Il faut dire qu’au rythme lent de quatre par an, on les attend toujours avec impatience. Celui-ci, En Magnum numéro 16, nous plaît autant que les précédents avec, comme chaque fois, un petit pincement supplémentaire puisque, comme chaque fois, il y a du nouveau.
Dans l’ordre d’apparition :
– La suite (et fin) du feuilleton « fake news » avec nos collègues de la RVF.
– Des photos épatantes de châteaux viticoles chinois absolument délirants.
– Il y a le portrait de Laurent Delaunay. Il fait renaître d’un long sommeil la maison de négoce familiale, Edouard Delaunay, après avoir connu un succès certain avec son négoce du Midi, Abbotts et Delaunay.
– Puis, l’interview unique, donc exclusive, de Perrine Fénal. C’est elle qui prend la place d’Henry Roch, son oncle parti trop tôt, aux côtés de notre cher Aubert de Villaine et aux commandes du Domaine de la Romanée-Conti. Le mythe absolu. En plus, Perrine est la fille de Lalou Bize-Leroy.
À nos chers lecteurs,
Ce n’est pas sans une certaine fierté que nous publions le reportage de Jean-Baptiste Ancelot et Ludovic Pollet intitulé « La Chine, nouvelle superpuissance du vin » dans le numéro d’été d’En Magnum (p18 à 23). Malheureusement nous avons crédité par erreur les photos à Brice Garcin. Les images sont de Ludovic Pollet. Toutes nos excuses aux lecteurs et aux photographes.
Photographe dont nous aimons beaucoup le travail, que nous publions parfois (notamment un portfolio dans le premier numéro d’En Magnum), Aurélien Ibanez expose jusqu’au 7 juillet une série d’images dans les salons de la maison Olivier Leflaive à Puligny-Montrachet. Proposée dans le cadre de l’édition 2019 du Mois des Climats, festival égrenant 80 manifestations de Dijon au sud de Beaune, « cette exposition est un voyage au cœur de la côte de Beaune au fil des saisons, sur les chemins qui relient entre eux les 1 247 climats du vignoble de Bourgogne. »
Aurélien Ibanez, Atmosphères de la côte de Beaune
Entrée libre, du lundi au samedi de 9 h à 19 h
Maison Olivier Leflaive. 10, place du Monument, 21190 Puligny-Montrachet
Baptisée Hennesy Paradis Impérial 2.0, la dernière-née des propositions de visites de la maison Hennessy peut s’envisager comme un beau cadeau de fête des pères, pour peu que ce dernier soit un amateur. Véritable immersion d’une durée de deux heures au cœur des chais de la maison, dont l’un des plus anciens, lieu solennel habituellement fermé au public, cette expérience débute au bord de la Charente, dans le chai des Pavillons. Là sont racontés les savoir-faire et les succès qui émaillent les 250 ans d’histoire de la maison « dans une mise en scène toute en modernité et authenticité. »
La quête du maître-assembleur
Exceptionnel, l’accès au chai dit des Fondateurs, au sein duquel « une partie des plus précieuses eaux-de-vie Hennessy traversent le temps dans des dames-jeannes », permet de découvrir l’œuvre contemporaine en photo ci-dessus. Baptisée The Quest et signée du collectif d’artistes multimedia londonien MLF (Marshmallow Laser Feast), cette installation représente une allégorie de la quête du maître-assembleur : « Fruit d’un travail minutieux de deux ans qui a mobilisé une cinquantaine de personnes, cette œuvre met en scène des centaines de cristaux acryliques, symboles des eaux-de-vie, qui réfléchissent le rayon lumineux d’un laser autour de deux modules en mouvement. Le contraste entre la technologie et ce lieu séculaire est surprenant. »
Au paradis des eaux-de-vie
Cette expérience exclusive se poursuit avec une dégustation d’eaux-de-vie afin de s’initier aux arts de la sélection et de la précision en apprenant à reconnaître « les rares élues qui feront naître les cognacs d’exception, dont Hennessy Paradis Imperial fait partie. » Seules dix eaux-de-vie sur dix mille sont jugées dignes d’entrer dans cette composition réalisée par Yann Fillioux, septième maître-assembleur de la maison. Cette visite s’achève autour des pièces les plus exceptionnelles de Hennessy, exposées dans la boutique imaginée par le designer français Benjamin Graindorge, seul endroit au monde réunissant toutes les collections de la maison.
