décisions découlent de la dégustation. On comprend pourquoi de plus en plus de producteurs se sentent trop seuls pour décider et engagent le dialogue avec un ou plusieurs conseillers. Il est de bon ton de railler l’influence des œnologues gourous, mais combien de cuvées n’ont-ils pas sauvé de l’incompétence, de l’obstination ou de la routine ? Et, inversement, il arrive souvent que des viticulteurs intelligents aident leurs conseillers illustres à ne pas sombrer dans les abîmes d’un narcissisme très humain. Et les journalistes dans tout cela ? On fabule beaucoup quand on dit qu’ils formatent le goût du public. La plupart tente plus modestement dans une presse de plus en plus faiblement idéaliste et combative de faire de la vulgarisation intelligente. Et pas seulement pour faire connaître les plus grands vins, enfants gâtés des adorateurs innombrables du veau d’or, mais aider les vins sincèrement élaborés dans tous les vignobles de la planète. Cela sans privilégier un style ou un dogme par rapport à un autre, quitte à ne pas plaire à tout le monde. Il y a encore du travail.

Le succès du bio


La vingtième édition du salon Millésime Bio qui s’est tenue a Montpellier ces trois derniers jours s’est achevée hier sur un taux de fréquentation en hausse de 11% par rapport à l’année dernière. Soit 3700 visiteurs. Créé en 1993 par Sudvinbio (ex AIVB-LR), l’Association interprofessionnelle des vins biologiques du Languedoc-Roussillon, ce salon international de la viticulture biologique réservé aux professionnels présente, dans des stands clés en main, tous identiques, des vins certifiés AB (pas de domaines en conversion) en provenance de tous pays ou régions de production. Les étrangers représentent le quart des visiteurs. Les cavistes sont les plus assidus (21,4 %) suivis des importateurs (15,4 %) et des négociants (10 %). Côté exposants, onze nationalités étaient représentées, la France, l’Espagne et l’Italie constituant le trio de tête. Les vignobles autrichiens, portugais et allemands ont été plus nombreux et l’Afrique du Sud, le Chili, l’Egypte et les États-Unis ont affiché leur fidélité au salon pour la troisième année consécutive.

Les vignerons de l’Hermitage protègent leur appellation






Communiqué :

Ermitage avec ou sans H, mais toujours sans bulle
Au grand désarroi de nos amis champenois, Monsieur Obama et la Maison Blanche ont présenté un « Champagne Californien » pour accompagner le menu célébrant sa ré-investiture à la présidence des Etats-Unis. Aussi, au nom de la solidarité vigneronne, l’appellation Ermitage organise sa réponse et décide de saisir les autorités compétentes afin que cesse l’utilisation abusive de la marque « L’Ermitage » pour la production d’un sparkling californien. Elle rappelle que le nom « Ermitage », décliné en « Hermitage », «L’Ermitage » ou « L’Hermitage » est une Appellation d’Origine Contrôlée. Toute utilisation abusive sera poursuivie dans le monde entier.

Michel Chapoutier, président de l’Organisme de défense et de gestion de l’appellation Hermitage

La fête du vin jaune





Si le vignoble du Jura est l’un des plus petits de France par sa surface (1850 hectares), on ne peut pas en dire autant de sa réputation. Ni de la fête qui a lieu ce week-end pour célébrer la dégustation du nouveau millésime
de vin jaune, devenue au fil du temps l’un des plus gros événements œnotouristiques français. Créée en 1997,
la Percée du Vin Jaune a lieu chaque année dans un village différent. Qu’on aime déjà ce vin singulier issu
à 100 % de cépage savagnin et dont la mise en bouteille, après plus de six ans de maturation en fût, se fait dans
un format original de 62 cl appelé clavelin, ou qu’on souhaite le découvrir, on prendra pour participer à cette
dix-septième édition la direction de Voiteur. Ponctué de nombreuses animations et cérémonies (mise en perce
du tonneau, trophée des vins du Jura, concours de sommellerie, concours de cuisine), ce week-end dédié au vin jaune sera également l’occasion pour les amateurs de s’offrir de vieux millésimes lors la traditionnelle vente aux enchères qui avait donné lieu a un record en 2011. On découvrira ici en images (photo + vidéo) la vedette de 2013. La liste des vins proposés à la vente et les commentaires les concernant sont disponibles sur le site officiel de la manifestation, de même que le programme complet de ces deux jours de festivités.

Prix national de l'œnotourisme 2013

Mardi soir, l’hôtel Baltimore à Paris était le théâtre du Prix national de l’œnotourisme en présence, notamment, du ministre de l’Agriculture Stéphane Le Foll. Ouvert à tous les acteurs du monde du vin, du tourisme et du patrimoine, le prix ne s’applique qu’aux démarches déjà opérationnelles. Trois critères sont requis pour concourir. Avoir un impact positif sur l’œnotourisme, une approche d’ouverture sur d’autres secteurs et la création de valeur.
Parmi les 200 candidatures, un succès qui confirme le dynamisme du secteur, cette 3e édition a délivré quatre prix pour quatre catégories différentes ainsi que le Grand prix du jury. Le vainqueur de la soirée est Bordovino. Son fondateur, Pierre-Jean Romatet a reçu le Grand prix dans la catégorie « vente d’un produit œnotouristique par un tour opérateur ». Bordovino propose des excursions thématiques dans les vignobles du Bordelais. Plusieurs formules, d’une demi-journée à un week-end, pour tracer sa propre route des vins.

