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Bateaux de la liberté et vins blancs bordelais, les réservations sont ouvertes

Grands voiliers à quai, animations nautiques sur la Garonne, survol par la Patrouille de France en ouverture et spectacles pyrotechniques signés par le Groupe F, Bordeaux célébrera son fleuve du 20 au 23 juin prochains, mais la billetterie est d’ores et déjà accessible ici. Evidemment, des cabanes gastronomique à la toute première fête des vins blancs de Bordeaux, à laquelle participeront 19 appellations, en passant par le parcours de dégustation installé au cœur du jardin botanique, la production viticole sera à l’honneur lors de cet événement qui déclinera le thème de la liberté et accueillera des installations artistiques, des entretiens, des concerts gratuits et de multiples expositions. Le site consacré à l’édition 2019 de Bordeaux fête le fleuve et à ses bateaux est à découvrir .

Champagne ? Bordeaux ? Scotch ? Six couleurs pour dimanche

Noir
La chic et champêtre proposition de Gosset pour cette fête des mères 2019 assortit la cuvée Grand Rosé de la maison d’un sac isotherme doté de compartiments permettant de transporter bouteilles, flûtes et déjeuner (sur l’herbe). Assemblage de 50 % de chardonnay et 50 % de pinot noir (dont 8 % de vins rouges de Bouzy et d’Ambonnay), ce champagne élaboré en hommage à Suzanne Gosset peut se déguster en début de repas (foie gras, saumon) comme accompagner – « à merveille », dit la maison – une viande blanche ou de la volaille. Pour le dessert, jouez fruité (fraises en sabayon, salade de fruits exotiques).
Champagne Gosset, Grand Rosé et sa mallette, 55 euros environ

Blanc
Cuvée emblématique de la maison Henriot qui se veut être le témoin de sa « virtuosité » dans le travail des premiers et grands crus de chardonnay, ce champagne blanc de blancs a passé près de cinq années dans l’obscurité et la fraîcheur des caves de la maison rémoise, sous l’œil attentif de son chef de cave, Laurent Fresnet. Doté d’un nouvel habillage, ce flacon « s’accordera à merveille avec des crustacés tels une nage de homard à la citronnelle. » Parfait présent, ce blanc de blancs est également disponible dans un coffret découverte du style Henriot au côté du brut rosé et du brut Souverain (140 euros).


Champagne Henriot, Blanc de blancs, environ 43,50 euros

Bleu
Assemblage de chardonnay (35 %), de pinot noir (20 %) et de meunier (45 %) dosé à neuf grammes par litres, ce champagne brut sans année vient d’être « réenchanté » par la maison qui l’élabore, Besserat de Bellefon. Rebaptisé Bleu Brut, il a été doté d’un habillage jouant avec les codes de la marinière et du bord de mer. La maison célèbre ici une longue histoire, sa naissance au bord de l’eau à Aÿ en 1843, mais aussi « le vent des années folles » et « le souffle de liberté du Saint-Tropez des sixties. » Un hommage à l’intemporel esprit frenchy à déguster, pourquoi pas, jean retroussé et les pieds dans l’eau.
Champagne Besserat de Bellefon, Bleu Brut, environ 46 euros

Rose
Ce champagne brut rosé de la maison Pommery est ici proposé dans une édition limitée rendant hommage à la belle et printanière tradition japonaise du Hanami (qui signifie “regarder les fleurs“) consistant à admirer la délicate floraison des cerisiers japonais (sakura). Une saison miraculeuse ici associée à une autre délicatesse, celle d’un champagne rosé « aux notes subtiles de petits fruits rouges égayé par un une belle fraîcheur. » Disponible au domaine Pommery à Reims (tél. : 03 26 61 62 63).
Champagne Pommery, Brut rosé Royal, environ 45 euros

