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Cinquante Françaises qui comptent

Anne Le Naour devant le château Meyney

Il en fallait mille, dix mille. En voici cinquante.
Une sorte de promenade à la rencontre de toutes celles qui, à des degrés divers, occupent une place d’importance dans le monde du vin. Ou une place de choix. Ou prennent position pour l’avenir. Toutes celles qui, chacune à sa mesure, ont repoussé plus loin les limites de l’excellence à la française. Celles qui, par leur audace, leur détermination, leurs choix et parfois leurs naissances ou leurs mariages, ont fait ou permis de faire les plus beaux vins possibles.
Ces cinquante Françaises qui comptent dans leurs rangs une Vénézuélienne et une Espagnole, comptent aussi beaucoup dans l’organisation de ce monde du vin fort, historique et conquérant.
Cette sélection de fortes personnalités, est forcément oublieuse, tendancieuse. Incomplète évidemment. Mais elle est là et elle est assumée.
Cette liste d’excellence n’est pas un classement.
Il n’y a ni première, ni cinquantième.
C’est un tableau d’honneur. Celui du vin français.

DOMINIQUE HÉRIARD-DUBREUIL
Groupe Rémy Cointreau
Arrivée à la tête de Rémy-Cointreau en 2001, à un moment où le cognac commence à se remettre de sa délicate période de la fin du siècle précédent, Dominique Hériard-Dubreuil a efficacement remis la maison Rémy-Martin sur le devant de la scène internationale, en comprenant que les nouveaux relais de croissance passaient désormais par l’Asie et la nouvelle puissance montante, la Chine. Signe de reconnaissance, le magazine américain Fortune l’a classée en 2008 à la 42e place des femmes chefs d’entreprise les plus influentes dans le monde. G.P.

PHILIPPINE DE ROTHSCHILD
Château Mouton-Rothschild
Fille de Philippe de Rothschild et d’Elizabeth Pelletier de Chambure, Philippine de Rothschild a hérité brillamment du goût artistique de son père et de son amour du théâtre en commençant sa vie professionnelle sur les meilleures planches, celle de la Comédie-Française, sous le nom de Philippine Pascal. Appelée à la mort de son père à la tête des activités viti-vinicoles de la famille – il n’aurait d’ailleurs pas facilement imaginé une femme, et peut-être encore moins sa propre fille, dans ce qui est devenu son plus grand rôle – elle a pu y déployer tout son talent, sa profonde humanité et son dévouement sans borne aux grands vins de Pauillac en incarnant Mouton aux yeux du monde entier. Sa connaissance intime de la peinture et sa sûreté de jugement lui ont permis de convaincre les plus grands noms de notre époque de signer les étiquettes de chaque nouveau millésime, tout en donnant aux équipes techniques qui ont la charge de produire les vins une véritable éthique d’artiste. M.B.

NATHALIE VRANKEN
Maison Pommery Château La Gordonne
En épousant Paul-François Vranken, elle a trouvé dans la corbeille la Champagne et la grande maison Pommery. N’importe qui d’autre s’en serait contenté, pas elle. Elle a très vite trouvé sa place en décidant de faire le ménage. Une grande entreprise de dépoussiérage menée à coup d’expositions d’art contemporain chaque fois plus créatives ou de restauration de l’historique Villa Demoiselle, une réussite. Comme si ce n’était pas suffisant, elle s’est lancée dans l’aventure du rosé au château La Gordonne, en Provence. Et ça marche, évidemment. On n’imaginerait pas le contraire. N.R.

CORINNE MENTZELOPOULOS
Château Margaux
Lors de la disparition de son père en 1980, propriétaire entre autres de l’enseigne Félix Potin et du premier cru Château Margaux, Corinne Mentzelopoulos était très jeune et totalement inexpérimentée pour présider aux destinées d’un cru qui sortait d’une période noire, les années 70, et entrait dans une nouvelle ère, celle des vins de luxe. Après avoir cédé puis repris une partie du capital de Margaux, et fait de cette propriété somptueuse une véritable maison de haute-couture, toujours accompagnée du brillant directeur du cru, Paul Pontallier, elle est aujourd’hui à la tête d’un patrimoine évalué à 600 millions d’euros (Enquête « Fortunes de France » du magazine Challenges, juillet 2013). T.D.

