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Qui sera le meilleur jeune sommelier de France ?

Après les étapes de sélection qui ont eu lieu en janvier dernier, auxquelles plus de 140 sommeliers ont participé, et une session de correction menée en février sous la houlette du président de l’Union de la sommellerie française (UDSF), Philippe Faure-Brac, et des membres du comité technique mobilisés par Fabrice Sommier, les candidats listés ci-dessous disputeront lundi et mardi prochain la phase finale de la compétition organisée tous les deux ans par la maison de champagne Duval-Leroy en partenariat avec l’UDSF. Remettant en jeu le titre de “Meilleur jeune sommelier de France”, la cinquième édition du Trophée Duval-Leroy réunira onze participants âgés de moins de 26 ans autour d’épreuves de culture générale, techniques et de dégustation. Au terme d’une dernière étape en public qui verra quatre lauréats s’affronter, le meilleur de ces jeunes talents de la sommellerie succédera à Pierre Jacob (Caves Augé, Paris), tenant du titre après Maxime Brunet (chef sommelier, restaurant William Frachot, Hostellerie du Chapeau rouge, Dijon), Trophée Duval-Leroy 2013, Jean-Baptiste Klein (chef sommelier, 64° Le Restaurant, hôtel Le Chambard, Kaysersberg), Trophée Duval-Leroy 2011, et Jonathan Bauer-Monneret (chef sommelier, restaurant Spring, Paris), Trophée Duval-Leroy 2009.

Promotion 2017 du Meilleur jeune sommelier de France :

Carlier Margaux (Les Crayères, Reims)
Cascio Adrien (Le Gabriel, Bordeaux) 

Debono Bastien (L’Oustau de Baumanière, Les Baux-de-Provence)
Gras Raphaël (Les Airelles, Courchevel)
Helly d’Angelin Victoire (Spring, Paris)
Le Pen Marion (Il Vino, Paris)
Louessard Arnaud (Bistrot du Sommelier, Paris)
Meyer Corentin (Relais Bernard Loiseau, Saulieu)
Pollenne Aymeric (The Lanesborough, Londres, Royaume-Uni)
Royer Clément (Restaurant de l’Hôtel de Ville, Crissier, Suisse)
Vauléon Quentin (Pavillon Ledoyen, Paris)

The Left Bank Bordeaux Cup 2017

Vendredi dernier, dans le cadre des chais du château Lafite Rothschild (Pauillac), le club d’œnologie de l’EM Lyon s’est à nouveau imposé face à sept concurrents lors de l’édition 2017 de la compétition internationale organisée depuis 2002 par la Commanderie du Bontemps. L’objectif de ce concours présidé par le baron Eric de Rothschild « est de permettre à la future élite internationale d’approcher les grands crus de la Rive gauche de Bordeaux. » Cette année, pas moins de cinquante-six clubs d’universités et de grandes écoles ont participé aux épreuves de préselection de The Left Bank Bordeaux Cup qui se sont tenues de New York à Shangai en passant par Londres, Paris et Hong Kong. Réunis dès mardi dernier pour un wine tour qui leur a permis de participer à plusieurs sessions de dégustation dans les château de la Rive gauche, les étudiants férus d’œnologie de la Tuck School of Business, la Columbia Business School, la Hong Kong Science & Technology University, la Zhejiang Gongshang University, Sciences Po Bordeaux, HEC Lausanne, de l’université italienne Bocconi et enfin de l’école de commerce lyonnaise se sont ensuite affrontés lors d’une « finale prestigieuse » débutée au son du cor.

