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Château Pichon Longueville Comtesse de Lalande 1975, 1985, 1995, 2005


Il y aura aussi les millésimes 2003, 2008, 2010 et 2012 lors de la soirée que la maison parisienne Legrand Filles et Fils consacrera le 15 septembre à « ces vins empreints d’élégance et de finesse, au charme et à l’émotion façonnés par les années » (220 euros par personne, plus de renseignements ici). Domaine de 89 hectares situé sur la commune de Pauillac et issu d’un partage effectué en 1850, le château Pichon Longueville Comtesse de Lalande est depuis 2007 la propriété de la maison de Champagne Louis Roederer.

En 2013, ce vignoble planté de cabernet-sauvignon (à 62 %), de merlot (30 %), de cabernet franc (5 %) et de petit verdot a été doté de nouveaux outils de vinification. « Sous l’impulsion de Nicolas Glumineau, directeur général depuis 2012, le château retrouve petit à petit le statut de “Super Second” qu’il avait acquis dans les années 80 grâce à une série de millésimes de légende tels 1982, 1985, 1986 et 1989, références ultimes dont chaque millésime doit s’approcher au plus près. » Nicolas Glumineau sera là pour éclairer cette dégustation dont le détail est dévoilé ci-après.

« Dégustation du Mardi » aux caves Legrand, 

Château Pichon Longueville Comtesse de Lalande :

Millésimes 2012 et 2010
Haddock, lentilles vertes du Puy au vin rouge et croûtons

Millésimes 2008, 2005 et 2003
Cecina de boeuf, potimarron et Mozarella di Buffala

Millésimes 95 et 85
Boeuf bourguignon à la japonaise

Millésime 75
Comté « août 2013 » affiné par Bernard Anthony

Réservation ici ou au 01 42 60 07 12.

Un très beau lancer de guide


Le Bettane+Desseauve 2016. Lancement aux Caves Legrand. Foule. Tous les amis, moins ceux qui vendangeaient ou s’apprêtaient à le faire et moins ceux qui ont eu peur d’être coincés par l’exceptionnelle mobilisation de nos amis en tracteurs. Dommage, d’ailleurs, que nos amis les tracteurs n’aient pas poussé jusque là, nous aurions partagé quelques bouteilles de champagne avec grand plaisir.


Jean-René Matignon : 30 millésimes de Pichon-Longueville Baron

 

Elevé au bonnezeaux et aux coteaux-du-layon, Jean-René Matignon possède cette ouverture d’esprit et de palais des gens de Loire. Chef de culture et maître de chai lorsqu’il arrive à Pichon en 1985, il devient après le rachat par Axa en 1987, directeur technique. Une politique ambitieuse sous l’égide de Jean-Michel Cazes est alors mise en place : abandon de la machine à vendanger, drainage mieux adapté, réduction des rendements, élevage en barriques neuves de qualité donnent plus de complexité aux vins.
Le bond qualitatif entamé s’accélère en 2001 avec l’arrivée de Christian Seely : celui-ci favorise une sélection parcellaire plus poussée permettant de mieux cerner les terroirs susceptibles de pouvoir rentrer dans le grand vin avec la construction du nouveau chai en 2006. En 30 millésimes, Jean-René Matignon incarne la force tranquille talentueuse et attachante de ce second cru classé. Les progrès vont crescendo. Pichon Baron devenu un « super second » tutoie maintenant les premiers, avec des vins éclatants sur les dix derniers millésimes.

Le Terroir

Depuis son rachat par Axa, ce domaine situé dans le sud de l’appellation est passé de 40 à 70 ha, et l’on a ainsi pu replanter de belles parcelles. Les 30 ha qui font face au Château Latour tutoient les Léoville sur Saint-Julien ; elles sont historiquement les plus qualitatives ; c’est là où se situent les grands cabernets-sauvignons qui contribuent à la profondeur et à la complexité du cru.[/col] [col width= »six »] Les merlots situés plus au nord dans le secteur de Sainte-Anne sur des graves plus sablonneuses entrent pratiquement en totalité dans la composition des tourelles de longueville, vin en rondeurs et en charme. Véritable second vin, Les Griffons sont de facture plus classique, avec une proportion plus importante de cabernet-sauvignon.