CHRISTINE VERNAY
Domaine Georges Vernay
Son père Georges a mis le domaine sur le devant de la scène à un moment où personne ne connaissait le condrieu et son curieux cépage viognier, mais c’est Christine qui l’a progressivement propulsé parmi l’élite de la viticulture rhodanienne, et même au-delà. Non seulement ses blancs de condrieu ont atteint une pureté et une profondeur sans égales dans le secteur, mais ses rouges de côte-rôtie ont connu depuis quelques années une identique perfection, exprimant à ravir le caractère moins poivré mais plus en chair du sud de l’appellation. G.P.

ANNE LE NAOUR
CA Grands Crus
La liste est impressionnante et cette jeune personne aussi. Les châteaux Meyney (Saint-Estèphe), Grand-Puy-Ducasse (cru classé de Pauillac), Rayne-Vigneau (premier cru classé de Sauternes), Tour-de-Mons (Margaux), Blaignan (Médoc), Clos Saint-Vincent (Saint-Émilion), sont placés directement sous sa responsabilité technique, sans oublier un domaine en costières-de-nîmes. Comprendre que la qualité de ces vins dépend d’elle, des décisions qu’elle prend et de la façon dont elle motive ses équipes. En allant la chercher chez Bernard Magrez, Thierry Budin et le Crédit agricole, propriétaire, ne se sont pas trompés puisque les résultats…lire la suite

La coquille des prohibos

Info du soir, espoir.
Selon des sources concordantes, mais à prendre au conditionnel le plus total, la première des cinq mesures anti-vin de la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (où le vin a toute sa place, vous vous en doutez) serait qualifiée de « coquille » par une dame de cette haute instance. Bon, ils l’ont publié sur les sites en .gouv, les prohibos de l’ANPAA ont applaudi dans un communiqué, mais c’est une « coquille » quand même. Moi, mon stagiaire ferait une bourde pareille, je lui pète un bras.
Donc, à en croire mes informatrices, la ligne « interdiction de parler…lire la suite

Krug, récolte du Clos du Mesnil





Nichée au cœur du Mesnil-sur-Oger et protégée par des murs datant de 1698, la vigne de cette célèbre parcelle bénéficie d’une situation géographique exceptionnelle et s’épanouit dans des conditions (micro)climatiques uniques. Par conséquent, ses raisins parviennent systématiquement à maturité avant les autres. Si les vendanges sont précoces par rapport au reste de la Champagne, elles peuvent durer de deux à dix jours selon l’âge et la maturité des vignes, cette parcelle d’1,84 hectare étant divisée en cinq secteurs différents, suivis individuellement. Cette année, il n’aura fallu que deux jours pour récolter le Clos tant les raisins offraient d’équilibre entre richesse en sucres et acidité. Selon la décision du chef de cave de la Maison, Eric Lebel, le vin issu de ces chardonnays viendra enrichir la bibliothèque des vins de réserve Krug, participera aux assemblages ou deviendra peut-être un nouveau millésime Krug Clos du Mesnil. On en saura plus bientôt. Pour l’instant, la Maison s’apprête à vendanger le Clos d’Ambonnay.

En direct de Fieuzal


Léognan, le 30 Septembre 2013.