Le palmarès de cette 3e édition :

Mise en valeur touristique d’un caveau ou d’un site viticole :
Maison Rémy Martin à Cognac – lauréat
Château Soutard à Saint-Émilion – coup de cœur du jury
Terra Ventoux dans le Vaucluse

Hébergement ou la restauration dans le vignoble :
Domaine Terre de Mistral dans les Bouches du Rhône – lauréat
Villa Limonade dans le Languedoc
Château de Pizay dans le Beaujolais

Promotion d’un produit œnotouristique :
Communauté de communes de la Combe de Savoie – coup de cœur hors catégorie
Mon-vigneron.com

Vente d’un produit œnotouristique par un tour opérateur, une agence de voyage, un office de tourisme, un professionnel du vin :
Bordovino à Bordeaux – lauréat
Via-Voyages en Bourgogne
Vignoble loisir organisation dans la région Nantaise

Grand prix national de l’œnotourisme 2013 :
Bordovino à bordeaux.

Dix champagnesà moins de 17 euros


N’attendez pas la veille de votre mariage pour acheter des bulles trop chères. Voici dix vins
pour fêter le plus beau jour de votre vie.


Blanc brut | Pierre Bertrand
Elysée 2005

L’ensemble de la gamme nous a semblé partager les mêmes qualités d’honnêteté. Il met notamment en avant l’excellent terroir de Cumières.
Tout en puissance et en race, Cumières idéal, marqué par la force des pinots, bon dosage, recommandé pour la table.
Apogée : 2014 à 2017
http://www.champagnepierrebertrand.com

16,30 € départ cave


Blanc brut | Bertemès
Grande Sélection

Cette petite propriété artisanale que nous avons découverte lors de notre grande dégustation produit des vins sur l’excellent terroir de Trépail.
Rond et séducteur, complètement épanoui, dosage marqué mais bien intégré, beaucoup de finesse, tendre et apéritif.
Apogée : 2013 à 2015
http://www.champagne-bertemes.fr

15,50 € départ cave


Blanc brut | Vazart-Coquart & Fils
Réserve

Une des familles les plus en vue de Chouilly, les Vazart élaborent des champagnes parfois un peu rustiques, mais souvent fidèles à l’expression originale de leur terroir, avec quelques vieux millésimes très bien conservés.
Dosé juste, facile, sur la pomme verte, très apéritif, prix sage.
Apogée : 2013 à 2014
http://www.champagnevazartcoquart.com

15,30 € départ cave


Blanc brut | Didier Doué
Nature

Ce viticulteur porte bien son nom. Un agriculteur soigneux, amoureux fou de son terroir et qui, à notre sens, produit aujourd’hui les vins les plus réguliers et les plus expressifs du terroir si fin de Montgueux.
Très franc au nez et en bouche, légère note de froment et fleurs blanches, équilibré et persistant.
Apogée : 2013 à 2015
http://www.champagne-didier-doue.fr

16,50 € départ cave


Blanc brut | Jean Lallement et Fils
Grand Cru

Remarquable petit domaine artisanal produisant des expressions complètes des meilleurs expositions de Verzenay.
Riche, presque crémeux, très fruité, dosage quand même perceptible, beau vin de table, aux bulles bien intégrées, raisin mûr.
Apogée : 2013 à 2015
Tél : 03 26 49 43 52
Email : [email protected]

15,60 € départ cave


Blanc brut | Champagne Michel Loriot
Blanc de noirs

Tendre, souple, marqué par la finesse de pinots meuniers bien sélectionnés, usage universel.
Apogée : 2013 à 2014
http://www.champagne-michelloriot.com

16,50 € départ cave


Blanc brut | Thierry Massin
Mélodie

Beaucoup de délicatesse et de finesse, dosage net, mais intégré, ensemble harmonieux, long, bien vinifié.
Apogée : 2013 à 2015
Tél : 03 25 38 74 01
E-mail : [email protected]

16,60 € départ cave


Blanc brut | Pierre Moncuit
Hugues de Coulmet

Cet important domaine est une source sûre pour la production de blancs de blancs très consensuels. Un peu plus souple et plus vite prêts à boire que la majorité des vins du Mesnil, mais porteur de toute la finesse et la pureté de ces terroirs exceptionnels.
Robe paille, nez généreux, légèrement beurré, excellente vivacité, dosage équilibré, plein, racé.
Apogée : 2013 à 2016
http://www.pierre-moncuit.fr

16,75 € départ cave


Blanc brut | Champagne Pertois-Lebrun
Brut blanc de blancs

Les vins ont beaucoup progressé en régularité et en finesse d’expression. La gamme présentée cette année est sans reproche.
Grande pureté, dosage parfait, style exemplaire, apéritif idéal ou presque, plaisir garanti.
Apogée : 2013 à 2015
http://champagne-pertoislebrun.com

16 € départ cave


Blanc brut | Thierry Massin
Prestige

Puissant, énergique, sur les agrumes, original et savoureux, le dosage faisant partie de la construction du vin en bouche.
Apogée : 2013 à 2015
Tél : 03 25 38 74 01
E-mail : [email protected]

15,75 € départ cave