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La maintenance ne sera pas maintenue

Chers amis de Bettane+Desseauve,

Vous êtes nombreux à nous faire part de vos problèmes à rejoindre notre site bettanedesseauve.com en « maintenance » depuis quelques semaines.

Ce site – ainsi que d’autres sites Bettane+Desseauve dont celui du Grand Tasting – a fait l’objet de cyberattaques à répétition visant à récupérer – entre autres – les adresses e-mails des internautes. Devant la violence de ces tentatives de piratage et dans un souci de protection des adresses de nos visiteurs, nous avons préféré fermer les sites pour assurer une maintenance optimale et ne prendre aucun risque quant à vos données personnelles. Sans compter le risque de recevoir des propositions commerciales minables en provenance des pires sites de e-commerce.

Cette période pour le moins troublée va trouver sa solution très vite. Quand on lui pose la question, notre responsable informatique dit « demain ou après-demain ». Soyons large, disons lundi. Lundi 19 octobre, tout recommence.

Cet épisode difficile s’achève. Que chacun de ceux qui nous suivent acceptent l’expression de nos regrets et de nos excuses.


Université en ligne

Les deux formations en ligne, autrement nommées Mooc (pour Massive Open Online Course) proposées par l’université de Bourgogne ont rencontré un beau succès auprès du public. Disponibles gratuitement sur la plate-forme européenne EMMA, « Université de la vigne et du vin pour tous » (Open Wine University, ou OWU) et « Culture et écriture numérique » (Digital Culture and Writing, ou DCW) ont réuni des centaines de participants du monde entier, plus de 3 000 pour la première, 350 pour la seconde. Le 5 novembre, ces « disciplines phares de l’université de Bourgogne (le numérique et le vin) » seront à nouveau proposées, cette fois sur la plate-forme nationale France Université Numérique (FUN).

Plongée dans l’univers de la vigne et du vin, de la viticulture à la dégustation en passant par les terroirs, l’histoire des cépages et les techniques viticoles, l’OWU a été créée par les enseignants-chercheurs de l’Institut universitaire de la vigne et du vin de l’université de Bourgogne. Encadré par une équipe pédagogique composée principalement d’enseignants au département « Métiers du multimédia et de l’internet » de l’IUT Dijon-Auxerre, le cours DCW offre quant à lui « un aperçu des potentialités de la culture et de l’écriture numériques pour créer et publier sur le web. » Chacune de ces deux formations en ligne gratuites dure environ six semaines.

Les vidéos de présentation des cours sont à découvrir ici et les inscriptions, d’ores et déjà ouvertes, se font .

Septembre aux enchères, revue de détail

« Les indices WineDex® d’iDealwine ont poursuivi en septembre leur légère progression, s’inscrivant en hausse de 9,55 % depuis le début de l’année. Les vins de Bordeaux et de Bourgogne ont tiré vers le haut les performances de cet indicateur des ventes aux enchères de grands vins, tandis que, dans le même temps, les crus de la vallée du Rhône restaient stables. »

Cette information donnée par le site de vente en ligne iDealwine s’accompagne d’une précision concernant les vins de Bordeaux qui repartent à la hausse après une année quasiment stable, avec une progression de l’indice régional de 0,47 % en septembre. Parmi les millésimes représentés, c’est le 2005 qui se détache. « Longtemps stable, il est aujourd’hui reconnu comme l’une des valeurs sûres de la décennie. Sa progression est notable sur les prix des grands crus, mais aussi sur ceux des seconds vins. »

Le 16 septembre dernier, les enchères qui se tenaient sur cette plate-forme internationale ont réuni plus de 400 acheteurs enchérissant depuis 30 pays différents sur les grands crus, français et étrangers, proposés à la vente. Le succès de la vallée du Rhône, où le domaine Gentaz-Dervieux continue à affoler les enchères (1 440 euros pour le côte-rôtie Côte Brune 1985, 1 260 euros pour le côte-rôtie Cuvée réservée 1989) en fait la « région du mois » selon le site, qui donne pour exemple les beaux résultats suivants :