« Les trois premiers jours de la semaine dernière, nous avons vendangé quelques parcelles de blanc. Mercredi midi, nous avons pris la décision d’arrêter afin de laisser certains de nos fruits gagner un peu en concentration. C’est réussi, et les blancs vont être surprenants en 2013. Après un nouveau contrôle de maturité vendredi, nous avons gagné quelques grammes de sucre, et nous constatons de très beaux équilibres pour les sauvignons blancs et les sémillons. Nous reprenons la récolte aujourd’hui et nous terminerons probablement mercredi. Comme chaque année depuis 2007, nos raisins blancs sont pressés le plus rapidement possible après récolte si la température des fruits est bonne. Sinon, les baies passent quelques heures en chambre froide. S’ensuit une attention toute particulière des jus à la sortie du pressoir afin de limiter au maximum les oxydations. Les moûts sont débourbés en petites cuves inox à basses températures (8-10°C) avant que ne débute leur fermentation. En fonction de leur profil aromatique et, surtout, de l’acidité des lots, nous déterminons ensuite dans quel type de barrique celle-ci se fera, chêne ou acacia, cuve inox ou dans nos « fameux » œufs en béton, selon que ces moûts seront destinés à l’Abeille (le second vin de Fieuzal, NDLR) ou au grand vin. La semaine qui s’est écoulée aura aussi été très bénéfique aux raisins rouges, en particulier les merlots qui devraient être « prenables » à partir de mercredi ou jeudi au plus tôt, les pluies de ce week-end ayant fragilisé les peaux. »

Par Stephen Carrier, directeur technique de Château de Fieuzal

Les sauvignons de Smith Haut Lafitte





Les vendanges ont commencé il y a une dizaine de jours au château Smith Haut Lafitte. D’après Fabien Teitgen,
le directeur technique de la maison, la récolte des blancs devraient s’achever aujourd’hui :


« Nous avons d’abord dégainé nos petites cagettes de 7 à 9 kg pour procéder aux premiers éclaircissements
et vendanges de nos parcelles de jeunes vignes de blancs. Puis le travail de fond dans nos vignes historiques
a commencé la semaine dernière avec les sauvignons blancs et gris
(voir les deux photos, prises jeudi dernier) .
Avec 80 vendangeurs pour onze hectares de vignes, nous avons les ressources nécessaires pour vendanger
à la sauternaise et nous sommes très optimistes quant au résultat. Les raisins présentent 13,5 % d’alcool potentiel
et une très belle fraicheur aromatique. Nous prévoyons de finir les blancs d’ici lundi soir, après une journée de samedi dédiée à nos meilleurs sauvignons et le passage de faibles pluies dimanche. Nous enchaînerons ensuite avec les jeunes vignes de merlots qui montrent les signes d’une belle maturité malgré la faible charge de leur cep. »




Un sancerre collector




Voilà un très ancien domaine qui fête cette année ses 500 ans d’existence. En 1513, c’est Pierre-Etienne Mellot
qui cultive la vigne à Sancerre. Cette rare saga viticole s’est poursuivie de génération en génération, et la maison Joseph Mellot continue à en écrire l’histoire. Dirigé depuis 2005 par Catherine Corbeau-Mellot, ce grand domaine
a réellement pris son essor dans les années 80 par le biais d’acquisitions successives. Ses vignes couvrent aujourd’hui 100 hectares dans les principales appellations du Centre Loire, de Pouilly-Fumé à Menetou Salon,
des Coteaux du Giennois à Reuilly ou Quincy, sans oublier Sancerre, le fief historique. Engagé dans une démarche environnementale novatrice, le domaine est le premier de sa région à avoir obtenu une certification ISO 14001
et la qualification « Agriculture raisonnée ». Pour célébrer d’une façon très moderne ces cinq siècles de viticulture familiale, Catherine Corbeau-Mellot s’est adressé à une école de graphisme pour créer, par le biais d’un concours, un flacon à la hauteur de l’événement. Sobriété, élégance intemporelle et respect du terroir sont les valeurs sur lesquelles ont planché les élèves de l’Ecole supérieure des Arts et Techniques à Paris. Parmi les différentes créations de ces jeunes gens, c’est le travail de Florie Bauduin qui a remporté les suffrages du jury. Pour habiller
la bouteille, l’étudiante a stylisé des silex, symbole du terroir sancerrois, par des courbes dorées qui ne sont pas sans rappeler celles d’une carte topographique. Novatrice jusqu’au bout, Catherine Corbeau-Mellot a doté ce sancerre d’anniversaire, produit à seulement 5 000 bouteilles, d’un bouchon de liège Cork Supply DS100,
100 % naturel, 100 % écologique, avec 0% de TCA, cette molécule responsable du « goût de bouchon ». 