Le style Pichon Baron

Pichon Baron possède l’énergie et la profondeur des meilleurs du Médoc avec un style très vibrant et une pureté de caractère liée au cabernet-sauvignon. C’est un vin tout en retenue avec une tension harmonieuse. Il se révèle à la fois austère, dense et élégant. Il possède en effet cette densité du pauillac, un peu austère à ses débuts, puis la puissance se développe en bouteille. Son aromatique développe le tabac, le cèdre, le cassis, la mine de crayon, et la touche saline apportée par le terroir.

Les millésimes dont Jean René Matignon est le plus fier ce sont ceux qui se révèlent les plus ingrats comme 2002, 2004, 2006, 2008 ou les spectaculaires 2011, 2012, 2013 qui montrent aujourd’hui toutes leurs qualités.[/col]


Pichon-Longueville Baron

2014

18/20

Vin très sanguin au nez. En bouche, le tannin se révèle élégant et soyeux avec des notes de fruits noirs et une belle fraîcheur. Il y a tout, ce vin complet se révèle d’une grande délicatesse.


2013

17,5/20

C’est très classique, avec une aromatique fraîche et un tannin énergique. La bouche livre des flaveurs aussi puissantes que fines, le palais se prolonge dans la continuité, avec une structure pleine et une tension remarquable du corps particulièrement harmonieuse et des notes salines et épicées en finale.


2012

17/20

On aime la densité charnue pour le millésime avec un tannin qui s’étire bien sur des notes nobles de havane.


2011

17,5/20

Belle ampleur en attaque avec une profondeur épicée et ses accents classiques de cèdre et de tabac, le vin a gagné depuis sa mise en bouteille.


2010

19/20

Ce vin coule superbement, on a un coté Saint-Julien au premier nez, puis le vin devient pauillacais avec des nuances de tabac. C’est sanguin et frais au palais avec une puissance tannique qui a de l’éclat. On a une impression de plénitude dans le raffinement. Vin exceptionnel !


2009

18,5/20

On est sur un millésime de sensualité, avec ses accents de crème de cassis et de poivre de Sichuan. Bouche enrobée et tonique, avec de la sève ; les tannins sont en train de se resserer. Si le vin est démonstratif aromatiquement, en structure il est plus serré.


2008

17,5/20

Hyper classique, superbe de fraîcheur sur la feuille de cassis, ce vin constitue une leçon de goût pour ceux qui veulent connaître les grands pauillacs, on est sur un modèle de style.


2007

18/20

C’est gourmand, soyeux, avec de belles rondeurs et du ressor. On aime l’aromatique riche où se mêlent cassis, cèdre et épices. C’est déjà bon et il y a du potentiel, on succombe à la finale sur la boite à cigare.


2006

17,5/20

« C’est le premier millésime réalisé dans le nouveau chai. Il fallait en effet plus d’espace pour la vinification et la construction du nouveau chai nous permet de travailler de façon plus précise et d’allonger le temps de l’élevage pour passer de 15 à 20 mois. » Plus fermé, ce vin encore un peu anguleux et serré possède une jolie matière derrière, c’est un grand vin de gastronomie.


2005

18,5/20

Nez superbe de cèdre, boîte à cigare d’une grande pureté. On aime l’équilibre entre la puissance et l’élégance. La profondeur épicée et fraîche se prolongent ponctuée par une finale menthée. C’est au niveau d’un premier.


2004

17/20

Ce vin évolue parfaitement avec un tannin qui se détend et prend de l’ampleur avec une droiture stylée plus profonde que sur le 2002.


2003

18/20

C’est une réussite majeure du millésime, avec une puissance contenue et une fraîcheur de constitution qui fait merveille.


2002

16,5/20

Vrai caractère de Pauillac dans sa définition, avec ses accents de cèdre et de tabac et un tannin élancé solide et bien proportionné.


2001

17/20

Nez de tabac blond, tanin élancé bien enrobé avec une profondeur épicée.


2000

18,5/20

Superbe réussite, on a une réelle plénitude, ce vin commence à s’ouvrir et il s’installe progressivement sur le devant de la scène tannique.