Ocre
Quatrième édition d’une collection exclusive baptisée Bond House n°1, ce single malt au « remarquable accent de prune » rend hommage aux pionniers de l’affinage en fûts de bois, ou wood finish, de la distillerie écossaise Glenmorangie. Elaboré par le Dr Bill Lumsden, le multi-récompensé maître distillateur de la maison, cet assemblage de deux whiskies de 1991 aux caractère opposés – vieillis dans des fûts de bourbon pendant plus d’une décennie, puis dans des fûts de sherry Oloroso pour l’un et de vins de Bourgogne pour l’autre – auquel a été ajouté « une once de whisky vieilli dans des fûts de chêne grillé » est une échappée belle hors de la tradition, au cœur de l’exception.
Glenmorangie, Grand Vintage Malt 1991, environ 670 euros

Rouge
Aurore est l’une des deux cuvées parcellaires proposées par le château Dauzac, grand cru classé de Margaux (l’autre s’appelle Labastide). Elle est issue de vignes « situées sur une veine géologique spécifique où les graves sont fines et sableuses », ce qui favorise l’expression du cabernet-sauvignon, ici associé au merlot (respectivement 55 % et 45 % de l’assemblage). Ce vin que la propriété considère idéal pour les beaux jours, accordé à une belle viande rouge, a été élevé douze mois en fûts de chêne et « la souplesse de ses tannins lui apporte une touche de gourmandise dès les premières années. »
Château Dauzac, Aurore de Dauzac 2016 (margaux), environ 19 euros

Une parcelle faite pour le blanc

Certes, cette appellation de la côte de Beaune située au pied de la colline de Corton produit plutôt du rouge (75 %). Mais difficile d’imaginer jour plus parfait que ce Chardonnay Day pour découvrir ou faire découvrir la version blanche de la discrète AOC ladoix, par exemple avec ce vin signé par le domaine Faiveley, maison familiale fondée en 1825 à Nuits-Saint-Georges qui possède plus de 120 hectare de vignes sur différents terroirs bourguignons (dont douze grands crus et vingt-cinq premiers crus). Acquise en 1995, la parcelle dont est issue cette cuvée était à l’origine plantée en pinot noir. Mais ce terroir de marnes et de calcaires s’est très vite révélé propice aux vins blancs.

En 2013, après des essais concluants (menés dès 2007 par Jérôme Flous, le directeur technique de la maison), Erwan Faiveley décide de replanter en chardonnay ces trois hectares étendus sur trois lieux-dits, notamment “les Marnées” et “La Blancharde”. C’est à ce jour la plantation la plus importante réalisée par les équipes du domaine et, « après quatre années de patience et de soins apportés à cette jeune vigne », ce millésime 2017 tout juste mis en vente est le premier à venir démontrer la qualité de ce terroir (le 2018, en cours d’élevage, viendra le confirmer). Si son potentiel de garde est de quatre à six ans, ce vin peut être dégusté dès maintenant à une température située entre 12 et 14°. Côté accords, la maison conseille un plateau de fruits de mer, une truite aux amandes ou encore du fromage de chèvre.

Domaine Faivelay, ladoix blanc 2017, environ 25 euros (prix départ cave)

De Chablis à Mâcon-Chaintré, célébrons le chardonnay

Comme chaque année depuis le lancement en 2010 de cette journée spéciale consacrée au cépage chardonnay, le bureau interprofessionnel des vins de Bourgogne (BIVB) invite ses amateurs à le faire savoir sur les réseaux sociaux et à contribuer, grâce à leurs publications, à faire « comprendre et apprécier » d’un public toujours plus large les appellations blanches du vignoble bourguignon, « les plus connues ou les plus discrètes, de Chablis à Mâcon-Chaintré. »

Un duo de hashtags (#Chardonnay et #Bourgogne) suffira à se faire repérer. Mais on peut également partager son Chardonnay Day en utilisant l’outil de personnalisation proposé ici par le BIVB. Il permet de prendre une photo et de l’augmenter de quelques éléments graphiques avant de la poster. Cette journée du 23 mai sera également l’occasion de découvrir (et partager) de nombreux contenus qui seront publiés sur les différents réseaux sociaux des vins de Bourgogne.

