Présent en Afrique du Sud depuis 2010 avec une propriété de 70 hectares (L’Avenir), le groupe Advini vient d’acquérir à deux pas le domaine Le Bonheur, 163 hectares situé au cœur de Stellenbosch, et de prendre une participation majoritaire dans une propriété considérée comme « la maison du chenin blanc » et située sur les contreforts de l’Helderberg, Ken Forrester Vineyards. Sur le même fonctionnement qu’en France, où les vignobles et maisons passés sous bannière Advini, Ogier à Châteauneuf-du-Pape, Laroche à Chablis, Vignobles Jeanjean en Languedoc, Cazes en Roussillon, Gassier en Sainte-Victoire, Rigal à Cahors, entre autres, représentent 2 072 hectares, Ken Forrrester reste président de la société. « Il en poursuivra le développement en s’adossant à la force de vente d’Advini dans de nombreux pays. Ken Forrester Vineyards et Advini ambitionnent ainsi de doubler l’activité dans les prochaines années. »
Appli Grand Tasting : notre sélection Monoprix
Après Clos Puy Arnaud dont on ne se lasse pas, voici le plus français des Argentins, de la région de Mendoza : un cabernet sauvignon épatant à 10,50 € (Domaine Bousquet). Ne ratez pas non plus le Sicilien, du cépage Frappato, un rouge enjoué à 7,50 €. Et bien sûr, toutes les belles maisons qu’on adore : Château Thivin, Dauvergne-Ranvier, le champagne Devaux et son élégant oeil-de-perdrix en exclusivité, le Mas de Libian…
Appli Grand Tasting : notre sélection iDealwine
Le spécialiste des ventes aux enchères se lance dans la course avec 250 références, avec des remises allant de 10 à 50%. Entre signatures prestigieuses et découvertes, régions françaises et vins étrangers, on a fait notre choix : le mythique californien Ridge Vineyards en 2010, le Fronsac Château de Carles 2012, le Blanc de Blancs du Champagne de Sousa, la cuvée Terres Chaudes 2012 du Domaine des Roches Neuves à Saumur-Champigny, le Haut-Médoc Château Belle-Vue 2012. Encore d’autres pépites vous attendent : foncez, l’inscription au site est gratuite !
Le petit magnum est devenu grand
Lancé en 2012 et inspiré d’une bouteille ancienne aux airs de “petit magnum” retrouvée dans les caves de la maison Bollinger (nous vous avions raconté l’histoire ici), le flaconnage 1846 a d’abord uniquement concerné la bouteille de champagne Special Cuvée de Bollinger. Un an après, cette forme a été déclinée en demi-bouteille, puis en magnum. Dans la famille 1846, on peut désormais demander le jéroboam (soit un double-magnum), “grand” dernier venu récemment compléter cette belle collection de flacons.
Champagne Bollinger, Special Cuvée, 299 euros le jéroboam en caisse bois
Nouvelles cuvées à la cave de Tain l’Hermitage
Ambassadrice historique des vins des Côtes du Rhône nord, dont elle vinifie environ la moitié de la production, la cave de Tain l’Hermitage occupe également la première place en Europe pour ce qui concerne la production de vins issus de syrah. Entre le soin apporté à la conduite du vignoble en appellation hermitage de son président-fondateur (qui donne la cuvée Gambert de Loche) et les investissements conséquents (10 millions d’euros) qui ont été consentis pour moderniser le chai, pas pour vinifier davantage de raisins, mais pour « les respecter encore davantage en les vinifiant par parcelles », la coopérative s’emploie à faire rimer ses 80 ans de savoir-faire avec les exigences du jour.
« Des terroirs d’exception, des équipes motivées et des jeunes vignerons, des savoir-faire, le développement durable inscrit dans son ADN, l’ambition de vinifier encore davantage en petits volumes, une fiabilité reconnue sur les marchés mondiaux, la cave de Tain assurément va dans le sens de l’histoire », explique Xavier Gomart, son directeur. Et le sens de l’histoire, c’est aussi plus de bio. Si la production répond déjà en totalité aux exigences de la charte « Vignerons en développement durable » (un label arboré depuis 2009), trois viticulteurs et la cave elle-même, sur ses vignes en propriété, sont désormais en bio. L’idée est de produire bio, bien sûr, mais aussi d’envisager l’application de ces méthodes comme « un laboratoire dont les avancées profitent à l’ensemble du collectif. »
Derniers développements en date pour la coopérative, l’œnotourisme a fait l’objet d’un riche programme d’activités à l’intention des amateurs cet été et l’habillage des bouteilles a été revu. « Vendre 5,4 millions de bouteilles à des prix respectant le travail du vigneron et en conquérant sans cesse de nouveaux marchés dans le monde implique une adaptation permanente aux marchés et une bonne communication auprès des clients. » Ceux-ci découvriront donc cet automne que la gamme des vins (IGP et AOC) de la cave de Tain a été entièrement revisitée afin de refléter toute la palette d’expressions de ses vignerons. Cette métamorphose inclut de nouvelles étiquettes, mais aussi de nouvelles cuvées qui seront notamment présentées à Paris lors du Grand Tasting, les 25 et 26 novembre prochains.