Sancerre blanc 2012 « Cuvée des 500 ans », Domaine Joseph Mellot, 28 € départ cave.

Quatre cent vingt-sept propriétaires
 pour un château

L’année dernière, “seulement” la moitié d’entre eux avait fait le déplacement en Côtes de Bordeaux, à 4 kilomètres de Cadillac, pour participer aux vendanges. Ce samedi 28 septembre, c’est près de trois cents des quatre cent vingt-sept propriétaires de Château Réaut qui étaient attendus pour la récolte du millésime 2013. Unique en son genre, ce groupement foncier agricole dont font partie des Bordelais et des Bourguignons (nous vous avions raconté toute l’histoire ici) a vu le jour en 2011, à l’initiative de Yannick Evenou, le directeur général des Vignobles Fayat, c’est-à-dire entre autres du grand cru classé de Saint-Emilion Château La Dominique. Issus de toutes les régions de France et du monde, pas moins de quinze pays sont représentés, les nombreux propriétaires de Réaut ont fait un pique-nique tous ensemble ce samedi, après avoir lancé la récolte 100 % manuelle de leurs 26 hectares de vignes, entièrement replantés entre 2004 et 2009 (58 % de merlot, 37 % de cabernet-sauvignon et 5 % de cabernet franc).

Qu’est-ce qu’on fait ce week-end ?





La fête du livre organisée pour la sixième fois au cœur du vignoble bourguigon sera présidée cette année par l’écrivain David Foenkinos, qui succède à Jean-Robert Pitte, Bernard Pivot, Didier Van Cauwelaert, Patrick
de Carolis et Jean-Christophe Rufin. Qu’ils écrivent ou non sur la vigne et le vin, de nombreux auteurs seront présents samedi et dimanche pour ce Livres en Vignes au château du Clos de Vougeot. Comme chaque année,
de nombreux débats sont prévus, tout le programme est , et des prix littéraires seront remis. Le prix Méo Camuzet concerne les premiers romans, le prix Albert Bichot récompensera un ouvrage de littérature généraliste contemporaine et le prix du Clos de Vougeot, un ouvrage sur le vin et la vigne. Entrée libre.

La huitième édition du Festival international de la gastronomie de Mougins, dont l’invité d’honneur est Gérald Passédat, chef triplement étoilé du Petit Nice à Marseille, fera la part belle aux produits de la Méditerranée.
Vins compris. Ce sera l’occasion de découvrir les productions des deux domaines appartenant la famille Saadé,
qui fait renaître depuis quelques années l’antique vignoble d’Orient. Issus de terroirs situés à 900 mètres d’altitude, les vins de Château Marsyas (Liban) et du domaine de Bargylus (Syrie) sont élaborés avec les conseils de Stéphane Derenoncourt. Faibles rendements, long cycle végétatif, maturité optimale et vinifications à basse température, l’exigence est de mise. Samedi 28, un atelier permettra de les déguster dans les meilleures conditions. Si vous ne pouvez pas vous rendre à Mougins, vous pouvez trouver ces vins chez Lavinia, au Caves Taillevent, chez Terres Millésimées ou sur wineandco.com 

Château Marsyas rouge 2009, 32 € environ. Bargylus rouge 2007, 37 € environ.

La maison de la Mutualité, à Paris, accueille ce week-end la dixième édition du Whisky Live and fine spirits.
Pour la quatrième année, et parmi d’autres fine spirits, le cognac y sera représenté par le Bureau national interprofessionnel du cognac (BNIC) et pas moins de onze maisons. Avant de découvrir les cognacs d’ABK6/Leyrat, Courvoisier, Ferrand, François Voyer, Frapin, Hennessy, Rémi Landier, Martell, Merlet, Rémmy Martin et Vallein Tercinier, les amateurs débutants et les connaisseurs avertis sont invités à s’initier à leur élaboration, samedi comme dimanche de 13 h 30 à 19 h 30, avec des eaux-de-vie blanches issues de différents crus et à différents étapes de leur vieillissement.