« Les étudiants doivent tout connaitre du vin, des appellations, des propriétaires, mais aussi reconnaître des châteaux, des étiquettes, l’histoire de la Commanderie, le classement de 1855. » Aux différentes questions théoriques – par exemple : dans le sol de quel château peut-on trouver des pierres précieuses telles que le saphir, l’opale ou la topaze ? ; à quel classement correspond celui de 1932 ? ; ou encore quel est le point commun entre les châteaux Calon-Ségur, d’Issan et Léoville Las cases ? – ont succédé trois séries de dégustation à l’aveugle portant sur les vins tranquilles et liquoreux listés ci-dessous (appellation, millésime, mono-cépage ou non ?). Constituée de nouveaux élèves, mais entraînée par l’un des gagnants de l’année dernière, l’équipe de l’EM Lyon a vu ses talents de dégustation récompensés par de rares lafite-rothschild offerts par le baron Eric de Rotschild, une série de flacons sélectionnés par la Commanderie du Bontemps, une carafe Riedel à l’effigie de la Left Bank Bordeaux Cup remise par Maximilian Riedel et des billets aller-retour pour revenir à Bordeaux.

Château de Fieuzal 2004, pessac-léognan
Château Pape Clément 2004, pessac-léognan
Domaine de Chevalier 2004, pessac-léognan




Château Cantemerle 2009, haut-médoc
Château Kirwan 2003, margaux
Château Lagrange 2002, saint-julien

Château Climens 2010, barsac
Clos Haut Peyraguey 2010, sauternes
Château de Myrat 2010, barsac

Collector

Présidant aux destinées de Château d’Issan depuis 1945, la famille Cruse a décidé d’offrir au fruit de sa 70e récolte un habillage à la hauteur de ce vénérable anniversaire. Représentant la troisième génération à la tête de cette emblématique propriété margalaise, Emmanuel Cruse a souhaité distinguer son grand cru avec une nouvelle étiquette imaginée pour l’occasion et exclusivement dédiée à « l’exceptionnel millésime 2015. » L’agence Exceptio, qui signe cet habillage unique présenté lors de Vinexpo, explique avoir voulu respecter avant tout « l’identité fondamentale de Château d’Issan. » Ce renouvellement tout en nuances (millésime inscrit en tête, dessin mis en avant par un jeu d’équilibres, « dialogue de bronze et de noir revalorisés ») fait la part belle à la devise du château, intégrée au bas de l’illustration :

Regum Mensis Aris Que Deorum
(pour la table des rois
et l’autel des dieux)

La 70e récolte de la famille Cruse à Issan a été marquée par « un printemps doux suivi d’un mois de juin incroyablement chaud et ensoleillé [qui] ont permis une floraison rapide et extrêmement homogène la dernière semaine de mai. » Chaud et particulièrement sec, le mois de juillet n’a pas généré de de stress hydrique « grâce aux pluies abondantes de l’hiver qui ont créé des réserves d’eau suffisantes. » En août, les conditions sont revenues à la normale et la véraison a été constatée la première semaine. Le temps du mois de septembre a été particulièrement propice à la fin de la maturité des cépages : « Sur les analyses réalisées le 7 septembre, les merlots sont exactement aux mêmes niveaux qu’en 2009 et les cabernets-sauvignons dépassent toute comparaison. » Les premiers seront récoltés du 21 au 29 septembre et les seconds, du 30 septembre au 6 octobre, « sous un soleil radieux. »

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La famille Cruse et Issan, quelques dates :
1945 : Emmanuel Cruse et son épouse se portent acquéreurs du château à la fin de la Seconde guerre mondiale. La propriété est à l’abandon et ne compte alors que 3 hectares de vignes plantées sur 45.
1947-1997 : Lionel Cruse s’attèle à restructurer le vignoble.
En 1995, il crée le second vin d’Issan, issu de jeunes vignes de l’appellation margaux, “Blason d’Issan”. La propriété commence à bénéficier des conseils de l’œnologue Eric Boissenot.
1996 : Une replantation du vignoble est amorcée, avec une densité portée à 9 000 pieds par hectare.
1998 : Emmanuel Cruse prend les rênes de la propriété.

2000 : Nouveau chai à barriques.
2002 : Nouvelle cuverie adaptée au parcellaire.

