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La génération Y et le vin


Quelles relations les 18-30 ans ont avec le vin ? S’y intéressent-ils ? Le connaissent-ils ? Qu’en pensent-ils ? Voilà quelques-unes des questions qui seront abordées le jeudi 16 novembre à 19 heures à la Maison des Métallos (Paris 11e) lors du laboratoire d’idées organisé par Vin & Société (structure qui fédère et représente les 500 000 acteurs de la vigne et du vin en France) en partenariat avec La Revue du vin de France. Continuité d’une réflexion entamée l’automne dernier lors de Vinocamp Paris* autour du thème “La Génération Y sur les routes du vin”, ce lab’ vin a pour projet d’explorer « en toute liberté, d’année en année, les relations et les représentations que les 18-30 ans entretiennent avec le vin. »

Pour cette première édition, Vin & Société s’est associée à l’école de commerce Moda Domani Institute (Groupe ISG), spécialisée dans les mondes du luxe, de la mode et du design. Via le réseau social Instagram, les étudiants de 2e année se sont penchés sur le rapport de la génération Y au vin et ont produit des cahiers de tendances à l’issue d’un workshop d’une semaine auquel ont notamment collaboré Denis Saverot (La Revue du vin de France), Eric Briones (Darkplanneur), Arnaud Daphy (Vinocamp) et Ophélie Neiman (Le Monde). La présentation du travail des lauréats sera étayée par les conclusions de l’étude menée par le Crédoc sur les habitudes de consommation des jeunes Français âgés de 18 à 30 ans, introduites par Thierry Mathé, chargé d’études et de recherches. Cet événement est accessible sur inscription par mail, dans la limite des places disponibles. Plus de renseignements ici.

« Les conclusions de l’étude Crédoc nous enseignent que les jeunes de 18 à 30 ans ont une consommation occasionnelle. Ils boivent moins, moins souvent, et privilégient de nouvelles formes de repas. Cette génération se distingue par sa mesure, ce qui est une bonne chose. Dans le même temps, elle nous montre aussi que malgré son attachement au modèle alimentaire français, elle ne saisit peut-être pas toute la dimension culturelle du vin », explique Krystel Lepresle, déléguée générale de Vin & Société. Quant au résultat du travail effectué par les étudiants du Moda Domani Institute, elle le qualifie de « tout à fait surprenant» pour les professionnels du vin. « C’est ce que nous examinerons tous ensemble le 16 novembre. Avec le laboratoire d’idées, Vin & Société (…) est résolument engagée dans une réflexion à long terme qui est celle de la transmission d’un patrimoine culturel vivant. »

* Le Vinocamp est un événement saisonnier et itinérant créé en 2010 qui réunit les professionnels du vin et les passionnés (plus de 2 000 fidèles, participants et contributeurs réguliers) pour échanger sur l’impact du digital et des nouvelles technologies sur la filière vin.

Blaye au comptoir, c’est ce soir

Aujourd’hui et demain, la 22e édition du rendez-vous annuel organisé par les vignerons de l’appellation blaye-côtes-de-bordeaux à l’intention des amateurs parisiens se déroulera dans différents restaurants, bars à vins et cavistes de la capitale. S’il fallait une preuve du succès renouvelé de cet événement porté par la présence d’une quarantaine de vignerons proposant de découvrir leurs vins autour d’un verre de dégustation offert, elle réside dans la participation de nouveaux établissements chaque année.

Pour cette session 2017, les bars à vins Ô Château et Ô Comptoir du Sud-Ouest, les cavistes Au Bon Vingt et Au Cellier d’Alésia ou encore les restaurants Louis Caisse et La Bonne Franquette rejoignent les partenaires historiques de “Blaye au comptoir” accueillant chaque année les vignerons de l’AOC.

Emilie Paulhiac, responsable de la communication pour l’appellation précise que l’objectif est bien de proposer une liste variée pour correspondre à des envies et des modes de consommation différents : « Nous allions la tradition, avec des adresses bien connues des Parisiens, et la nouveauté, avec des établissements en vogue. » Cliquez ici pour découvrir l’adresse qui vous va.