1999

16/20

On est séduit par le nez de tabac brun, la bouche allie tendreté et fraîcheur épicée, ce vin de charme est aujourd’hui à point.


1998

17/20

Profondeur veloutée avec une belle énergie en bouche, on aime la densité vineuse du millésime dans un style d’un classicisme pur.


1997

16/20

Vin de charme aujourd’hui, avec une aromatique spécifique au millésime, mêlant le caramel au lait avec un zeste de poivron rouge, les tannins sont bien lissés et il y a de la profondeur, vin qui est à son apogée.


1996

18/20

Nez plus profond, le tannin s’est patiné, on a une jolie matière en bouche, elle est supérieure au nez, on a des accents de vieille liqueur de cassis, de feuille morte et de tabac.


1995

16/20

Petite nuance animale au nez que l’on ne retrouve pas en bouche, tannin frais avec plus de densité. Par rapport au blocage de maturité, le vin s’en sort bien.


1994

15/20

Les tanins sont encore puissants et fougueux, avec le côté compact du millésime.


1991

15/20

Nez de cigare, de raisins de Corinthe, de poivre gris, tannin allongé de bonne facture. Surpasse actuellement les 1992 et 1993.


1990

18/20

Eclat particulier de grand cabernet sauvignon avec son nez de tabac, de cèdre, fruits noirs, exceptionnel en bouche, car il est complet dans l’expression de raffinement du cru .Il fait très jeune.


1989

17,5/20

Les tanins sont fondus, suaves, il y a toujours une belle plénitude en bouche avec une ossature pure derrière et une fin menthée distinguée.


1988

16,5/20

Vin droit et élancé avec des accents épicés dans un style classique savoureux.


1987

14,5/20

C’est le premier vrai millésime d’Axa, le nez offre une pointe épicée, la bouche souple et soyeuse est de demi-corps, ce millésime préfère le veau à la viande rouge. A boire.


1986

16/20

« Sur ce millésime les rendements sont plus bas, on taille plus court », c’est une année intermédiaire, entre la période Bouteiller et celle de Jean Michel Cazes. On apprécie le tannin élancé et épicé qui a du ressort, Il y a plus de chair avec une construction de vin digne de ce nom.


Une maison, trois foires aux vins

La traditionnelle foire aux vins de septembre est l’occasion pour la maison Duclot de proposer aux amateurs trois sélections issues de ses 2 500 références, à Bordeaux (Badie, du 10 septembre au 3 octobre), à Paris (La cave du Lafayette Gourmet, du 17 septembre au 3 octobre) et sur internet (chateaunet.com, du 10 septembre au 3 octobre). Au-delà d’une offre lisible et diversifiée s’adressant à tous les types de consommateurs, de l’achat “coup de cœur” à l’achat “collection” en passant par les achats “raison”, la foire au vins Duclot est aussi l’occasion d’acquérir des millésimes anciens. « Contrairement aux foires aux vins dites classiques de la grande distribution ou des cavistes, qui proposent souvent le dernier millésime mis sur le marché, la sélection Duclot propose à la vente des vins de millésimes anciens, dans leur plein potentiel de dégustation et prêts à boire. »

L’expertise de cette maison installée sur la place bordelaise depuis le XIXe siècle, « acteur majeur sur le segment des vins des appellations des deux rives, notamment sur les grands crus classés mais également sur les références de crus bourgeois », se fonde sur ses relations étroites avec les domaines. Grâce à ces circuits courts et ces achats en direct, Duclot peut offrir aux particuliers les meilleurs prix ainsi que la certitude « que les vins sont bel et bien en stock. » Précisant que les foires aux vins sont l’occasion pour la maison de proposer à ses clients une sélection de vins provenant de « châteaux et vignerons partenaires avec lesquels nous avons su tisser des liens étroits année après année », Ariane Khaida, la directrice générale de Duclot, garantit aux acheteurs « une parfaite traçabilité de tous les vins », puisqu’ils sont achetés directement au château et « conservés dans les meilleures conditions. »