Hennessy Paradis Impérial 2.0, uniquement sur réservation au 05 45 35 06 44.
Tarif : 300 euros par personne (à partir de deux personnes). Visite proposée en français, en anglais, en espagnol, en chinois, mais aussi en russe et en allemand d’avril à mi-novembre.
Demain, la cave de Tain lance sa saison estivale, un programme riche en balades, dégustations, soirées culturelles et rendez-vous œnologiques dont on retrouvera le détail sur le site de sa branche œnotourisme, Terres de Syrah, récemment récipiendaire d’une médaille d’argent lors de la première édition des Trophées de l’œnotourisme (catégorie “Valorisation des appellations et institutions”).
« Journée annuelle d’animations et de découvertes autour de la thématique vins & vignes », ce samedi métamorphosera de nouveau le parc de la Villa Caroube en un lieu consacré à la colline de l’Hermitage, à la nature et à la gourmandise. Cours de dégustation, ateliers pour petits et grands, balades en vieilles voitures, mais aussi food-trucks, glaces artisanales et jus de fruits frais proposés par les vignerons adhérents de la cave impliqués dans l’arboriculture attendent les visiteurs de cet Happy Air’mitage 2019 qui sera clôturé par deux concerts (Morgane Moreaux, Billet d’Humeur).
De 10 euros à mille fois plus, ces propositions issues des savoir-faire qui ont cours dans le vignoble de Cognac, celui de Bordeaux ou encore en Ecosse, sont toutes des éditions limitées
A l’occasion de la fête des pères, Glenfiddich a réuni pour la première fois l’ensemble de ses Experimental Series dans le coffret de dégustation en image ci-dessus, qui permettra à l’amateur de comparer les différents “twists” résolument contemporains que la distillerie écossaise applique à ses traditions. Cette édition numérotée et signée Brian Kinsman, le maître de chai de Glenfiddich, contient les quatre single malts de cette série à succès « dont chaque nouvelle référence devient pour les passionnés un objet de collection » : IPA Experiment (finition en fût de bière artisanale), Project XX (single malt imaginé par vingt des plus grands experts du whisky), Winter Storm (21 ans d’âge, fini dans des fûts de vin de glace canadien) et Fire & Cane (tourbé et affiné en fûts de rhum). Uniquement disponible auprès de la Maison du Whisky. Glenfiddich, Coffret Experimental Series, 449 euros
Ce flacon qui fait partie de la collection des trésors du château de Fontpinot contient un assemblage de cognacs provenant à la fois de chais humides et de chais secs, jetant ainsi un pont entre deux univers de maturation différents. Issu d’un vignoble de 240 hectares situé au cœur du cru de Grande Champagne, « ce cognac XO “brut de fût” transite directement de la barrique à la bouteille sans subir aucune transformation, son fort degré à 45,3 lui apportant de la force et de la complexité », explique Patrice Piveteau, maître de chai de la maison. Pour préserver son intégrité gustative, ce cognac n’est pas filtré à froid et « cette originalité est gage de richesse aromatique. » Cognac Frapin, 15 ans d’âge, environ 90 euros chez les cavistes
Hommage à André Hériard Dubreuil, ancien président de Louis XIII, le nouvel opus de la collection Black Pearl inaugure un format inédit (35 cl). Réalisé par la maison Baccarat, ce précieux flacon en cristal métallisé qui « attrape la lumière et révèle ses nuances d’argent, de noir et anthracite » contient un cognac unique. Provenant d’un tierçon soigneusement conservé dans la réserve familiale, au cœur du chai André Hériard Dubreuil, « marqué par une fraîcheur, une obscurité et une humidité supérieures à celles des autres chais », il a retenu l’attention du maître de chai Baptiste Loiseau en 2017. Inspirée d’une flasque trouvée sur le site de la bataille de Jarnac et acquise par Paul-Émile Rémy Martin en 1850 et dotée du même nombre de dentelles que la carafe de 70 cl, ce « concentré inédit de savoir-faire » a été édité à 1498 exemplaires. Il est disponible sur demande auprès de la conciergerie Louis XIII. Cognac Louis XIII, Black Pearl AHD, 11 000 euros