Domaine Noël Verset, cornas 1985
adjugé 600 euros à un amateur japonais (+154 %)

Domaine Thierry Allemand, cornas Reynard 2009
adjugé 142 euros à un professionnel américain (+28 %)

Domaine Guigal, lot panaché de La Turque, La Mouline et La Landonne
adjugé 1 380 euros (+21 %)


Domaine Jamet, cuvée classique 2009
adjugé 120 euros (+40 %)

Château Rayas 1989
adjugé 780 euros à un amateur britannique (+ 59 %)

 
L’enchère-phare éclaire à nouveau le domaine Armand Rousseau, son chambertin 2002 ayant franchi le seuil des 1 000 euros (1 020 euros, + 13 %) et son gevrey-chambertin Clos Saint-Jacques 2002, adjugé 564 euros, progressant de 62 % par rapport à la cote iDealwine. Enfin, l’enchère la plus haute de cette vente du 16 septembre est le fait d’un amateur monégasque qui a acquis six bouteilles de haut-brion 1989, adjugées 5 736 euros.

600 000 euros pour la recherche

C’est une équipe pluridisciplinaire qui a remporté l’appel à projet ouvert aux experts du monde entier lancé l’an dernier par la maison Hennessy avec pour objectif « de trouver des solutions appliquées » au problème des maladies du bois de la vigne. Présidé par Yann Fillioux, maître-assembleur de la maison de Cognac, le comité d’évaluation composé de douze personnalités viticoles représentant différentes parties prenantes de la problématique (organismes de recherche, interprofession, viticulture) a choisi, parmi vingt-trois dossiers arborant treize nationalités différentes, l’unité mixte de recherche INRA-Bordeaux Sciences Agro « Santé et agroécologie du vignoble ». Rattachée au département scientifique « Santé des plantes et environnement », cette unité fait partie de l’Institut des sciences de la vigne et du vin qui intègre l’ensemble des équipes de recherche en œnologie et viticulture de Bordeaux.

Budget inédit pour un programme de recherche viticole financé par des fonds privés, la dotation de 600 000 euros sur trois ans dont bénéficieront les chercheurs témoigne de la mobilisation de longue date de la maison Hennessy sur ces problématiques viticoles. Elle était déjà sur le front lors de la crise du phylloxera à la fin du XIXe siècle, « ce fléau qui semblait incontrôlable » et a finalement pu être canalisé grâce à la persévérance de chercheurs et d’investisseurs. « Aujourd’hui, Hennessy fait à nouveau le choix de l’engagement aux côtés du vignoble charentais avec la volonté de se mettre au service de l’ensemble de la filière, en complément des programmes institutionnels » (en apprendre plus ici sur les maladies du bois de la vigne).

Après une première sélection, et une incitation au regroupement de sujets similaires ou complémentaires, sept projets, « initiant pour certains des collaborations scientifiques inédites », ont été retenus en mai dernier. Les experts du comité les ont ensuite analysés avec précision en apportant une attention particulière à différents critères au rang desquels figuraient l’équilibre « entre acquisition de connaissances fondamentales et dimension applicative » et le transfert possible des résultats auprès du monde viticole. Bernard Peillon, le président de la maison Hennessy, précise que « la recherche ne peut évidemment pas garantir de résultats certains, mais la Maison se veut force d’entrainement et d’optimisme. Ce mal viticole n’est pas incurable, nous pouvons le vaincre si nous nous donnons les moyens de l’inventivité et de la confiance. Puisse cette initiative essaimer. »

L’équipe à l’expertise reconnue, ouverte à une large collaboration nationale et internationale*, qui a remporté cet appel à projets est issue du regroupement de deux pré-dossiers. L’unité mixte de recherche « Santé et agroécologie du vignoble » a privilégié une approche systémique, alliant recherche fondamentale et appliquée, visant à diffuser, via une plateforme innovante de communication, des solutions pratiques à court et moyen terme. Après avoir désigné ce projet, le comité va encadrer les trois années de recherche afin de veiller à l’obtention de résultats.