Vins de vignerons ou grands crus classés, il s’agit de ne pas oublier de se faire plaisir, rappelle Rachid Drissi, acheteur Duclot pour Bordeaux. « Aujourd’hui plus que jamais les efforts déployés dans le vignoble se font ressentir dans la qualité des vins. » Enfin, si la réputation d’excellence de Duclot a commencé à Bordeaux, le reste du vignoble n’est pas oublié. Acheteur de vins pour Duclot dans toute la France, Toufik Nait Saada, évoque une sélection « composée à la fois de réelles découvertes mais également de valeurs sûres, le tout animé par de vrais coups de coeur. »

Les petits + des foires aux vins Duclot :
Parmi les différents services proposés par la maison à ses clients, de remises fidélité en gratuité de livraison en passant par les conseils personnalisés, on notera la possibilité de venir chercher soi-même en voiture sa commande effectuée sur chateaunet.com (entrepôts de Malakoff et Saint-Denis), le conseil multilingue de la cave parisienne du Lafayette Gourmet (chinois, anglais, espagnol et portugais) et la « collection remarquable de champagnes » proposée par la cave Badie, à Bordeaux.

L'album de famille de Crémant de Bourgogne Veuve Ambal


L’album de famille vous ouvre les portes et la mémoire des crus, humbles ou prestigieux.
Nous demandons chaque semaine à un grand producteur de nous ouvrir son album de famille
au travers de cinq souvenirs emblématiques de sa propriété.

Baladez-vous sur les images, qui seront dévoilées quotidiennement, et découvrez l’histoire de la Maison.


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Le millésime 2015 : quatre avis, deux régions


Nous avons profité du lancement du Guide Bettane + Desseauve 2016 pour parler d’autre chose avec quatre des producteurs présents. Evoquer le millésime 2015 en pleine apparition est un bon sujet. Surtout quand les avis diffèrent à ce point, surtout en Champagne. A voir d’urgence.


Balades ligériennes

Dans le Val de Loire, mille caves proposent de la vente directe, dont plus d’un tiers sont dotées du label « cave touristique » et 20 % offrent une possibilité d’hébergement. Chaque année, six millions de visiteurs viennent visiter le vignoble ligérien, premier ex-aequo avec l’Alsace pour ce qui concerne la qualité de son accueil. Au rang des manifestations-phares de la saison œnotouristique, « Vignes, Vins, Randos », le rendez-vous proposé par l’interprofession des vins du Val de Loire (Inter Loire*) a confirmé encore une fois l’année dernière son statut d’événement très couru en accueillant 10 000 participants.

Avec seize balades encadrées par quatre cents vignerons et la dégustation de vingt et une appellations, la douzième édition qui se tiendra ces 5 et 6 septembre devrait maintenir cette réputation. Samedi, un nouveau parcours sera inauguré au départ de la ville de Saumur. Il sera consacré aux maisons de fines bulles et à la découverte de la méthode d’élaboration traditionnelle de leurs vins. Randonnées ouvertes à tous et ponctuées de pauses consacrée à la dégustation comme au patrimoine à l’entour, les différents parcours listés ci-dessous sont à découvrir en détail ici.

Samedi (départs entre 14 h et 15 h 30) :

Coteaux d’ancenis, au départ de Champtoceaux
Savennières & savennières-roche-aux-moines, au départ de Savennières
Bonnezeaux, au départ de Thouarcé
Saumur-champigny, au départ de Varrains
Saint-nicolas-de-bourgueil, au départ de Saint-Nicolas-de-Bourgueil
Chinon, au départ de Beaumont-en-Véron
Touraine-mesland, au départ de Mesland
Jasnières et coteaux-du-loir, au départ de Ruillé-sur-Loir

Dimanche (départs entre 8 h 30 et 9 h 30) :
Muscadet cotes de Grandlieu et gros plant, au départ de Moutier-en-Retz
Muscadet sèvre-et-maine Gorges, au départ de Gorges
Anjou-villages-brissac et coteaux-de-l’aubance, au départ de Saint-Melaine-sur-Aubance
Chinon, au départ de Beaumont-en-Véron
Touraine-azay-le-rideau, au départ de Cheillé-le-Bourg
Vouvray, au départ de Vernou-sur-Brenne
Touraine & touraine-chenonceaux, au départ de Civray-de-Touraine

Durée moyenne des balades, 3 heures (6-8 kilomètres), 1 h 30 pour les parcours “famille”. Inscription en ligne ici (5 euros) ou sur place (8 euros), dans la limite des places disponibles, gratuit pour les moins de 18 ans.