Nouvelles cuvées à la cave de Tain l'Hermitage
Ambassadrice historique des vins des Côtes du Rhône nord, dont elle vinifie environ la moitié de la production, la cave de Tain l’Hermitage occupe également la première place en Europe pour ce qui concerne la production de vins issus de syrah. Entre le soin apporté à la conduite du vignoble en appellation hermitage de son président-fondateur (qui donne la cuvée Gambert de Loche) et les investissements conséquents (10 millions d’euros) qui ont été consentis pour moderniser le chai, pas pour vinifier davantage de raisins, mais pour « les respecter encore davantage en les vinifiant par parcelles », la coopérative s’emploie à faire rimer ses 80 ans de savoir-faire avec les exigences du jour.
« Des terroirs d’exception, des équipes motivées et des jeunes vignerons, des savoir-faire, le développement durable inscrit dans son ADN, l’ambition de vinifier encore davantage en petits volumes, une fiabilité reconnue sur les marchés mondiaux, la cave de Tain assurément va dans le sens de l’histoire », explique Xavier Gomart, son directeur. Et le sens de l’histoire, c’est aussi plus de bio. Si la production répond déjà en totalité aux exigences de la charte « Vignerons en développement durable » (un label arboré depuis 2009), trois viticulteurs et la cave elle-même, sur ses vignes en propriété, sont désormais en bio. L’idée est de produire bio, bien sûr, mais aussi d’envisager l’application de ces méthodes comme « un laboratoire dont les avancées profitent à l’ensemble du collectif. »
Derniers développements en date pour la coopérative, l’œnotourisme a fait l’objet d’un riche programme d’activités à l’intention des amateurs cet été et l’habillage des bouteilles a été revu. « Vendre 5,4 millions de bouteilles à des prix respectant le travail du vigneron et en conquérant sans cesse de nouveaux marchés dans le monde implique une adaptation permanente aux marchés et une bonne communication auprès des clients. » Ceux-ci découvriront donc cet automne que la gamme des vins (IGP et AOC) de la cave de Tain a été entièrement revisitée afin de refléter toute la palette d’expressions de ses vignerons. Cette métamorphose inclut de nouvelles étiquettes, mais aussi de nouvelles cuvées qui seront notamment présentées à Paris lors du Grand Tasting, les 25 et 26 novembre prochains.
Rosé à bord
Après le champagne (nous vous en avions parlé là), c’est à une dégustation de rosés de la propriété varoise de Sacha Alexis Lichine que seront conviés aujourd’hui les passagers présents à bord du vol Paris-New York opéré par La Compagnie, compagnie aérienne française qui propose depuis 2014 des trajets en classe affaire aux tarifs ultra compétitifs entre ces deux villes.
Ce partenariat avec Château Esclans, « particulièrement apprécié dans les Hamptons », porte sur deux cuvées et l’ambassadeur du domaine, Clément Malochet, participera au voyage afin de commenter la dégustation de ces côtes-de-provence. Demain, ce sera au tour des passagers du vol à destination de Paris de découvrir Whispering Angel et Garrus dans le lounge de l’aéroport de Newark
Ce qu’il faut d’oxygène
Procédé breveté inventé et fabriqué en France, l’ « outil œnologique de précision » en photo ci-dessous permet aux amateurs et aux professionnels d’aérer un vin en dix minutes (au minimum). Rien de brutal là-dedans, simplement une méthode de nano-aération qui permet un « réveil en douceur » du vin via un “optiwiner” adapté à son âge dont les facettes, et quelques gestes délicats de votre part, redistribuent harmonieusement « la quantité d’oxygène optimale » nécessaire à son bon épanouissement.