* En France, l’unité de recherche Œnologie de l’ISVV, l’UP en économie GAIA (unité Propre Gouvernance des coopératives agricoles, des territoires, de l’environnement et des marchés), l’Institut français de la vigne et du vin, l’université Reims Champagne Ardennes, les pépinières Mercier Frères, l’unité mixte de recherche Agroécologie, l’unité mixte de recherche Bioger. A l’international, l’Austrian Institute of Technology, l’université du Chili, l’université de Debrecen (Hongrie), l’université de Florence (Italie), l’université de Stellenbosch (Afrique du Sud), l’USDA (Californie), la Technische Universität Muenchen (Allemagne) et VITEC (Espagne).

Jacquart : le temps au temps

Tout commence en 1964, une trentaine de vignerons de Champagne se lancent dans une aventure extraordinaire. Fiers de leur métier de vigneron et convaincus de l’unicité de leurs terroirs, ces visionnaires ont eu l’ambition de créer leur Maison à côté de celles déjà bien installées, souvent propriété de grands groupes internationaux.

Aujourd’hui, cinquante ans plus tard, une jeune femme d’origine polonaise, blonde et énergique, tient les clés des champagnes de la Maison. Floriane Eznack, Chef de Cave, s’attache à protéger ce qu’elle appelle « l’existant », c’est-à-dire à pérenniser le style et les process de JACQUART. Les vignerons chez JACQUART sont nombreux, ils cultivent un très grand nombre de parcelles parmi lesquelles Floriane Eznack a choisi 350 hectares dans soixante crus qu’elle considère d’une qualité à hauteur des ambitions de la Maison dont elle élabore les vins.
Née du vignoble, JACQUART est plus que jamais une mosaïque de craies, de vignes et de talents qui œuvrent chaque jour à construire son histoire.

Chez Jacquart, comme dans toutes les maisons de Champagne dignes de ce beau nom, on a un sens aigu du temps qui passe. On sait bien que les coups se jouent à une voire deux générations d’avance. C’est ainsi que, pour bien montrer son ancrage dans le paysage champenois en même temps que son ambition, la Maison JACQUART a fait l’acquisition d’un bel hôtel particulier Rémois, l’Hôtel de Brimont sur le boulevard Lundy.

La petite équipe des débuts est aujourd’hui méconnaissable. Partis à 30, les voilà 1 800 qui exploitent plus de 2 400 hectares de vigne pour nourrir plusieurs marques venues s’agréger à JACQUART et permettre ainsi une émulation de bon aloi. Notons au passage que ces 2 400 hectares représentent 7 % de l’appellation champagne.

 


Lire l’intégralité de la saga

saga-JACQUART



Le Rendez-Vous des gourmets


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20 Rue Roger Brun,
Bracieux

02 54 46 03 87

Menus semaine :
Déjeuner à partir de 16 €
Dîner à partir de 19,5 €
Menus week-end
Déjeuner à partir de 29 €
Dîner à partir de 29 €

À la carte :
Carte 46 € à 68 €

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Le Rendez-vous des Gourmets est devenu la nouvelle place forte gastronomique de Bracieux. Ancien second de Bernard Robin, Didier Doreau s’est glissé avec souplesse dans le répertoire de son maître: maintenant il le fait vivre ! Ici pas de décor superflu, de tape à l’œil : attablé dans des fauteuils moelleux, dans la salle couleur tuffeau, on se sent dans un cocon où rien ne peut vous arriver.L’artiste s’efface devant l’artisan et le créateur n’a d’autre ambition que de rendre le convive heureux, on est chez un vrai aubergiste. Le talent est là sous les d’un foie blond revisité avec une sauce homard et des crevettes fondantes. Selon la version du sénateur Couteaux, avec sa texture de rillettes recomposées le lièvre à la royale est un plat qui se nourrit d’émotion et de nostalgie: à la vue du plat, on a les narines frétillantes : ce lièvre emballe les papilles, Les saveurs se déploient en une finale très fondue dont le palais conserve l’empreinte savoureuse. Purée onctueuse et girolles ajoutent au bien-être ambiant. Pour jouer avec de telles saveurs, le Chinon 2011 de Pierre et Bertrand Couly a ce qu’il faut de maturité et de puissance. La carte des vins décline le meilleur de Cheverny, vignoble tout proche et fait la part belle aux vins de Loire. Une évasion intéressante sur Bollinger, Ayala et Billecart Salmon donne de l’effervescence à des prix intéressants. Les menus à 20 et 32 euros constituent de vraies aubaines !

