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Sept champagnesà moins de 20 euros (1/3)


Inutile de casser votre tirelire pour acheter des bulles. Voici sept bons champagnes qui sauront vous satisfaire.


Blanc brut | Champagne Barnaut
Blanc de noirs grand cru

Philippe Secondé est l’un des plus affables viticulteurs de Bouzy, passionné par son terroir et très raisonnable dans la tarification de ses produits.
Bonne rondeur, vin vineux, équilibré, assez long, sans aller jusqu’au bout de la logique « grand cru ».
Apogée : 2013 à 2015
http://www.champagne-barnaut.com

19,70 € départ cave


Blanc brut | Franck Bonville
Brut prestige

Cette propriété classique de la Côte des Blancs, dotée de terroirs exceptionnels sur Avize, entre autres, a présenté pour la première fois ses vins à nos dégustations et ils se sont immédiatement fait remarquer par leur pureté et leur sûreté se style. Les prix restent sages.
Grande pureté aromatique, saveur de noisette fraîche, racé, parfaitement apéritif, excellent dosage.
Apogée : 2013 à 2015
http://www.champagne-franck-bonville.com

19,30 € départ cave


Blanc brut | Paul Clouet
Brut sélection

A la demande du propriétaire, nous séparons les champagnes Paul Clouet des champagnes Bonnaire, même si les deux sont vinifiés à Cramant, chez Bonnaire.
Rond, fruité, équilibré, dosage consensuel, facile à boire.
Apogée : 2013 à 2014
http://www.champagne-paul-clouet.com

18 € départ cave


Blanc brut | Gatinois
Brut grand cru réserve

Pierre Cheval exploite un petit domaine prestigieux sur les meilleurs vignes d’Aÿ, le plus fameux cru de la Champagne. Son voisin Bollinger lui achète fidèlement, depuis longtemps, une partie de ses raisins.
Robe dorée, vin classique d’Aÿ, harmonieux, consensuel, avec un dosage qui pourra déplaire aux puristes, mais parfaitement adapté au corps du vin.
Apogée : 2013 à 2018
http://www.champagne-gatinois.com

19,50 € départ cave


Blanc brut | Lancelot-Pienne
Cuvée de la Table Ronde, grand cru blanc de blancs

Ce producteur habite la plus belle maison de Cramant (qui a jadis appartenu à Mumm) avec une vue unique sur les coteaux prestigieux de la commune. On sera ravi par la subtile minéralité qui est le propre des grands vins de Cramant.
Parfait équilibre, net, pur, crayeux, dosage réussi, excellent apéritif.
Apogée : 2014 à 2017
http://www.champagne-lancelot-pienne.fr

18,90 € départ cave


Blanc brut | Marie-Noëlle Ledru
Brut grand cru

Marie-Noëlle Ledru est une vraie vigneronne, une vraie paysanne, ce qui fera taire ceux qui clament partout que cela n’existe plus en Champagne.
Le léger dosage harmonise la cuvée davantage que l’extra brut, le caractère du terroir est là, la finale reste pure et très « terroir ».
Apogée : 2013 à 2018
Tél : 03 26 57 09 26
Email : [email protected]

19,10 € départ cave


Blanc | Paul Bara
Grand cru brut réserve

Brut presque idéal par son équilibre, sa fraîcheur, sa finesse, son amabilité, mais aussi son caractère de terroir affirmé.
Apogée : 2013 à 20115
http://www.champagnepaulbara.com

17,50 € départ cave

Des cadeaux qui durent.


Vous avez choisi ici le champagne que vous boirez le soir S ?
Voici trois cadeaux pour parler d’amour un peu plus qu’un jour. Choisissez votre thème.





Chaleur.

La carafe est une réplique du flacon original du XVIe siècle et ce qu’elle contient
est un cognac V.S.O.P 100% Grande Champagne, Premier Cru de cognac. Couleur d’ambre et notes d’épices (girofle, poivre rose), florales (iris, lys, acacia, aubépine)
et fruitées (raisin), ce cognac qui affiche un caractère singulier, tout en volupté, tire
de son vieillissement en fûts de chêne une discrète touche de vanille. 53 €





Lumière.