2010 : Installation de canons anti-grêle.
2013 : Françoise et Jacky Lorenzetti, propriétaires des châteaux Pédesclaux (Pauillac) et Lilian Ladouys (Saint-Estèphe) rejoignent l’aventure du château d’Issan.

Les vins de cépage d’Hubert de Boüard


Le vigneron, œnologue et co-propriétaire d’Angélus, premier grand cru classé “A” de Saint-Emilion, signe pour la toute première fois des vins de cépages. Travail parallèle à celui mené dans les propriétés familiales La Fleur de Boüard (Lalande de Pomerol) et Clos de Boüard (Montagne-Saint-Emilion), les deux étiquettes ci-dessus sont les premières d’une série qui devrait bientôt être enrichie d’une syrah, un sémillon, un merlot et un cabernet-sauvignon : « C’est un vrai travail de vigneron démarré il y a trois ans pour réussir des cuvées originales de cépages, bordelais ou non. Les raisins proviennent de nos propres parcelles ou de parcelles sélectionnées soigneusement pour l’excellence de leurs terroirs liée à l’adaptation de la taille de la vigne. Chaque parcelle est travaillée au fil des saisons dans le respect d’une agriculture privilégiant les écosystèmes jusqu’à la décision minutieuse du ramassage des raisins en fonction de la meilleure maturité possible. » Nouvelle aventure pour ce vigneron chevronné, cette gamme l’est aussi pour l’amateur, chacune de ces cuvées étant produite en quantité limitée « afin d’en garantir l’authenticité » (2 400 bouteilles de “Chardonnay 2016” et 7 000 de “Sauvignon 2016”).

1997-2017, le bel âge d’Almaviva

Ce 17 juin 2017, ont été fêtés « au cours d’une soirée à la fois solennelle et joyeuse » les 20 ans d’existence du domaine Almaviva, en pleine année franco-chilienne de l’Innovation, « heureuse conjonction » pour les deux sociétés vitivinicoles familiales Baron Philippe de Rothschild et Viña Concha y Toro qui en sont à l’origine et qui ont justement placé l’innovation au cœur de leur aventure chilienne. Scellé il y a deux décennies par un accord entre la baronne Philippine de Rothschild, présidente du Conseil de surveillance de Baron Philippe de Rothschild et M. Eduardo Guilisasti Tagle, président de Viña Concha y Toro, ce choix d’un destin commun entre l’Ancien et le Nouveau monde a été célébré par Philippe Sereys de Rothschild, le président du Conseil de surveillance de Baron Philippe de Rothschild :

image001« Alors que les yeux du monde du vin étaient tournés vers d’autres horizons, le Chili offrait un territoire encore peu exploré, avec un climat et un terroir exceptionnels. Notre joint-venture fut visionnaire tout comme l’étaient ses deux fondateurs. Je tiens à cette occasion à rendre hommage à notre mère, la Baronne Philippine de Rothschild, en lui exprimant notre reconnaissance ainsi que notre volonté de poursuivre cette œuvre commune en portant Almaviva vers de nouveaux sommets. Possédant aujourd’hui des assises solides, Almaviva est un patrimoine vivant, en mouvement, tourné résolument vers l’avenir. »

Basé sur une conjonction de valeurs et d’objectifs, ce partenariat ambitieux est nourri de « constantes remises en question », les équipes chiliennes et françaises travaillant de concert depuis les débuts, a précisé Alfonso Larrain Santa Maria, le président de Viña Concha y Toro. « Les progrès accomplis dans la vigne et le chai nous ont permis d’être plus performants. La consécration de ces vingt années de travail acharné, c’est la grande qualité des vins aujourd’hui. Nous ne nous arrêterons pas là. Aujourd’hui, un vignoble est également un laboratoire d’idées, il doit être à la pointe de l’innovation. Mais uniquement et toujours dans un seul et même objectif : l’excellence. » En toute logique, le travail mené au domaine Almaviva et les belles perspectives de garde de ses vins ont donné lieu à la création de la notion de Primer Orden , équivalant à celle de grand cru classé.