Issu du vignoble de Fronsac, ce bordeaux rosé est le dernier-né du château de La Rivière, une propriété de 65 hectares surplombant la Dordogne (et dotée d’un château aux allures de contes de fée, restauré au XIXe siècle par Viollet-le-Duc) qui a bénéficié ces derniers temps d’importants investissement de la part de son propriétaire, aussi bien à la vigne qu’au chai. « Incarnant toute la noblesse de la rive droite », cette cuvée proposée en édition limitée est un assemblage de 75 % de merlot et 25 % de cabernet-sauvignon issus de parcelles spécifiquement dédiées à l’élaboration de ce rosé de pressée : « Les grappes ont connu un éraflage complet avant d’être pressurées à froid, puis le jus est parti en fermentation alcoolique à basse température. Un élevage en cuves inox a été conduit pendant trois mois, afin de développer la précision aromatique du vin. » Côté accord, la propriété recommande, au-delà du classique apéritif, des viandes blanches, un saumon à l’unilatérale ou encore des mets asiatiques. Château de la Rivière, Le Lion de La Rivière 2018, 10 euros
Créateur d’une sculpture unique réinterprétant le centaure emblématique de Rémy Martin, l’atelier du ferronnier d’art Steaven Richards signe également l’édition limitée de son XO proposée par cette maison de cognac fondée en 1724 et restée « fidèle à la distillation sur lies, dans des alambics en cuivre », aujourd’hui perpétuée par Baptiste Loiseau, son maître de chai. Formé à l’école de la ferronnerie d’art traditionnelle, Steaven Richard travaille à cette passion depuis plus de vingt ans. Son atelier installé à quelques kilomètres de Paris en 2001 est labellisé Entreprise du patrimoine vivant, comme Rémy Martin. Sa méthode de mise en relief du laiton donne un nouveau reflet à l’iconique carafe de la maison. Cognac Rémy Martin, Rémy Martin XO x Steaven Richard,
disponible dans les boutiques Rémy Martin (à Cognac et Merpins) Steaven Richard et Antoine Lasnier, dans l’atelier du premier, lieu de la fusionnelle collaboration avec la maison Rémy Martin.
Enfoncé, le Garrus du Château d’Esclans. Dépassé, Sacha Lichine et son rosé le plus cher du monde. Voilà que Gérard Bertrand, fort de sa volonté de mettre en avant de grands terroirs du Languedoc, présente le Clos du Temple. Huit hectares, cinq cépages et, à terme, une production d’un peu moins de 25 000 bouteilles. Ce premier millésime n’en propose que 5 000.
Le prix ? 190 euros la bouteille de 75 cl, comme son Clos d’Ora. Plus de deux fois plus que le Garrus de Lichine. Le marché jugera. Si les deux sont d’excellents rosés, on s’y attendait, celui du Clos du Temple a le mérite d’être léger en sulfite alors que le Garrus tape fort, la barre sur le front dès le deuxième verre.
Gérard Bertrand, authentique passionné, a longuement réfléchi à
Jean-Philippe Madale vinifie avec talent son domaine familial de 17 hectares. Ses deux rouges sont une grande réussite en 2018 et ils incarnent comme nul autre en Languedoc la notion de vin de copains.
Les sols argilo-calcaires et plus encore les sols de schiste de Saint-Chinian permettent des vins particulièrement aromatiques et gourmands. Le clos la Rivière est une de nos adresses préférées dans cette appellation dès que l’on pense vins de soif. Au sommet de la gamme, la cuvée qui porte le nom du domaine, le clos-de-la-rivière, essentiellement à base de syrah est délicieuse mais l’entrée de gamme, les Schistes de Paul, du nom du grand père qui a planté les vignes est notre coup de cœur. Le rosé leur emboîte leur pas et les blancs ne sont pas à la traîne. Millésime après millésime, ces schistes de Paul sont l’archétype du vin de soif, facile à boire, à base de syrah et de grenache. Sa rondeur fruitée plaira à tous, on ne comprendra que trop tard pourquoi le niveau de la bouteille a aussi vite baissé. Ce n’est certes pas le vin le plus ambitieux du Languedoc mais à 6 euros départ cave on ne sait pas quel meilleur rapport qualité-prix vous recommander.