Conçue par trois diplômés de l’école Boulle et des Beaux-Arts, qui ont fondé
ensemble une société qui s’est vu remettre en juillet dernier le prix de la Fondation Riboud (prêt d’honneur Entrepreneurs des Métiers d’art), cette lampe en laiton s’appelle Champagne. Sur commande ici, la version 30 cm vaut 400 €.




Avenir.
Loire, Alsace, Bourgogne ou bordelais, c’est vous qui décidez. Le principe est d’adopter des pieds de vigne, et de participer ainsi à la création d’une cuvée qui portera vos noms. L’aventure à deux peut aller jusqu’à participer à l’assemblage.
Pour découvrir le vigneron et le domaine qui vous vont, c’est par . 149 €

Un soir de grands crus


La dégustation du mardi chez Legrand Filles & Fils se fera ce soir en présence
de Thierry Bouin, le régisseur du domaine des Lambrays qui doit son nom et sa réputation à la propriété, en quasi-monopole, du grand cru Clos des Lambrays,
qui s’étend sur 8,69 hectares au cœur de la Côte de Nuits. Il viendra présenter plusieurs millésimes (1999, 2001, 2003, 2006, 2009, 2010) de cet immense bourgogne ainsi que d’autres vins du domaine, morey-saint-denis et puligny-montrachet (premier cru « Clos du Cailleret » en 2007 et 2009).
Participation : 200 €. Tél. : 01 42 60 07 12.

La typicité, pourquoi faire ?

L’un des sports préférés des Français est la chasse à l’excellence. Pas pour la débusquer, l’intégrer, la fêter, mais pour s’en débarrasser au plus vite. Sans chercher mille exemples faciles dans la société civile, la politique, les médias, concentrons-nous sur ce qui nous occupe. Le vin.

Virer les bons est une occupation qu’on croirait à plein temps pour les dirigeants des AOC. Il y a longtemps, on expliquait à Éloi Dürrbach (Trévallon) qu’il fallait qu’il change son encépagement pour continuer à bénéficier de l’appellation. Il a refusé et produit, depuis, l’un des vins de table les meilleurs et les plus chers. Si je mentionne cette notion d’argent, c’est pour montrer que le fait d’arborer une AOC n’est (plus ?) une garantie de revenu. D’autres hérétiques ont été poursuivis sans relâche. Une fois, c’est Marcel Richaud, le meilleur producteur de Cairanne, viré pour « manque de typicité ». Une autre fois, c’est le Domaine de Souch à Jurançon. On connaît l’exemple de Michel Rolland, viré pour avoir étendu sur ses vignes des bâches contre la pluie. L’an dernier, Guillaume Tari à Bandol était cloué au pilori. Manque de typicité, lui aussi. Ces jours-ci, c’est Jérôme Bressy, vigneron au Domaine Gourt de Mautens, qu’on prive de son appellation. Lui, il est simplement le meilleur de Rasteau.

Les exemples abondent. Qu’on perce le plafond trop bas pour s’élever vers les étoiles et la meute des jaloux vous excommunie. On le voit, ce ne sont jamais les mauvais d’une appellation…

Ouvrez la grille

Il ne faut pas le confondre avec le château de la Belle au Bois Dormant situé à seulement quelques kilomètres, mais le Château de La Grille n’en est pas moins charmant. Qui prend soin de ce château de la Loire dont les origines remontent aux XVe et XVIe siècles et qui fut la propriété d’une célèbre famille champenoise répondant au nom de Gosset ? Eh bien ce ne sont pas une, mais deux personnes. Christophe Baudry et Jean-Martin Dutour ont racheté le Château de La Grille en 2009, alors dirigé par Sylvie et Laurent Gosset.

Christophe Baudry

Le chai, construit en 1970 sous la direction d’Albert Gosset, intégrait déjà les éléments permettant de vinifier dans les meilleures conditions. Bénéficiant de travaux de réaménagement, un nouveau caveau de dégustation,
un espace de projection et des rénovations du chai de vinification ont été entrepris. Une galerie souterraine de liaison entre le chai à barriques et le chai de fermentation à aussi été créée. Dans le clos, le meilleur terroir du vignoble, deux hectares de cabernet franc ont été replantés. Intégré aux vignobles Baudry-Dutour, en compagnie du Château de Saint-Louans, du Domaine du Roncée et du Domaine de la Perrière, La Grille s’étend sur vingt hectares, pour une production annuelle d’environ cent-mille bouteilles.

