Annoncé ce samedi, le géant chinois de l’agroalimentaire, Bright Food, vient de signer un accord pour prendre 70% du capital du négociant bordelais Diva Bordeaux. Le montant de la transaction n’a pas été révélé mais le rapprochement se fera par l’entrée…lire la suite
«Bordeaux fête le vin», l’expo
Quarante bouteilles géantes, pouvant mesurer jusqu’à quatre mètres de haut, c’est ce que vont découvrir les milliers de visiteurs qui viendront arpenter durant quatre jours la «route des vins» de deux kilomètres (et 80 appellations) installée le long de la Garonne pour la 8e édition de «Bordeaux fête le vin». Les œuvres françaises (23 bouteilles, toutes acquises par des entreprises bordelaises issues du monde du vin, de la culture, du tourisme, de la gastronomie et de l’évènementiel) ont été réalisées par des peintres, sculpteurs, graphistes ou designers qui ont poussé le bouchon le plus loin possible… Les autres bouteilles ont été réalisées par une seule et même artiste chinoise, Liu Tung Mui, qui rend d’ailleurs hommage, via les œuvres Mong Kok ou Victoria Harbour, à la ville de Hong Kong, invitée d’honneur cette année. Cette exposition permettra d’aider l’association «Le Pain de l’amitié» qui sert 25 000 repas à Bordeaux, sept jours sur sept, d’octobre à mai, et prépare 34 000 colis alimentaires par an pour les personnes en grande difficulté. «Les Bordelaises» seront ensuite installées jusqu’au 19 août dans le jardin public de Bordeaux et certaines d’entre elles iront à Hong Kong pour le Wine & Dine Festival 2012.
Ci-dessus, Psyché de Laurent Valéra, œuvre proposée par l’Institut Culturel Bernard Magrez.
«Bordeaux fête le vin», le partenaire
On peut s’intéresser beaucoup au vin – bien obligé, quand on possède quarante vignobles dans le monde – et aimer quand même beaucoup la musique ou l’art contemporain. Pour la 8e édition du premier événement œnotouristique français (un demi-million de visiteurs attendus) qui commence ce jeudi, Bernard Magrez donnera un bel aperçu des actions de mécénat qu’il mène, via l’Institut culturel qui porte son nom.
Samedi soir, sur la place des Quinconces, en prélude au concert de Dianne Reeves, le public aura ainsi
le privilège d’entendre le soliste Matthieu Arama jouer du Stradivarius «Château Fombrauge». Par ailleurs, dans le cadre de l’exposition «Les Bordelaises», Bernard Magrez a choisi de produire l’oeuvre Psyché de Laurent Valéra, artiste en résidence à l’Institut Culturel Bernard Magrez depuis juillet 2011.
Bleu Wine Expo : on s'inscrit !
En février prochain, le Palais du Pharo de Marseille accueillera la 4e édition de Bleu Wine Expo,
le salon professionnel des vignerons indépendants de Provence et et du sud de la vallée du Rhône.
Ce lieu de rencontre international réservé aux importateurs, détaillants, restaurateurs et autres acheteurs professionnels prendra une dimension supplémentaire en s’adossant à «Marseille Provence 2013,
Capitale Européenne de la Culture». Les inscriptions sont lancées dès à présent et, c’est une première,
les exposants peuvent s’enregistrer directement en ligne sur le nouveau site lancé par la Fédération régionale des vignerons indépendants Provence-Alpes-Côte d’Azur, qui inaugure aussi une page facebook. Simple et efficace. Moderne quoi.
Packaging, les dernières innovations
Les prix WorldStar, une initiative de l’organisation mondiale de l’emballage (World Packaging Organisation – WPO), récompensent les meilleures innovations dans l’industrie du conditionnement. Cette année, ce sont 240 candidats, tous ayant remporté des distinctions dans leur pays d’origine, qui ont..lire la suite
Dom Pérignon, David Lynch, The Kills et les fantômes du Château Marmont
Prétexte. Quatre jours à Los Angeles pour assister au lancement des nouveaux habillages et pubs de Dom-Pérignon, mis en scène et en images par David Lynch, avec The Kills dans le rôle de la cerise sur le gâteau.
Voyage. Champagne Philipponnat, Rully 08 de chez Joseph Drouhin, Baron de Brane 07 second vin du Château Brane-Cantenac, Cognac Tesseron lot n°90.
On a bu tout ça au déjeuner dans l’avion. Et pas en mignonnettes, en vrai.
Le A380 est un très gros navion avec deux ponts (ou deux étages si vous préférez). Les espaces réservés à la classe « Affaires » sont en haut, à l’étage. Comme ce n’est pas pour profiter de la vue, hein, c’est pour quoi exactement ? La fatigue et les substances ingurgitées pour dormir (voir ci-dessus) commencent à faire leur effet démultiplié par l’air comprimé de la cabine, l’esprit est en promenade, je me dis que si on met les riches en haut et les pauvres en bas, c’est soit par un vieux réflexe sociétal, une sorte de panurgisme de la symbolique, soit par calcul. Et, finalement j’ai compris. On met les pauvres en bas pour que…lire la suite
Gérard Perse raconte sa vie, euh… Pavie
En quelques minutes à peine, apprenons tout de Pavie, ses trois terroirs, ses secrets. Et Gérard profite de l’occasion pour faire une annonce épatante. À voir d’urgence
Secoué
En ce moment, au bar de l’hôtel Normandy à Deauville, on peut boire un mojidos, soit l’équivalent d’un mojito, mais préparé avec du calvados plutôt que du rhum. Le calvados en cocktail, c’est tendance et cela fait à nouveau l’objet d’un concours auquel tout un chacun peut participer ici jusqu’au 30 juin. Lors de la première édition de ce «Calvados Shake», organisé par l’Interprofession des appellations cidricoles, plus de 5 000 participants avaient joué le jeu. Cette année, il y a un voyage d’une semaine pour deux à New-York à gagner (The Big Apple, quoi de plus normal !). Le vainqueur pourra aller siroter le cocktail de son invention à l’Intercontinal Barclay, un bar new-yorkais réputé pour ses 70 références de calvados.
Hardy + Lalique
Fondée en 1863 par un gentleman londonien du nom d’Anthony Hardy (il décida de s’appeler Antoine,
une fois installé en Charente), la maison de cognac Hardy propose depuis plus de trente ans ses plus rares cognacs dans des flacons en cristal. Si sa collaboration avec la cristallerie fondée par le bijoutier-poète René Lalique s’imposait comme une évidence, il a simplement fallu attendre que vienne le bon moment. C’est aujourd’hui chose faite : la robe ambrée et l’intense richesse aromatique de la cuvée Bénédicte, exceptionnel assemblage de cognacs nés en grande champagne avant 1914 et mis en bouteille par Jacques Hardy en 1983, a désormais pour subtil écrin l’oblongue carafe Caryota dessinée par Marie-Claude Lalique en 1993. Ces deux précieux témoins d’un savoir-faire à la française et d’une idée du luxe qui ne va jamais sans pérennité font l’objet d’un coffret en série limitée à 340 exemplaires, vendu 8 000 euros par la maison Hardy (Tél. : 05 45 82 97 41).
Bettane+Desseauve avec le JDD
Les 100 bordeaux primeurs qui veulent dire quelque chose. Miss Glou Glou à l’école. Le bio de Bichot. L’interview d’Aubert de Villaine. Huit belles gueules de vignerons-gneronnes. Le vin en Chine. Ce matin, avec le JDD, le supplément Vin de Bettane+Desseauve. Une bonne raison de sortir dans la rue le dimanche.