Mettre ensemble un grand vin et un grand parfum, l’idée n’est pas neuve. Je l’ai déjà fait deux fois pour Série limitée – Les Échos. Une première fois avec la journaliste Aymone Vigières d’Anval pour une rencontre entre Mathilde Laurent, « nez » des parfums Cartier et Véronique Drouhin, winemaker de Joseph Drouhin. La deuxième fois avec le journaliste Jean-Luc Barde entre Jean-Claude Ellena (« nez » des parfums Hermès) et l’œnologue Michel Rolland….lire la suite sur le blog bonvivant
Gérard Bertrand par lui-même
De ses années d’initiation par son père, il avait 10 ans pour sa première vinification, au regard qu’il porte, quarante ans après, sur son métier de vigneron-ambassadeur du Languedoc-Roussillon,
la « signature de l’année » du guide bettane+desseauve 2015 se livre. Le Vin à la belle étoile raconte aux amateurs (de viticulture, mais aussi d’entrepreneuriat, de nature, de rugby, de développement personnel) les convictions qui ont porté l’homme des Corbières et ses vins au niveau d’excellence qu’on leur connait aujourd’hui. Les droits d’auteur de cet ouvrage qui sort en librairie ce jeudi seront reversés à la fondation GoodPlanet.
Gérard Bertrand, Le Vin à la belle étoile. Editions de La Martinière, 16 €
Salon Millésime Bio,fréquentation en hausse
C’est sur un bilan très positif que les portes du rendez-vous avec la viticulture biologique qui s’est tenu à Montpellier du 26 au 28 janvier se sont refermées. Cette 22e édition a accueilli 4 800 visiteurs, soit une progression de près de 13 % par rapport à la session 2014. Les étrangers, principalement des professionnels du Bénélux, des Etats-Unis et du Canada, d’Allemagne et d’Asie, ont représenté 22 % des visiteurs. En tête des acheteurs de ce salon professionnel réservé aux vins certifiés AB issus des vignobles français, espagnol, italien, mais aussi autrichien ou chilien (14 pays étaient représentés cette année) se trouvent les cavistes (19 %), suivis des importateurs (13,5 %). Les journalistes ont élu les trois « coups de cœur de la presse » parmi les 85 vins médaillés d’or lors du Challenge Millésime Bio 2015 qui s’est tenu en novembre dernier (plus d’infos ici). En blanc, le pouilly-fumé « Aubaine » 2012 du Domaine Pabiot et le muscadet-sèvre-et-maine « Les Gautronnières » 2013 du Domaine Bonnet-Huteau. En rouge, le millésime 2011 de Château La Canorgue (AOC lubéron).
Le roi Chambertin : les propriétaires
Amalgaire, Claude Jobert, le docteur Marion, Napoléon et
les autres… La grande et la petite histoire de ce cru d’exception…
| À LIRE | >Le roi Chambertin | >Les fondements de la qualité |
| À suivre | >«Mes vins références» Michel Bettane… |

Château Gruaud-Larose 2011, bien en place
Château Gruaud-Larose 2011
Le vin est désormais bien en place. Il ne jouera pas parmi les bodybuildés du millésime mais constitue une expression raffinée du superbe terroir de Saint-Julien.
On peut l’apprécier sur son fruité actuel mais il est bâti pour la longue garde. Une comparaison avec de grands millésimes anciens, 2001,1989 et 1964 montre la progression de la propriété en matière de délicatesse d’extraction des tanins.
17/20
ACHETERLe vaste vignoble du château est situé sur l’un des plus somptueux et homogènes plateaux de graves profondes de tout le Médoc. Il produit grâce à cela une quantité importante de vins d’une régularité connue de tous. Le cru allie parfaitement force et finesse, et cache souvent en primeurs l’ampleur de sa charpente, qui ne se révèle pleinement qu’après vingt ou trente ans de garde. La sagesse de Jean Merlaut, administrateur du domaine, se sent dans l’évolution actuelle du cru, plus propre, plus précis que par le passé mais avec la même générosité de bouquet et le même charme de texture.

Café de Mars
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Menus
Menus : 20€ et 24€ (au déjeuner)
Accueil : jusqu’à 22h45. Fermé 1 semaine à Noël et 3 semaines en Août.
11, rue Augereau – 75007
Métro : École Militaire
01 45 50 10 90
www.cafedemars.com
Pierre Marfaing, Gina Mc Lintock
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On y aurait vite ses habitudes dans ce bistrot qui fleure bon les années cinquante et propose une courte carte de plats bien de l’époque avec notamment un cheeseburger qui connaît ses fidèles. Il faut dire aussi que la chef est américaine. Accueil toujours aussi sympathique et bienveillant.
À LA CARTE:
- Halloumi grillé, poivrons marinés et olives 8€
- Chorizo et jambon de truie 10€
- Trois huîtres, gelée de pamplemousse et piment 8€
- Tagine d’agneau, citron confit, courgettes jaunes 16€
- Filet de bœuf en croustade, purée maison 19€
- Risotto à l’encre, calamars et sofritto 18€
- Lieu jaune, bouillon, champignons 16€
- Gâteau au chocolat du passeur 7€
- Fraises, basilic and almond shortbread 7€
Notre sélection
- Costières-de-nîmes 2009, Château Mourgues du Grés 22€
- Haut-médoc 2007, Château Sénejac 30€
- Menetou-salon 2010, Domaine Pellé 29€
RÉSERVER[/col]
DÉCOUVREZ LA SÉLECTION LEBEY
Cité des vins de Bourgogne,le temps des architectes
Pour promouvoir l’ensemble de ses appellations, expliquer les climats, ce « système cultural et culturel unique dans la viticulture de terroir », mettre en avant l’offre touristique riche et variée de la région et y aiguiller ses visiteurs, la Bourgogne va se doter d’un site œnotouristique d’envergure. Ce projet fédérateur et collectif entame une nouvelle phase en 2015 avec le lancement du concours d’architectes dont la première étape va consister à choisir, d’ici l’été, trois ou quatre candidats.
« Nous avons choisi la prudence, mais sommes désormais prêts », explique Claude Chevalier, le président du Bureau interprofessionnel des vins de Bourgogne (BIVB). « L’étude de faisabilité, finalisée en 2013, nous a permis de nous lancer. Le travail réalisé depuis, avec les partenaires institutionnels, scientifiques et professionnels, affine notre dossier et détermine ses grandes lignes, tant en terme de contenu pédagogique que de modèle économique. »
Sur ces bases, les cabinets retenus auront cinq mois pour imaginer la future Cité des vins de Bourgogne. Ce projet majeur pour le vignoble, « mais aussi pour la région dans son ensemble », entrera dans sa phase concrète en novembre.
Photo ci-dessus, ©BIVB/Ibanez A.
Les bonnes nouvelles
La sinistrose ambiante, « les nouvelles sont mauvaises d’où qu’elles viennent », ça suffit. Ré-éclairons la scène et trouvons-y de bonnes raisons de nous réjouir. Un millésime, des producteurs, des vins.
2014
Étrangement silencieux, les oiseaux de malheur n’ont pas (pas encore ?) investi les médias populaires pour expliquer à quel point le millésime est raté. Ils font bien de se taire. Le millésime est plutôt réussi. Bonne qualité, bonne quantité. Sauf le sud du Rhône, le nord s’en sortant un peu mieux. En revanche, à Bordeaux, le sourire est…lire la suite sur le blog bonvivant