Pépites pour passionnés

Demain et samedi 25 mai, des vignerons passionnés, chouchous des experts Bettane+Desseauve, iront à la rencontre des amateurs parisiens pour leur faire découvrir leurs pépites. Ce sera l’occasion de présenter le tout nouveau Club du Grand Tasting by iDealwine.

C’est quoi le Club du Grand Tasting by iDealwine ?
 Ce sont les vins qui nous font rêver…
« Chez Bettane+Desseauve, on chérit les grands crus universels mais il y a une seconde catégorie de vins qui nous font rêver : des 
flacons d’exception réalisés par des artisans inspirés. Ces vins, parfois inconnus, sont des détails de l’excellence viticole, des pépites dont l’une des caractéristiques malencontreuses est d’être difficiles d’accès. Ces vins nous ont donné envie de créer un lien entre ces producteurs talentueux et les amateurs exigeants. C’est le Club du Grand Tasting by iDealwine. »

…proposés au meilleur prix aux membres du Club
« L’objectif de ce club est de faire émerger des expressions originales et brillantes de l’univers viticole contemporain. Cette volonté, nous la partageons avec nos amis d’iDealwine, dont nous apprécions depuis longtemps la qualité et l’exigence de leur travail. Pour créer ce club, associer l’expertise commerciale et logistique d’iDealwine à notre quête du détail est vite apparu comme le meilleur moyen d’assurer aux membres du Club de profiter au mieux de ses avantages. », explique Thierry Desseauve.

Le Club du Grand Tasting by iDealwine au Carreau du Temple
Pendant les deux jours du Grand Tasting de Printemps, un espace sera réservé au Club. Vous pourrez vous inscrire et déguster la première cuvée coup de cœur de Thierry Desseauve : Orphée du Domaine des Poëte, « la plus belle expression de reuilly ».

Comment ça marche ?
L’inscription est gratuite. Chaque mois, les adhérents bénéficieront d’une offre spéciale sur un coup de cœur de Bettane+Desseauve, proposé au meilleur prix.

La page du Club :
https://www.idealwine.com/fr/LeClubDuGrandTasting.jsp
S’inscrire afin de ne rater aucune offre :
https://www.idealwine.com/fr/devenez_membre/user_registration.jsp?gt=le-club-le-grand-tasting

 

Les vignerons ardéchois visent la haute valeur environnementale

Avec la mise en place de la charte environnementale « Ardèche par nature » dont nous vous avions parlé dans le détail ici, les viticulteurs regroupés au sein de la structure Vignerons Ardéchois ont résolument ancré leur territoire dans une démarche de protection de l’environnement et des terroirs. Vingt-cinq vignerons s’étaient alors engagés à respecter et protéger l’eau, l’air, la faune et la flore et à mener leurs vignes de manière raisonnée. Considérant l’aspect environnemental du métier comme une priorité et la viticulture durable « d’une importance capitale pour les générations futures », cette importante union de viticulteurs accompagne également les domaines dans leur conversion aux pratiques bio, par des moyens financiers, humains, et matériels.

Aujourd’hui, c’est dans le cadre d’une démarche globale et commune que ces vignerons souhaitent répondre aux critères exigés par les pouvoirs publics afin que la quasi totalité de leurs surfaces soient labellisées Haute Valeur Environnementale (HVE) en 2025. Rappelons que ce dispositif issu du Grenelle de l’Environnement (2007) a pour but d’identifier et de valoriser les bonnes pratiques agricoles via un référentiel qui est une évaluation et non un cahier des charges restrictif ou exclusif. Quatre thèmes sont concernés, la biodiversité, la gestion phytosanitaire, les gestion des engrais et les gestion des ressources en eau. A l’horizon 2020, soixante vignerons devraient obtenir la certification HVE (niveau 3), dont les vingt-cinq engagés dans la démarche Ardèche Par Nature. 