Gelée noire et cuvée spéciale


Nous reproduisons ci-dessous l’histoire de la gelée noire venue abîmer la récolte du château de Sériège (Hérault), racontée par les propriétaires de ce domaine languedocien situé à la croisée des appellations saint-chinian et minervois. Un drame viticole qui a donné naissance à une cuvée solidaire que vous pouvez commander dès à présent (voir ci-dessous).

« Et pourtant tout avait très bien commencé ! Un vignoble renouvelé et en pleine santé, de belles grappes en perspective. Une cave avec un nouveau pressoir, quelques barriques pour l’élevage du millésime 2015 et un millésime 2016 plein de promesses. Un château rénové après plus de 130 ans d’abandon qui accueille ses premières réceptions. Et puis, la nature en a décidé autrement. Le 20 avril 2017, au lever du soleil, alors que la vigne venait de laisser paraître les premières grappes en devenir, une gelée noire, d’une ampleur exceptionnelle, est venue recouvrir la quasi totalité du vignoble du château de Sériège, grillant littéralement l’ensemble de la végétation sur plus de 70 hectares.

En quelques heures, les sarments, les feuilles et les grappes se desséchèrent, offrant un paysage irréel digne d’un mois de novembre. Nous avons perdu ce jour-là les trois quarts de notre production annuelle et bien que n’étant pas les seuls, nous avons été les plus touchés du Languedoc en nombre d’hectares d’un seul tenant. L’assurance gel (très onéreuse) n’étant pas souscrite, sur un domaine où la dernière gelée remontait à 1991, c’est à la fois une catastrophe naturelle, mais également économique et financière qui s’abat sur notre entreprise viticole familiale et nous touche de plein fouet. Il nous faudra trois années avant de retrouver un équilibre. Trois années pendant lesquelles, nous devrons continuer à prendre soin de celle qui nous passionne, nous étonne, nous donne tant de joie au quotidien : la vigne.

Aujourd’hui, place aux solutions. La logique financière étant implacable, nous avons besoin de financements pour faire face à cette situation. Pour soutenir le château de Sériège, nous vous proposons d’acheter en primeur une cuvée solidaire issue de la récolte 2017, millésime particulièrement faible en volume, mais finalement exceptionnel par sa concentration. Elle sera pour vous une occasion unique de nous aider, tout en vous faisant plaisir. Nous vous remercions d’avance de votre solidarité, votre soutien et votre fidélité qui nous permettront, tels des cavaliers, de nous remettre le pied à l’étrier, et de continuer ce beau métier de vigneron. »

Cliquez ici pour commander en primeur cette cuvée de rouge issue d’un assemblage des meilleures cuves du domaine et d’une chaîne de solidarité de la filière : barriques Radoux offertes par le négociant Jeff Carrel (Narbonne), étiquettes offertes par l’imprimerie Poly-Imprim (Cognac), prix solidaires pratiqués sur les bouchons par Laurent Vives Œnologie et sur les bouteilles par le distributeur Tout’œno (Narbonne) et enfin élevage en barriques pendant un an financé par un mécène. Baptisée Les Cavaliers 2017, en référence au nom donné aux saints de glace du mois d’avril en Languedoc, cette édition limitée proposée en bouteille, magnum et mathusalem (flacon de six litres, c’est à dire l’équivalent de quatre magnums ou huit bouteilles) sera mise à disposition au château ou à Paris début décembre 2018.

Vieux millésimes de bordeaux

Basé sur un stock de trois millions de bouteilles achetées directement aux propriétés et gardées dans des conditions optimales, le site de vente en ligne exclusivement dédié aux vins de Bordeaux lancé à l’automne 2016 par Philippe Castéja, président de la maison de négoce Borie-Manoux, organise pour les fêtes de fin d’année une vente de flacons d’exception qui démarre la semaine prochaine. Amateurs et collectionneurs de vins rares et anciens découvriront ici une sélection de près de cent étiquettes, dans différents formats (bouteille, magnum et jéroboam), au rang desquelles figurent les premiers grands crus classés en 1855, les premiers grands crus classés de Saint-Emilion et des icônes du genre Petrus.