RÉSERVER

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Vignerons et terroirs d’avenir

Pour préserver et favoriser le développement de l’activité viticole française, en « en valorisant l’histoire, les hommes et le magnifique patrimoine », le groupe Advini lance un concours en partenariat avec l’Institut national d’études supérieures agronomiques (Montpellier SupAgro) et sa fondation. L’objectif est d’encourager « l’installation de jeunes vignerons dans des terroirs français d’exception. » En soutenant ces « porteurs de projets solides et ambitieux sur des zones viticoles à fort potentiel qualitatif», Advini est fidèle à son rôle d’acteur « fédérateur » de la filière viticole française. Son souhait est de distinguer les talents de la filière, dans différents bassins de production viticole et dans un contexte international très dynamique, le vin séduisant « de plus en plus de nouveaux consommateurs à travers le monde. » 


Le président du directoire du groupe Advini, Antoine Leccia, estime que « la France et ses jeunes vignerons doivent s’inscrire dans cette dynamique en s’appuyant sur la grande qualité de ses terroirs, de ses hommes et de leur savoir-faire. » Avec cette initiative, a-t-il déclaré, « Advini espère donner du cœur à l’ouvrage à tous les jeunes vignerons passionnés et entraîner d’autres projets pour que triomphent les vins français. » C’est un don de 100 000 euros consenti à la fondation SupAgro par le groupe qui constitue la dotation de ce concours, répartie en une bourse de 80 000 euros et 10 jours de conseils par an délivrés sur deux années par des experts et partenaires d’Advini.

L’accès à ce concours, dont les inscriptions viennent d’ouvrir, est réservé à des personnes âgées de moins de 40 ans ayant un projet d’installation ou de développement de leur domaine pour une activité de vigneron exercée à titre principal. Les candidats doivent télécharger le règlement et le dossier sur le site de la fondation SupAgro (cliquer ) et renvoyer leur projet par mail avant le 31 décembre 2015. Une présélection sur dossier de sept candidats sera effectuée en janvier 2016 par un jury composé de membres d’Advini, de Montpellier SupAgro et de personnalités du monde du vin. Un séminaire de préparation suivi d’un oral se tiendra en mars au Mas Neuf à Vic-la-Gardiole. Enfin, la remise des prix aura lieu à Paris au mois de juin prochain.

Le jour où j’ai compris les zadistes

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Vous l’avez lu partout, la ligne à grande vitesse va donc perforer le Ciron, cette toute petite rivière indispensable à l’élaboration du sauternes (c’est parce qu’elle provoque des brumes et brouillards les matins en fin d’été que se développe le botrytis sur les baies des vignes du Sauternais).
Pourtant, les autorités de l’État (la Cour des comptes) ou mandatée par celui-ci (Commission d’enquête publique) avaient conclu à l’inutilité coûteuse du projet, appuyées en cela par une consultation populaire qui avait réuni 14 000 signatures contre…

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Château Haut-Marbuzet 1985


 

Haut-Marbuzet 1985

LE VIN :
Légère déviation liégeuse au nez, c’est dommage car il y a une véritable unité qualitative sur les raisins de Corinthe avec encore une touche de fruit; la bouche offre encore une tenue stylée qui se prolonge avec un tannin justement enrobé qui étire le vin . Beau retour épicé en finale bien dans le style stéphanois .

16,5/20

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LE DOMAINE :
Ce cru mondialement connu se trouve à Marbuzet, coteau faisant face à la Gironde. Son vignoble est situé à mi-chemin entre Cos d’Estournel et Montrose. Henri Dubosq, figure incontournable du Médoc, vinifie les vins de la propriété depuis 1982.

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Les secrets des rivesaltes de la Maison Cazes


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