Le vin : Clos La Rivière, saint-chinian Les schistes de Paul, rouge 2018
Le prix : 6 euros TTC
Les coordonnées : 04 67 77 56 99 Email : [email protected] Toutes les infos sur ce domaine sont à retrouver dans l’appli Le Grand Tasting.
Cette année, on célèbre le 200e anniversaire de la naissance de Madame Pommery et dans les caves souterraines de la maison qu’elle a menée avec un tel succès, notamment en lançant le premier champagne brut millésimé (1874), l’amateur est désormais libre d’aller à son rythme pour s’imprégner de la longue histoire des lieux. Au sein de ces crayères gallo-romaines acquises en 1868 afin de servir de caves aux millions de bouteilles que produit désormais Pommery (le chantier durera 10 ans), l’application gratuite tout juste lancée par la maison (App Store et Google Play) fait office de guide.
Champagne éternelle et contemporaine
A trente mètres sous terre, au fil des kilomètres de galeries du domaine Pommery, dont certaines sont devenues ces dernières années un musée d’art contemporain, ou dans ses bâtiments de style élisabéthain où leur sera dévoilé « chaque aspect du processus de vinification », les visiteurs connectés ont droit à une expérience Pommery complète, flûte de champagne comprise s’ils le souhaitent. Ces visites libres sont proposées tous les jours de l’année, à l’exception du 25 décembre et des 1er et 2 janvier, de 10 h à 19 h. Tarif : à partir de 20 euros, plus de renseignements au 03 26 62 56.
David Large avait sorti le Combi pour déguster et grignoter au milieu des vignes
Le week-end du 8 et 9 juin, InterBeaujolais a lancé les premières festivités de la Beaujonomie, un concept qui associe les vins du Beaujolais et la gastronomie de façon décontractée
Dans sa reconquête du cœur des consommateurs, le Beaujolais mise sur la table, en mettant en avant le caractère simple et décontracté de la région. Cap sur plusieurs crus qui invitaient le public à célébrer ses vins. Saint-Amour recevait sur la place qui se trouve devant le restaurant Joséphine à Table, une excellente adresse (voir En Magnum n° 16, en vente chez votre marchand de journaux). Les vins étaient fruités et accompagnaient une délicieuse épaule fondante.
Puis direction Chiroubles pour un parcours oenotouristique avec des vues à couper le souffle. L’occasion de goûter un prometteur 2018 du domaine de la Grosse Pierre, où Pauline Passot est désormais aux commandes. On enchaîne avec les appellations brouilly et côte-de-brouilly qui nous attendent sur le mont Brouilly. Là, on déguste des 2016 et des 2017, avec l’incontournable château Thivin et le jeune Guillaume Dumontet qui ne se fait pas seulement remarquer par ses étiquettes jaunes.
A Fleurie, dîner dans la cuverie du château de Poncié
Le soir, c’est Joseph Bouchard qui nous accueille au château de Poncié, propriété de la maison Henriot. Un domaine magnifique qui était la belle endormie de Fleurie. L’énergique Joseph Bouchard a eu pour mission depuis dix ans de le relancer. Un gros travail qualitatif a été effectué sur les 35 hectares de vignes. La certification bio est en cours. Les vins révèlent déjà leur potentiel et vont monter en puissance.
C’est sur une table dressée dans la cuverie que l’on partage l’incontournable pâté en croûte du chef de l’Auberge du Cep. Un moment sympathique, comme celui que l’on passera le lendemain avec les vignerons David Large et Jean-Luc Longère dans les terroirs de beaujolais-villages plus au sud. Leurs vins prouvent avec éclat que le Beaujolais ce n’est pas que dix crus. Le renouveau de la qualité passe aussi par les appellations régionales.
Tout n’est pas encore parfait dans le Beaujolais. Au cours de nos dégustations, on a croisé trop de vins vendus comme « naturels » ou « sans soufre » alors qu’ils ne sont même pas bio. Certains mettent la charrue du marketing avant les bœufs de la viticulture. Mais il est clair que si les Français s’étaient mis à bouder le beaujolais nouveau, ils vont vouloir du beaujolais renouveau. Celui de ces viticulteurs et maisons qui ont décidé de prendre leur destin en main. Ne reste plus qu’à leur tendre la vôtre.
Voir le vignoble du Château de Poncié revivre donne le sourire à Joseph Bouchard
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