* Troisième interprofession des vins d’appellation de France, Inter Loire regroupe les territoires du Nantais, de l’Anjou, de Saumur et de la Touraine autour de 50 appellations et dénominations réparties sur 41 000 hectares. Elle rassemble 2 700 viticulteurs, 190 négociants et 13 coopératives qui commercialisent en moyenne 2 000 000 hl/an, soit 270 millions de bouteilles vendues par an (45 % en vente directe, cavistes et CHR, 39 % en grande distribution et 16 % à l’export).

Week-end en Côtes de Bordeaux

C’est forts du succès rencontré l’année dernière et après un été ponctué de propositions de découverte de leur vignoble en avion, en canoë ou à cheval, que les vignerons de l’appellation castillon-côtes-de-bordeaux ouvriront leurs propriétés au public ce week-end, confirmant un peu plus leur engagement en matière d’œnotourisme.

Rappelant que les “portes ouvertes” sont une belle occasion de mettre en avant « aussi bien la richesse de nos vins que celle de notre patrimoine », la présidente de l’appellation, Françoise Lannoye, annonce que « cette année encore », les vignerons ont répondu présent « pour organiser un week-end de fête. »

De dégustations en balades gourmandes (à pied, à VTT ou à cheval) en passant par un déjeuner champêtre (dimanche, au château de Pitray), le programme complet des animations qui émailleront cette troisième édition des “portes ouvertes” de l’appellation est à télécharger ici.

Haut-Bailly reçoit à Château Le Pape

Depuis quelques jours, il est possible de dormir dans l’une des chambres d’hôtes de Château Le Pape, domaine acquis en 2012 par Robert et Elisabeth Wilmers, propriétaires du grand cru classé de Graves Château Haut-Bailly, situé à 900 mètres de là. « Retraite discrète dans le vignoble », ce domaine de neuf hectares en appellation pessac-léognan a bénéficié d’une restauration soigneuse de sa chartreuse XVIIIe et de ses jardins, qui a duré trois ans.

« Artisans locaux et compagnons du tour de France se sont relayés sur le chantier pour révéler un patrimoine architectural unique. Le paysagiste Camille Muller a façonné un jardin sur mesure, véritable écrin pour la propriété. »

Plantes rares, terrasse ombragée, piscine en surplomb des vignes et grandes chambres (39 à 70 m2), ce bel endroit doté « d’une atmosphère sereine » bénéficie de tous les savoir-faire des équipes de Haut-Bailly, pour l’élaboration de son vin comme pour l’accueil de ses visiteurs. Ainsi les amateurs auront-ils « la possibilité de visiter les chais du grand cru et déguster la cuisine du chef à la Table Privée » de Château Haut-Bailly. A partir de 220 euros la nuit, plus de détails et réservation ici.

Avis aux gastronomes

A l’occasion des foires aux vins d’automne, Nicolas Feuillatte lance sa gamme de champagnes de gastronomie, cuvées spéciales élevées sous bois aux « qualités organoleptiques complexes. » Faits pour passer à table, ces vins (bruts et rosés) dont la bouteille a une forme spécifique sont issus d’une sélection de premiers et grands crus et ont un potentiel de garde de 24 mois.

C’est avec un brut millésimé 2006 que la marque de la première union de producteurs de Champagne (CV-CNF) inaugure cette nouvelle proposition faite aux amateurs. « L’élevage sous bois apporte ce caractère vineux qui permet de l’associer à des mets délicats comme un carpaccio de Saint-Jacques et mousse de céleri rave, des ravioles d’écrevisses ou même un dessert d’hiver telle une gaufre aux noix de pécan. »

Ce champagne sera disponible lors des foires aux vins des enseignes Carrefour et Auchan qui démarreront respectivement les 8 et 22 septembre prochains (les dates des foires aux vins, enseigne par enseigne, sont listées ici).

Champagne Nicolas Feuillatte,
Cuvée Spéciale « élevée sous bois » Brut millésime 2006, 32 euros