Christophe Baudry représente la sixième génération de vignerons de la famille. Comme une grande majorité de jeunes viticulteurs, il a débuté avec son père. C’est en 1986 que Jean Baudry lui a dit : « à toi maintenant ». Vingt-huit ans plus tard, accompagné de Jean-Martin Dutour, le voilà à la tête de quatre domaines. Avec les deux propriétaires, vingt-six personnes travaillent sur l’ensemble des vignobles. Pour ce qui est de La Grille, quatre ouvriers viticoles, un maître de chai et Catherine Perreau, responsable du caveau. Nouveauté œnotouristique, en plus des classiques visites des vignes et des chais, les visiteurs ont la possibilité de se promener dans le parc et au cœur même du vignoble. Un plan est à leur disposition pour les guider et leur raconter étape par étape les travaux de la vigne et les caractéristiques du métier de viticulteur.

Leur premier millésime, en 2009, annonce les ambitions du binôme. Remettre le domaine à son niveau des années 1990. Pour y arriver, en plus des investissements réalisés, Christophe Baudry peut s’appuyer sur un terroir argilo-calcaire qui résiste à de fortes sécheresses. Il faut laisser la nature faire son travail. Le vin aime prendre son temps. « La Grille est un château où il faut vendanger tard, quitte à perdre un peu de fruit. L’année dernière, les vendanges ont commencé alors que toute l’appellation en avait terminé. Albert Gosset élevait le vin en barriques, puis, en bouteilles. On déguste un millésime trois à quatre ans après sa vendange. La-grille est un vin de garde. Il est élevé pendant dix-huit-mois dans des fûts de deux, trois et quatre ans et nous utilisons une à deux cuves maximum selon les millésimes ». Le vin achève sa maturation en cave durant un minimum de deux ans.

De la famille Gosset, la durée d’élevage ne reste pas le seul héritage. La bouteille, elle aussi, est restée identique au célèbre flacon champenois et un topiaire de la forme de la bouteille orne le parc du château.
On le sait, la vie de vigneron peut être difficile et injuste, tant la qualité d’une récolte est incertaine avant que les raisins soient en sûreté, à leur place, dans les cuves. 2012 ne restera pas dans les mémoires. Gel de printemps et grêle sont les responsables d’un millésime compliqué, le premier depuis plus de dix ans. Toute l’appellation chinon est concernée. D’une production moyenne de 100 000 hectolitres par an, seuls 57 000 seront produits. Pour ce 2012, Baudry-Dutour a fait un choix coûteux. Celui, tout comme les châteaux d’Yquem et de Rieussec, de ne pas produire de millésime 2012. Une décision qui prouve une exigence certaine, une ambition d’excellence. Conséquence, la production de rosé du Château de La Grille double pour atteindre environ 20 000 cols. « C’est l’année la plus compliquée depuis longtemps. 1991 fut mon pire cauchemar à cause du gel qui a réduit la récolte à 7 hectolitres par hectare. En 1980, c’était la qualité du raisin qui était en cause ».
La visite touche à sa fin, la grille se referme. Il est temps de partir. Christophe Baudry, lui, ne bouge pas. Passionné qu’il est, il se prépare à raconter et faire déguster à d’autres, l’histoire et les multiples parfums du Château de La Grille.

Texte et photos : Pierre Grenié

Une fusion à venir



Regroupant à elles deux 250 exploitations viticoles et 2 300 hectares de vignes au pays des Dentelles de Montmirail, dans la partie méridionale de la vallée du Rhône, les caves des Vignerons de Caractère et des Vignerons de Balma Venitia ont été créées il y a plus de 50 ans. Aujourd’hui, elles ont décidé de se rapprocher pour travailler sur un projet de fusion qui regroupera à terme les deux entreprises. Ces deux acteurs majeurs de leur secteur, leaders de leurs appellations (gigondas, vacqueyras, beaumes de Venise, muscat de Beaumes de Venise), partagent les mêmes valeurs, qu’ils s’agissent de la qualité des vins, des démarches de certification ou de développement durable. Egalement impliqués dans l’œnotourisme, les Vignerons de Caractère et Balma Venitia envisagent leur union comme une étape-clé qui assurera la pérennité des exploitations viticoles autant que la protection de leur terroir et du savoir-faire des générations d’hommes et de femmes qui s’y sont succédé. Avec des capacités de développement démultipliées dans tous les domaines (technique et recherche, commercial, marketing) et des coûts de fonctionnement optimisés, cette nouvelle structure dont le nom n’est pas encore connu, produirait
36 000 hectolitres de crus de la vallée du Rhône et distribuerait 8 millions de bouteilles pour un chiffre d’affaires d’environ 30 millions d’euros. Ce projet de fusion non exclusif pourrait rassembler d’autres entités partageant les mêmes objectifs. 