Photo ci-dessus : ©Deepix

Bordeaux au sens large

Bernard Magrez n’est ni un tycoon ni un magnat ni rien de superlatif, c’est un entrepreneur avec un sens très aigu des stratégies gagnantes et des moyens de parvenir à ses fins, c’est-à-dire construire un groupe consistant et fort. Rencontre autour d’un verre d’eau

C’est le milieu de l’après-midi dans le lounge d’un palace parisien. Bernard Magrez observe tout, note ce qui l’intéresse, s’interroge. Il faut dire qu’il est aussi le propriétaire d’un petit palace à Bordeaux et que, ne méprisant jamais rien ni personne, il a l’intelligence et l’humilité de croire que toute expérience est bonne à comprendre. Cette capacité étonnante à être aussi concentré sur les grands enjeux de ses activités que sur les mille et un détails qui s’y attachent. Nous avons fait un tour d’horizon de son actualité.

Lire la suite ici sur le blog bonvivant

Vinexpo feat. Bettane+Desseauve

Bettane+Desseauve est présent pour la première fois à Vinexpo Bordeaux (le salon international des vins et spiritueux, du 18 au 21 juin) avec un pavillon spécial sobrement intitulé « Vinexpo feat. bettane+desseauve ». L’occasion de découvrir de nouveaux producteurs et d’assister à des master class sur les terroirs italiens, les nouveaux classiques de Bordeaux, les futurs grands de la planète vin…

27 producteurs de France (Alsace, Bourgogne, Champagne, Vallée de la Loire, Bordeaux, Languedoc, Provence, Sud-Ouest) et d’ailleurs (Italie, Japon…) sélectionnés par les experts b+d font découvrir leurs vins et 14 master class, animées par Michel Bettane et Thierry Desseauve, rythment ces quatre jours. Si vous voulez en savoir plus sur les régions les plus dynamiques de la péninsule italienne (Piémont, Frioul, Toscane, Italie sud et centre), voyager dans le grand sud, découvrir les nouveaux classiques de Bordeaux, les blancs de la vallée du Rhône, appréhender des thématiques d’actualité : les vignobles du nord de la France à l’heure du réchauffement climatique, le nouvel ordre mondial, les femmes winemakers, etc., n’hésitez pas à vous inscrire.

Le pavillon Vinexpo feat. bettane+desseauve : Hall 3 – ST338.

La liste des master class ICI

S’inscrire : envoyez un email à Quitterie Allard, [email protected]

Vinexpo Bordeaux est un salon réservé aux professionnels du vin.

Crédit photo : Patrick Cronenberger

Carafe de poche


Conçue selon un procédé breveté unique au monde basé sur le principe de la nano-aération (nous vous avions tout expliqué ici) et entièrement fabriquée en France, la “carafe de poche” inventée par Michael Paetzold et Olivier Caste, les deux fondateurs d’Optiwine, est aujourd’hui disponible auprès d’une centaine de boutiques en France et dans le monde (par exemple, à la bordelaise Cité du vin et au parisien Bon Marché). Outre une succession de lancements dans différents pays (après les Etats Unis, Optiwine est récemment parti à la conquête de l’Espagne et du Japon) et des partenariats avec de grandes marques (voir le coffret en photo ci-dessous, issu du MH Lab 78, le lab innovation de Moët Hennessy), les “optiwiners” comptent de plus en plus d’adeptes dans le vignoble et chez les sommeliers, la preuve ici.

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Optiwine, 19 euros l’unité, 55 à 80 euros le coffret complet.

Trois cadeaux en un

Après avoir vieilli « dans le calme et l’obscurité des caves de la Maison, à Reims », les cuvées de champagne Brut Souverain, Blanc de blancs et Brut rosé de la maison Champagne Henriot ont été réunies en une trilogie, « invitation à la découverte » qui est aussi un parfait cadeau pour le connaisseur.