Il a fallu trois années de recherche à l’œnologue Michael Paetzold pour réussir à quantifier cet apport d’oxygène et une année encore à Olivier Caste pour concevoir et préciser le design adapté à ces résultats. « Après avoir observé qu’un grand nombre de molécules gustatives restaient inexploitées à la dégustation, les recherches s’orientent alors vers la nano-aération. De nombreuses dégustations comparatives effectuées sur plus de 400 vins ont permis de développer et d’affiner le produit. »
Si l’invention n’a pas encore été testée par nos experts, d’autres professionnels sont déjà convaincus comme le vigneron François Mitjavile (Tertre Rotebœuf) qui, après avoir d’abord été sceptique, évoque un « résultat spectaculaire » et une « superbe expression des vins » au sortir d’une dégustation portant sur plusieurs millésimes, jeunes et vieux. La carafe de poche est disponible à Paris (Le Bon Marché), Bordeaux (La Cité du Vin, entre autres points de vente), Beaune, Strasbourg, plus d’infos ici.
La Carafe de poche by Optiwine, à partir de 19 euros à l’unité et 55 euros en coffret.
Ce qu'il faut d'oxygène
Procédé breveté inventé et fabriqué en France, l’ « outil œnologique de précision » en photo ci-dessous permet aux amateurs et aux professionnels d’aérer un vin en dix minutes (au minimum). Rien de brutal là-dedans, simplement une méthode de nano-aération qui permet un « réveil en douceur » du vin via un “optiwiner” adapté à son âge dont les facettes, et quelques gestes délicats de votre part, redistribuent harmonieusement « la quantité d’oxygène optimale » nécessaire à son bon épanouissement.
Il a fallu trois années de recherche à l’œnologue Michael Paetzold pour réussir à quantifier cet apport d’oxygène et une année encore à Olivier Caste pour concevoir et préciser le design adapté à ces résultats. « Après avoir observé qu’un grand nombre de molécules gustatives restaient inexploitées à la dégustation, les recherches s’orientent alors vers la nano-aération. De nombreuses dégustations comparatives effectuées sur plus de 400 vins ont permis de développer et d’affiner le produit. »
Si l’invention n’a pas encore été testée par nos experts, d’autres professionnels sont déjà convaincus comme le vigneron François Mitjavile (Tertre Rotebœuf) qui, après avoir d’abord été sceptique, évoque un « résultat spectaculaire » et une « superbe expression des vins » au sortir d’une dégustation portant sur plusieurs millésimes, jeunes et vieux. La carafe de poche est disponible à Paris (Le Bon Marché), Bordeaux (La Cité du Vin, entre autres points de vente), Beaune, Strasbourg, plus d’infos ici.
La Carafe de poche by Optiwine, à partir de 19 euros à l’unité et 55 euros en coffret.
Fan des vendanges ?
Inédite à ce jour, l’initiative de Château Dauzac va permettre à sa “communauté” de participer aux vendanges. Cette ouverture est une forme de remerciement de la part du grand cru classé de Margaux dont la présence sur les réseaux sociaux est relayée par près de 5 000 “fans” sur Facebook et 6 800 “abonnés” sur Instagram. Jusqu’au 18 septembre, un jeu-concours est proposé à ces amateurs virtuels (c’est par là) et un tirage au sort permettra à dix d’entre eux de rejoindre les rangs des vendangeurs.
« Bien plus qu’une participation aux vendanges manuelles, c’est un véritable séjour qui sera proposé aux heureux élus, leur permettant de toucher du doigt – au sens propre !- la réalité du métier de vigneron et de l’élaboration d’un vin. Durant deux jours, les participants seront en immersion totale dans la vie du vignoble : hébergement au domaine, rencontre avec les équipes, déjeuner avec accords mets & vins, visite complète du domaine et des chais, dégustation de trois vieux millésimes. »
Joli week-end en perspective pour les gagnants qui pourront constater IRL* les engagements du château vis-à-vis de la biodiversité : 6 hectares cultivés en bio, 1,8 hectare en biodynamie (conversion progressive de l’intégralité du vignoble), moutons et chèvres laissés en liberté pour la tonte, plantation d’un verger, création de ruches… Dirigé par Laurent Fortin depuis 2013, Château Dauzac fait partie des lauréats 2016 du concours Best of Wine Tourism distinguant les qualités d’accueil des propriétés.
* In real life, dans la vraie vie.