DWWA 2019, la France au sommet

La liste complète des résultats de l’édition 2019 des Decanter World Wine Awards, compétition viticole d’envergure internationale lancée en 2004, sera connue mardi 28 mai, mais l’on sait déjà que la France s’est fait largement remarquer auprès du jury constitué d’un panel de plus de 280 juges venus de 30 pays (dont 70 Masters of Wine et 23 maîtres sommeliers). Les vins étant évalués en fonction de leur origine, ces derniers connaissent « les pays, régions, sous-régions, cépages, millésimes et tranches de prix » de chaque bouteille inscrite, il y en avait 17 000 cette année, issus de 57 pays (tous les critères d’évaluation et le système de notation sont détaillés ici). Pour ce qui concerne notre production hexagonale, « la France a encore une fois dominé le concours avec des vins d’une qualité exceptionnelle. »

Durant une semaine, les experts en charge de la dégustation ont débattu des mérites respectifs des vins présentés et parmi les cinquante étiquettes qui ont reçu cette année le titre convoité de Best in Show, treize sont issus du vignoble français, dont quatre de Bourgogne (Château de Meursault, Les Charmes Dessus 2017 et Clos des Epenots 2017 ; Christian Moreau Père et Fils, Le Clos 2017 ; Domaine de la Vougeraie 2016). Présidente du jury en charge de cette région, Jeannie Cho-Lee (Master of Wine) a déclaré à propos de ces succès bourguignons : « La région a connu une nette amélioration cette année. Les blancs sont vifs, sensationnels et délicieux. Des vins étonnants issus de villages ont reçu des médailles d’or, ce que l’on s’attend à voir habituellement dans de plus grandes régions. »

Grandes maisons ou petits producteurs, la Champagne a également brillé en récoltant quinze médailles d’or lors de cette seizième édition (qui en attribué 480 en tout) et la Provence a reçu un Best in Show grâce au bandol rosé du domaine La Suffrene dans le millésime 2018. Les vignobles de Bordeaux, d’Alsace et du Languedoc ont également gagné un prix dans cette catégorie et les deux dernières régions ont accumulé les médailles de platine (huit en tout), distinction accordée à 148 vins dans le monde. 

Avec Normale Sup, les grandes écoles dégustent

photo : Florian Léger

Quatrième édition, quatrième succès pour la Coupe Ès-SENS, qui a eu lieu le 6 mai dans le somptueux décor du Château de Ferrières (77). Par Julia Wang, dégustatrice Bettane+Desseauve

Cette compétition étudiante, organisée par le club œnophile de l’École Normale Supérieure, reste à ce jour unique en son genre, puisqu’aux traditionnelles dégustations à l’aveugle et questions théoriques, elle ajoute une dimension gastronomique, couplant systématiquement les mets et les vins dans une fête des sens placée sous le signe de l’art de vivre et de l’hédonisme.

Michel Bettane, président du jury et Manuel Peyrondet, meilleur sommelier de France et fondateur du club Chais d’œuvre. © Florian Léger

Sous l’œil attentif et bienveillant de Michel Bettane, président du jury, et du meilleur sommelier de France Manuel Peyrondet, parrain du concours, douze équipes d’étudiants français, britanniques et américains se sont affrontées autour d’épreuves exigeantes d’analyse gustative, d’accords mets-vins et de culture générale.

Dans l’assiette ont défilé les fromages de la maison Androuet, les charcuteries d’Hugo Desnoyer et un filet de bar cuisiné au beurre d’abricot par Patrick Juhel, Meilleur Ouvrier de France et chef au restaurant du Château de Ferrières.

Les vins n’ont pas déparé, en variété comme en qualité : riesling d’Agathe Bursin, chenin de Jacky Blot, vin jaune de Stéphane Tissot, morgon de Marcel Lapierre, puligny-montrachet premier cru de Faiveley, bandol blanc de Pibarnon, avec en prime quelques whiskies de la distillerie Dalmore.

Bravo à l’EM Lyon et à l’ESSEC

L’EM Lyon s’est une fois de plus illustrée en finale en proposant un joli accord méditerranéen rosé-poisson, tandis que l’ESSEC s’est imposé avec l’épreuve théorique. En plus de nombreux lots, les candidats ont profité d’un cocktail au champagne, d’un concert de musique de chambre, d’un déjeuner gastronomique et de conférences-dégustations.