Champagne Henriot, coffret Découverte,125 euros.

Le monde du vin

L’ouverture ce dimanche de l’édition 2017 de Vinexpo Bordeaux, salon international du vin et des spiritueux réservé aux professionnels* qui accueillera cette année pour la première fois un pavillon bettane+dessauve (en lire plus ici) ainsi qu’un espace spécifiquement consacré aux vins biologiques et biodynamiques baptisé WOW! (pour world of organic wines), est l’occasion de mettre en lumière les chiffres de l’étude sur les grandes tendances du marché mondial des vins et spiritueux réalisée pour Vinexpo – et pour la quinzième année consécutive – par le cabinet IWSR.

Portant sur les années 2016 à 2020, cette projection détaillée couvrant 28 pays producteurs et 114 pays consommateurs montre que la consommation mondiale de vin a légèrement progressé l’an passé (+ 0,4 %) pour atteindre 267 millions d’hectolitres, ce qui vient confirmer « la stabilité du marché depuis la crise économique de 2008. » Cela n’empêche pas ce dernier, « paysage dynamique et complexe », de connaître une profonde mutation. A l’horizon 2020, la Chine devrait « représenter 71,8 % de la croissance du marché d’importation en volume » et une hausse de 11,9 % en valeur est prévue aux Etats-Unis, premier pays consommateur de vin en volume et en valeur. Aux côtés de ces deux leaders, la zone Asie-Pacifique stimule également la croissance et devrait voir sa consommation de 12,7 % entre 2016 et 2020.

Au rang des marchés émergents, de fortes croissances sont attendues en Inde (+ 49,7 %), en Chine (+ 19,5 %), au Mexique (+ 17,5 %) et en Afrique du Sud (+ 16,8 %). En Europe, le marché est en revanche de plus en plus contracté, « même s’il reste le plus important en termes de part de marché et de consommation par habitant. » Côté spiritueux, le marché mondial est en hausse (+ 1,4 % d’ici 2020) et si les plus grands consommateurs en volume sont la Chine (+ 3 %), l’Inde (+ 8,7 %) et les Etats-Unis (+ 4,1 %), la progression la plus importante est attendue dans la région Afrique-Moyen-Orient (+ 11,4 %). Outre les spiritueux nationaux, qui font la course en tête, les plus fortes prévisions d’augmentation d’ici 2020 concernent le bourbon (+ 13,9 %), la tequila (+ 11 %) et le cognac et l’armagnac (+ 10,8 %).

Et la France ?

Toujours dans le Top 3, avec l’Espagne et l’Italie, au classement mondial des pays producteurs, la France a connu un léger recul de sa production viticole à cause des événements climatiques de 2016 (- 5 % par rapport à 2015). Pour ce qui concerne la consommation, les vins rouges sont toujours en tête avec 52 % de part de marché en 2016, contre 30,8 % pour les vins blancs et 17,2 % pour les rosés (en progression, en France et dans le monde), et la tendance à la baisse se poursuit. En 2020, la consommation devrait être de 43,63 litres par an et par habitant, soit une diminution de 13 % sur dix ans (2011-2020).

Si la consommation française de vins tranquilles devrait diminuer de 7 %, celle des vins effervescents va augmenter de 4 %. Ces derniers affichent d’ailleurs au niveau mondial, et sur un marché en légère baisse (-1,2 % en volume), une progression de 7,1 % en volume et 2,9 % en valeur (5,2 milliards d’euros). Quasiment doublée depuis 2005, leur production totale avoisine les huit millions d’hectolitres. Avec le champagne, qui représente 90 % de ses exportations de vins effervescents, la France est en tête en valeur, mais pas en volume. Le dynamique prosecco affiche une croissance de + 13,6 % d’ici 2020.

* Sont attendus pour cette édition 2017 de Vinexpo Bordeaux : 2 300 exposants représentant 42 pays, 48 000 visiteurs venus de 150 pays et 1 000 journalistes de 50 nationalités différentes.