D’amouret de champagne

Henri Abelé
C’est Philippe Jamesse, chef sommelier du domaine Les Crayères à Reims et grand spécialiste du champagne, qui a signé les deux flûtes au galbe généreux qui accompagnent et dévoileront cette cuvée Sourire de Reims. 120 €










Tsarine
Hommage au septième art, ce coffret-boîte à bijoux, doté d’un miroir
d’inspiration hollywoodienne contient quatre flûtes torsadées et la Cuvée Premium de la Maison, récemment récompensée (entre autres) par une médaille d’argent, mention «exceptionnel» lors de l’International Wine & Spirit Competition 2012.
150 €






Henriot
Une bouteille de champagne Brut Rosé, deux flûtes et
une perle Swaroski Elements (dont le montage, conçu
par Arthus-Bertrand, permet de la porter sur un collier,
un bracelet ou tout autre support), la Maison fait rimer amour avec toujours. 58 à 68 €




Besserat de Bellefon
Ces deux flacons de la Cuvée des Moines rosé sont accompagnés de verres Riedel choisis par Cédric Thiébault,
le chef de cave de la Maison, pour leur capacité à exprimer l’effervescence fine et légère du vin et son nez généreux, intense et raffiné. 200 €



Gonet
Tendre robe rose et fruité charmeur, cette cuvée est soigneusement équilibrée.
Les chardonnays du Mesnil-sur-Oger qui dominent l’assemblage (90 %) sont complétés
par 10 % de pinots noirs provenant de Vertus. Elevé trois ans en cave, ce brut rosé est issu
de vins de réserve (30 %) et de vins de 2009 (70 %). 28 €




Pol Roger
Boire du champagne et s’écrire des mots doux, c’est l’idée qui accompagne ce Brut Réserve non millésimé, subtil et charnu. Un carnet blanc et or, inspiré de ceux des dégustateurs, vous sera offert pour tout achat d’une bouteile dans un des restaurants ou cavistes partenaires de la Maison. 35 €






G.H.MUMM
Deux flûtes accompagnent cette variation rosé du Cordon Rouge, un brut élégant aux bulles abondantes et à la mousse fine et vive, fidèle reflet du terroir et du style de la Maison. Exclusivement disponible ici. 47 €


Lanson
Si le rose est shocking, c’est parce que le romantisme n’est pas que soupirs et secrets. Derrière ce design pétillant disponible en édition limitée se cache un brut rosé à l’élégante robe cuivrée et aux notes de roses et de fruits. 36 €








Vranken
Paris et ses toits comme summum du romantisme, c’est un classique des amoureux que revisite la Maison avec une version millésimée de sa Demoiselle. Ce coffret en édition limitée Demoiselle La Parisienne 2003 est disponible en bouteille et en magnum. 49 € et 103,90 €


Moët & Chandon
Un site dédié et une application pour mobile au service d’une expérience de dégustation sur-mesure du Moët Rosé Impérial, proposé en bouteille ou en magnum, avec un stylo et des stickers pour déclarer sa flamme et personnaliser son coffret, c’est la proposition que la Maison fait aux amoureux. 50 € et 140€.







Veuve Clicquot
Semé de délicates fleurs couleurs framboise, cerise et parme, voici un bouquet graphique qui se déplie comme une corolle de pétales pour dévoiler le rosé de la Maison. Il est proposé en deux version, avec ou sans flûtes. 42 €








Pommery
La cuvée Louise 1999 est ici proposée dans un coffret en forme d’écrin, accompagnée par deux flûtes gravées à l’or et portant chacune un bijou créé par l’orfèvre d’Arthus Bertrand. Cette édition limitée n’est disponible qu’auprès du domaine, à Reims. 180 €