Ce qui va vraimentsaouler les Français

L’État envisage de prendre des mesures destructrices pour la filière vitivinicole. Avec Vin & Société,
les 500 000 acteurs de la vigne et du vin interpellent François Hollande et Jean-Marc Ayrault.

Mise à jour : cequivavraimentsaoulerlesfrançais.fr est un succès. Après 70 000 visites enregistrées sur le site jeudi dernier pour le lancement de la campagne, plus de 150 000 visiteurs uniques ont consulté le site internet de la mobilisation initiée par Vin & Société. Très bien relayé par les réseaux sociaux, notamment sur Twitter avec le hashtag #çasaoule, le mouvement continue pour interpeller les responsables politiques.
Le succès de la campagne a provoqué le retrait d’une des cinq mesures envisagées par l’État, celle d’interdire de parler du vin sur internet. Si Vin & Société se félicite de ce retour en arrière, le retrait pour le moins discret et la non communication de La MILDT* interpelle. « Cette pratique traduit un manque de considération à l’égard des 500 000 acteurs de la vigne et du vin et témoigne de la légèreté avec laquelle notre secteur est considéré. Nous nous interrogeons sur la position du Premier ministre qui voit le plan de son gouvernement réécrit de la sorte en catimini. Quel document fait foi ? Nous demandons au Premier ministre de condamner fermement cette pratique et de remettre de la clarté dans le plan du gouvernement. Notre mobilisation se poursuit. Nous souhaitons l’abandon des mesures envisagées contre le vin et la création d’une instance interministérielle dédiée au vin » déclare Joël Forgeau, président de Vin & société.

Nicolas de Rouyn parle aussi du sujet ici et .

*MILDT : Mission Interministérielle de Lutte contre la Drogue et la Toxicomanie

Etes-vous un championde la dégustation ?






Cave à vins en ligne, organisateur de ventes privées à prix producteurs et de nombreuses dégustations
tout au long de l’année, le site a wine day (qui s’apprête à souffler sa première bougie) permet, par l’intermédiaire de différentes formules d’adhésion, de faire de véritables rencontres, avec le vin comme avec ceux qui le font.
La devise maison ? « Qui sait déguster ne boit plus jamais du vin, mais goûte des secrets ». Cette citation de Salvador Dali, qu’on aimerait faire réciter à tous ceux qui persistent à ignorer le vin, sert de toile de fond à toutes
les dégustations organisées pour les particuliers comme les entreprises. Classées par thèmes, afin que chacun puisse trouver l’approche qui lui convient, elles étaient jusqu’alors au nombre de six : Musique et vin, Bouche à oreille, Le verre et l’assiette, Wine battle, Wine out et Premiers pas (les prochaines dates sont ).

Nouveauté de la rentrée, animée par des personnalités du vin, des vignerons, des sommeliers, des journalistes,
des blogueurs et des passionnés, The wine cup proposera dès octobre un cycle de dégustations d’un nouveau genre, à la fois plus sérieux et plus ludique. A l’image des concours de dégustation qui se tiennent chaque année dans les grandes écoles et universités, six équipes composées de connaisseurs ou amateurs occasionnels s’affronteront autour de la connaissance des terroirs, des cépages, de la vinification, des domaines et châteaux,
des vins et de leurs millésimes. Vous souhaitez en être ? Il vous faut alors sélectionner trois à vingt personnes, parmi vos amis ou vos collègues, pour chacun des matchs. Vous devrez ensuite trouver le plus enthousiasmant
des noms pour votre équipe, a wine day vous offrira le logo qui va avec. Il ne vous restera plus qu’à gagner les cinq rencontres auxquelles vous participerez. Le premier prix est un coffret de bouteilles d’une valeur de 1 300 €.