Les millésimes disponibles vont de de 1937 (Château Montrose, 1 200 euros la bouteille) aux années 2000 (Château Mouton Rotschild, 21 000 euros le jéroboam). Ces trésors seront proposés par La Grande cave, en quantité limitée, à partir de lundi et les expéditions débuteront mi-décembre. Propriétaire d’une dizaine de domaines, dont trois grands crus classés (châteaux Batailley, Lynch-Moussas et Trotte Vieille), et de trois maisons de négoce établies il y a plus de 150 ans, la famille Castéja entend déployer un peu plus son expertise du terroir bordelais et sa volonté « d’être au plus près des consommateurs et d’appréhender au mieux leurs besoins » avec l’ouverture en 2018 d’une boutique à Pauillac.

Viticulture responsable d’Occitanie

D’après les estimations du ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation*, plus de mille exploitations françaises seront certifiées “Haute Valeur Environnementale” (HVE) au 1er janvier 2018 au terme d’un exigeant processus en trois niveaux en faveur de la biodiversité (aménagements visant à protéger la faune auxiliaire et les paysages agricoles), de la protection des cultures (enherbement, travail du sol, fréquence de traitement, etc.) et d’une meilleure gestion de la fertilisation, de l’irrigation et des intrants.

Face à la demande croissante de la distribution et des consommateurs pour des vins qui répondent à ces exigences **, l’interprofession des vins d’IGP pays-d’oc (Inter Oc) et la fédération des Vignerons indépendants d’Occitanie (au nombre de 4 000) se sont associées pour proposer un programme de “formation à la HVE” dont l’objectif est de faciliter l’engagement des professionnels de la filière dans ce processus. Dès aujourd’hui et jusqu’au 13 décembre, dans l’Aude, l’Hérault et les Pyrénées-Orientales, les démarches exigées par ce label public créé en 2011 seront détaillées au fil de différentes sessions.

« La compréhension et la traduction, par un formateur, de ces indicateurs de performance environnementale peuvent éviter certains écueils comme la confusion entre les niveaux de la certification environnementale ou l’attente de résultats économiques immédiats », explique Linda Filone, responsable RSE chez Inter Oc, syndicat engagé dès 2009 dans une démarche de responsabilité sociétale des entreprises. Cette formation permettra aussi aux vignerons qui atteindront ensuite le niveau d’excellence HVE de mieux communiquer sur leurs pratiques auprès du grand public.
 
* Au 1er janvier 2017, 503 entreprises étaient certifiées HVE (niveau 3), dont 40 % d’exploitations viticoles, et 10 000 étaient engagées dans le niveau 2 (Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation).

** Selon le sondage sur l’alimentation publié le 10 octobre dernier par WWF, 70 % des Français sont prêts à changer leur consommation pour des produits plus responsables et 40 % d’entre eux sont déjà passés à l’acte.

Vinexpo Paris

Déjà présent à Bordeaux (2 300 exposants de 40 pays producteurs et 40 000 acheteurs de 150 nationalités), Hong Kong et Tokyo, Vinexpo sera aussi à New York en mars prochain et à Paris en 2020. Le rendez-vous bordelais est avancé dans la saison.
On les voit rarement ensemble, mais Patrick Seguin, le président de la chambre de commerce et d’industrie de Bordeaux (CCI), actionnaire majoritaire de Vinexpo, et Guillaume Deglise, son directeur général, ont dévoilé comme un seul homme la nouvelle configuration de Vinexpo. « Tout va bien, Vinexpo est rentable, avec 16 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2017 pour Bordeaux, et 85 millions de retombées économiques, et 10 millions pour Hong Kong. » Les bénéfices ne sont pas communiqués. « Nous sommes le leader mondial des salons dédiés aux vins et aux spiritueux et nous le resterons. » Mais pour contrer l’érosion de la fréquentation du salon, en baisse depuis les deux dernières éditions, et distancer l’allemand Prowein, son principal concurrent (plus de 6000 exposants), en plus de Vinisud, Vinitaly et The London Wine Fair, Vinexpo passe la surmultipliée. Bordeaux demeurera “le navire amiral” de la manifestation, qui y a vu le jour en 1981. « Nous restons présents au cœur du plus prestigieux vignoble du monde tout en étant le seul salon présent sur trois continents avec Hong Kong, Tokyo et, dès mars 2018, New York », précise Guillaume Deglise. « A partir de janvier 2020, nous nous dédoublerons au niveau national avec une édition parisienne qui fera de Vinexpo le premier événement du calendrier professionnel du secteur. Nous serons en tête dans l’agenda des acheteurs qui pourront mieux planifier leurs commandes. »