Vivement dimanche






Pendant que dans le monde du vin, janvier et février font l’objet de salons professionnels, dans le monde
du cinéma, c’est l’heure des prix et des tenues de soirée. Forcément, c’est toujours à Hollywood que s’ouvre le bal avec des cérémonies en forme de pronostics pour les Oscars, d’abord les Golden Globes, récompenses décernées par des journalistes étrangers, puis les Screen Actors Guild Awards, remis par l’Association professionnelle des acteurs de cinéma et de télévision. Présente à Los Angeles fin janvier pour assister à cette cérémonie dont la Maison Taittinger est partenaire depuis treize ans (voir photo ci-dessus), Vitalie Taittinger sera ce dimanche à Londres pour la cérémonie des British Academy Film Awards, l’équivalent anglais de nos Césars qui sera retransmise sur Paris Première. Pour faire vos pronostics, cliquez ici et . Pour vos invités, et l’utilité éventuelle d’un tapis rouge, on vous laisse juge. Mais pour le champagne, c’est Taittinger. A lundi.

Vignerons en développement durable

VDD {Nm. Prop.} : dix caves coopératives concernées par l’avenir de la Terre, des enfants de demain et la pérennisation du terroir et du métier de viticulteur s’unissent dans une démarche en développement durable.

Ci-dessus leur logo et leur «définition» d’origine. Ici, leur tout récent site internet qui permet de découvrir en ligne ce qui anime ce collectif de producteurs engagés de la vigne au verre dans une démarche de développement durable. Initié en 2007 par la mise en œuvre d’une charte reposant sur trente-sept engagements intégrant simultanément des problématiques économiques, sociales, sociétales et environnementales dans la gestion d’entreprise, l’élaboration et la commercialisation du vin, l’association VDD s’est officialisée en 2010 par la création de la marque et du logo certifiant le respect de la charte qui sera désormais attribué aux caves. La certification et les audits sont assurés par le groupe ICV (Institut coopératif du vin), qui fut conçu en 1946 comme un outil oenologique mutualisé au service des vignerons méditerranéens.

L’engagement VDD, qui concerne aujourd’hui 3 000 vignerons et 640 salariés et représente 20 000 hectares de vignes et 64 millions de bouteilles, permet à l’ensemble des parties prenantes de la filière vitivinicole de minimiser les impacts écologiques de leurs actions et d’offrir à chacun une meilleure qualité de vie. Il s’agit de relever les principaux défis du monde agricole : garantir la sécurité alimentaire, vivre de son métier et respecter la nature. L’association accueille constamment de nouveaux adhérents. Au dix caves coopératives* fondatrices situées dans les Pyrénées Orientales, l’Aude, en Provence, dans le Vaucluse, le Gard et la Drôme, des caves du Val de Loire et de Bourgogne sont entrées dans la démarche. Une dizaine de nouvelles caves coopératives et particulières sont en processus de conversion pour rejoindre la marque.

* Vignobles Dom Brial, Cave Jaillance, Cave La Malepère, Mont-Tauch, Les Vignerons du Mont-Ventoux, Moulin de la Roque, Caves de Razès, Sieur d’Arques, Cave de Tain, Vignerons de Caractère.

C’est une fille !






Le 25e concours du Meilleur élève sommelier en vins du Val de Loire, dont les dernières étapes se sont tenues lundi au Salon des Vins de Loire sous le parrainage de l’Union de la Sommellerie française, a récompensé Virginie Tondeur (voir photo ci-dessus), élève au Lycée hôtelier de La Rochelle. Tout comme le millier d’élèves de France
et de Belgique participants, elle a reçu une formation spécifique en vins de Loire avant d’être soumise à une épreuve écrite organisée dans son établissement. Cette première phase a permis de désigner les trois meilleurs représentants de chaque école. Lundi matin, les candidats se sont affrontés dans une demi-finale à huis-clos portant sur leurs connaissances générales des vins de Loire (appellations, histoire, géographie…). A l’issue de ce test,
les élèves des meilleures écoles, classées « Val de Loire », « hors région Val de Loire » ou « Étrangère », ont été retenus pour participer à une finale en trois étapes, ouverte au public. Décantation en cinq minutes, questionnaires avec photos sur les thèmes de la viticulture, de l’œnologie, de l’histoire, de la géographie, du service et de la culture du vin en Val de Loire et dégustations à l’aveugle des vins (recherche du cépage, de l’appellation et du millésime) ont permis à Virginie de démontrer qu’elle était la meilleure. Nous avions déjà noté le talent des filles en la matière.