Lalique, l’art et le vin sont à La Cité du vin

Silvio Denz, président-directeur général de Lalique Group et propriétaire d’Art et Terroir, sera demain à La Cité du vin (Bordeaux)

Dans le cadre de l’exposition Renversant ! Quand art et design s’emparent du verre visible jusqu’au 30 juin à La Cité du vin (nous vous en avions parlé dans le détail ici), les amateurs pourront rencontrer demain soir un très grand amateur, qui fut collectionneur des œuvres de Lalique avant d’acquérir la cristallerie en 2008. Président-directeur général d’une maison désormais nommée Lalique Group qui déploie ses talents et sa vision dans l’univers des bijoux, des parfums, des objets décoratifs et de la décoration d’intérieur et au sein des deux hôtels étoilés ouverts en 2015 et 2018 en Alsace et à Sauternes, Silvio Denz est également propriétaire de différents domaines dans le Bordelais (Château Lafaurie-Peyraguey, Château Faugères, Château Péby Faugères, Château Rocheyron, Château Cap de Faugères) et en Italie, regroupés au sein de la société Art & Terroir. Le grand entretien qui se tiendra ce mercredi à 19 h à l’auditorium Thomas Jefferson sera animé par le journaliste Jérôme Baudouin (La Revue du vin de France). L’événement est gratuit, ce qui n’empêche pas de réserver son billet ici.



Recherche et enseignement autour de la consommation responsable

« Quelles sont les conditions propices à la consommation responsable de vin au sein d’une société ? Comment encourager les bons comportements pour éviter les mauvais usages du produit et les risques associés ? » Ces questions seront au cœur de la mission de la chaire de recherche et d’enseignement qui vient d’être créée par Vin & Société et la Kedge Business School.

Avec pour objectif d’analyser le rôle de l’éducation et de l’information sur la consommation responsable de vin, cette nouvelle chaire dirigée par le professeur d’économie Olivier Gergaud associera des chercheurs internationaux de premier plan et travaillera en toute indépendance sur la base des axes de recherche et d’enseignement définis par son comité de pilotage : « La Chaire de recherche et d’enseignement dédiée à la consommation responsable a pour vocation de nourrir la réflexion et les choix de la filière vitivinicole en matière d’action de prévention. »

Ecole dispensant des formations en management pour étudiants et professionnels sur quatre campus en France (Paris, Bordeaux, Marseille, Toulon), deux en Chine (Shanghai, Suzhou) et un à Dakar, au Sénégal, Kedge propose également plusieurs formations spécifiques dans le domaine du management des vins et des spiritueux (niveau master). Par le biais de cette chaire et de sa mission d’éducation qui s’étalera sur trois ans avec une dotation annuelle de 86 000 euros, elle souhaite « s’engager auprès de la filière pour sensibiliser les futurs managers des entreprises françaises à la consommation responsable. »

L’organisme Vin & Société, au nom des 500 000 acteurs de la vigne et du vin *, travaille quant à lui à une « révolution de la prévention » à travers deux grands axes (responsabilité dans la consommation de vin et protection des populations à risque) pour lesquels 2 millions d’euros vont être engagés d’ici à 2022.


* Vin & Société représente la filière viti-vinicole française (production et négoce) à travers ses membres : 21 organisations interprofessionnelles régionales et 7 organisations professionnelles nationales. La filière vitivinicole emploie plus de 558 000 personnes réparties sur les deux tiers du territoire français. C’est le deuxième secteur d’exportation français avec 8,7 milliards d’euros, derrière l’aéronautique et devant les cosmétiques. Il compte 87 000 exploitations viticoles, 1 500 coopératives, négociants, vinificateurs et maisons de négoce qui contribuent activement à l’activité économique de 66 départements et qui attirent 10 millions d’oenotouristes par an dont 42 % d’étrangers. La France, avec 750 000 hectares de vignes, produit près de 16 % du vin de la planète.