La date choisie coupe l’herbe sous le pied à Prowein qui se tient en mars et n’entre pas en conflit avec la semaine des Primeurs qui a lieu à Bordeaux début avril. Sis dans le nouveau Paris Convention Center (pavillon 7 du parc des expositions de la porte de Versailles), Vinexpo Paris cible les marchés nord-européens traditionnels et matures, Royaume-Uni, Benelux, Suisse (« l’Europe représente 60% de la consommation mondiale ») ainsi que les acheteurs rencontrés sur les autres déclinaisons de Vinexpo, à Hong Kong et Tokyo, « pour lesquels il est plus facile ou plus efficient de venir à Paris qu’à Bordeaux. » Plus court — il se tiendra sur trois jours, du 13 au 15 janvier 2020 — le salon parisien sera organisé en alternance avec le rendez-vous bordelais qui est quant à lui avancé d’un mois par rapport aux dates habituelles (13-16 mai 2019). En juin, il coïncidait avec la fête de la Fleur et permettait aux happy few de s’égayer après le business dans de très chics soirées dans les châteaux. Ce privilège de l’édition bordelaise a hélas pâti lui aussi de la canicule lors des dernières éditions. Bordeaux toujours Bordeaux, donc, pour paraphraser la maxime locale. Mais pas que. « Paris est neutre (clin d’oeil aux exposants champenois ou bourguignons qui pourraient trouver Bordeaux trop bordelais) et convient bien aux spiritueux qui ont le vent en poupe et qui représentent 10 à 15 % des exposants du salon. »

Concernant les critiques récurrentes faites à Vinexpo à propos de son prix, son directeur général tempère : « Vinexpo n’est pas plus cher que les autres, même s’il l’a été. Et il ne faut pas raisonner uniquement en coût au mètre carré du stand (le premier prix est de 3 000 euros pour six 6 m2), mais en terme d’expérience. Les initiatives pro-business lancées lors des deux dernières éditions, telles les One to Wine Meetings, mise en contact direct acheteurs-exposants, les Wine Explorer où l’on emmène cent des plus gros acheteurs découvrir une région productrice, le programme étoffé de conférences ou le Wow, salon dans le salon consacré aux vins bio et biodynamiques. » Reste à améliorer significativement l’accueil (transports, hôtellerie, connectivité, signalétique), l’une des faiblesses pointées par l’étude commandée par la CCI au cabinet AMR International auprès de soixante acteurs-clés. Toutes choses qui n’avaient évidemment pas échappé à l’œil international de Christophe Navarre, ex-PDG de Moët Hennessy élu en avril à la tête du conseil de surveillance de Vinexpo SAS et de Vinexpo Overseas. Et à établir le cahier des charges de ce nouveau Vinexpo Premium.

Par Béatrice Brasseur

Il fabriquait des petrus avec du fombrauge

C’est Bernard Magrez qui, avec beaucoup d’humour, m’a fait parvenir cette coupure du quotidien Sud-Ouest. Il faut dire que l’affaire est énorme. Un margoulin de petit calibre au passé guère reluisant, s’est fait serrer par la police. Il vendait de faux pétrus au prix des vrais. Pour sa défense, il a fait valoir qu’il emplissait les bouteilles avec du saint-émilion château-fombrauge et du saint-julien château-talbot. Ce qui fait beaucoup rire Bernard Magrez qui précise avec une certaine jubilation :

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In vino, 700e ce dimanche


Seul programme en France entièrement consacré au monde du vin et des spiritueux (et seul au monde en langue française), l’émission de radio créée par Alain Marty en 2004 déroulera son 700e opus dimanche 5 novembre à 12 h 30 sur Sud Radio.

Très attachée à la notion de terroir, que viennent illustrer les nombreux vignerons invités, In vino décrypte l’actualité du vin à l’intention des « passionnés néophytes et experts de cet univers » et aborde pour cela des sujets variés, l’implication du vin dans la politique, les enjeux de l’œnotourisme, l’économie des vignobles, les ventes aux enchères, mais également des thèmes relevant du quotidien de l’amateur (choisir son vin bio, accorder un plat avec un vin, servir ce dernier à la bonne température, etc.).

Co-animée depuis l’origine par Philippe Faure-Brac, meilleur sommelier du monde (Rio de Janeiro 1992) et David Cobbold, « le plus français des journalistes anglais », co-fondateur de l’Académie du vin de Paris, l’émission d’Alain Marty – il en est le producteur – possède le ton et le style de ce « grand défenseur du monde du vin », petit-fils de vigneron, auteur de plusieurs ouvrages sur le sujet (notamment Ils vont tuer le vin français !, aux éditions Ramsay) et par ailleurs président-fondateur du Wine & Business Club. Initialement programmée sur BFM Business, In vino est diffusée depuis janvier dernier sur Sud Radio (samedi et dimanche à 12 h 30) et sur invinoradio.fm (le lundi à 10 h).

Epaulés par trente-six experts tenant chronique, tel Enrico Bernardo, meilleur sommelier du monde (Athènes 2004), Manuel Peyrondet, meilleur sommelier de France (2008) ou encore le docteur en œnologie Fréderic Brochet, les trois animateurs d’In vino (photo) reçoivent chaque semaine à leur table un invité qui vient partager son expérience du vin avec les auditeurs. Pour la 700e, Alain Marty, Philippe Faure-Brac et David Cobbold recevront Claude Sérillon, journaliste et ancien présentateur de 20 heures (sur Antenne 2 et sur la Une) et proposeront un entretien exclusif du sommelier argentin Andrès Rosberg, élu président de l’Association de la sommellerie internationale au printemps dernier.

Accords à l'américaine

Vente privée des vins du domaine, démonstrations culinaires, accords mets-vins, visite des coteaux de Cornas, découverte du métier de vigneron (travail au cheval de trait), atelier d’apiculture, la septième édition du festival œno-gastronomique organisé chaque automne par la famille Colombo et parrainé depuis l’origine par Paul Bocuse offrira bien des bonheurs à l’amateur (vendredi de 17 h à 21 h et samedi de 10 h à 18 h, dimanche réservé aux professionnels). Après la Méditerranée des origines, le Paris des amis et le Lyon de “Monsieur Paul”, cette session 2017 fera la part belle à la gastronomie d’outre-Atlantique en accueillant de grands « chefs et sommeliers du paysage culinaire américain. »

Véritable “fête de famille” pour Jean-Luc, Anne et Laure Colombo, qui réunissent à cette occasion leurs amis chefs, sommeliers et gastronomes, Les Automnales sont cette année marquées par une célébration supplémentaire, celle des 30 ans de ce domaine créé en 1987. Une verticale de cornas Les Ruchets sera orchestrée par Anne Colombo (sur réservation), une dégustation d’un millésime ancien des Ruchets sera organisée au cœur de la parcelle historique et le millésime 2015 sera présenté en avant-première. La participation au festival est de 10 euros, déductible dès 100 euros d’achat (10 % de réduction supplémentaire vendredi soir). Plus de renseignements sur le site du domaine, c’est par ici. 




colombo-automnales

Accords à l’américaine

Vente privée des vins du domaine, démonstrations culinaires, accords mets-vins, visite des coteaux de Cornas, découverte du métier de vigneron (travail au cheval de trait), atelier d’apiculture, la septième édition du festival œno-gastronomique organisé chaque automne par la famille Colombo et parrainé depuis l’origine par Paul Bocuse offrira bien des bonheurs à l’amateur (vendredi de 17 h à 21 h et samedi de 10 h à 18 h, dimanche réservé aux professionnels). Après la Méditerranée des origines, le Paris des amis et le Lyon de “Monsieur Paul”, cette session 2017 fera la part belle à la gastronomie d’outre-Atlantique en accueillant de grands « chefs et sommeliers du paysage culinaire américain. »

Véritable “fête de famille” pour Jean-Luc, Anne et Laure Colombo, qui réunissent à cette occasion leurs amis chefs, sommeliers et gastronomes, Les Automnales sont cette année marquées par une célébration supplémentaire, celle des 30 ans de ce domaine créé en 1987. Une verticale de cornas Les Ruchets sera orchestrée par Anne Colombo (sur réservation), une dégustation d’un millésime ancien des Ruchets sera organisée au cœur de la parcelle historique et le millésime 2015 sera présenté en avant-première. La participation au festival est de 10 euros, déductible dès 100 euros d’achat (10 % de réduction supplémentaire vendredi soir). Plus de renseignements sur le site du domaine, c’est par ici. 




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