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Hostellerie de la Bouriane, Gourdon (46)


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Hostellerie de la Bouriane
Menus du moment 30 euros

Place du Foirail, 46300 Gourdon-en-Quercy
Tél. +33 (0)5 65 41 16 37
Fax +33 (0)5 65 41 04 92
http://www.hotellabouriane.fr/

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En plein cœur du Périgord Noir, cette auberge familiale avec Madame en cuisine et Monsieur au service s’il vous plait, offre le meilleur de la gastronomie locale dans la pure tradition. Foie gras, magret et truffe noire côtoient d’exceptionnels Cahors (Vieux millésimes de Clos de Gamot ! Clos de Triguedina, Château le Cèdre pour ne citer qu’eux) tout comme l’élite de la viticulture de l’Hexagone avec Rayas, Domaine de Peyre Rose, Jamet, Santa Duc et bien d’autres.
Un demi millier de références vous attendent dans une salle de restaurant hors du temps.

À LA CARTE :

  • L’Entremet Chaud façon Lasagne à la Duxelles de Champignon et émincé de Confit d’Oie
  • La Terrine maison

 

  • Le filet de fletan
  • Le quasi veau de Corrèze

 

  • La Tartelette aux Quetsches
  • L’Entremet de Mousse au Pain d’épices et Spéculos et son coulis de Mandarine et Grenadine

 

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Antoine Pétrus choisit cinq vins chez Cavissima


John Euvrard, Meilleur Ouvrier de France en Sommellerie, ex-chef sommelier du Restaurant Paul Bocuse, gère avec brio les 900 références de ce site devenu inévitable.Cavissima propose différents forfaits de 50 à 400 euros tout compris et il ne vous reste plus qu’à cliquer !Le stockage est facilité lui aussi car le site propose de garder vos vins à Paris comme à Beaune dans les meilleures conditions qu’il soit.Les premiers flacons tournent autour des 7 euros pour atteindre des prix plus conséquents sur des références mythiques.


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Pouilly Fumé, La Moynerie, 2006, Michel Redde

Le domaine s’impose peu à peu comme l’un des incontournables de Pouilly Fumé. 2006 est à maturité, très exotique, élancé et pur. A savourer avec des gambas en tempura.

17 euros

CONTACTER LA CAVE [/col]


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Pessac Leognan, Blanc, Domaine de Chevalier, 2011

Le blanc de grande gastronomie à réserver pour vos fêtes de fin d’année. Sagement boisé, il offre un corps ample et aux nuances pierreuses et fumées.

88 euros

CONTACTER LA CAVE [/col]


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Minervois, Rouge, La Ciaude, Domaine Anne Gros et Jean Paul Tollot, 2012

Tout le savoir faire de brillants vignerons Bourguignons mis au service de Minervois dans une grande définition et avec du caractère.

25 euros

ACHETER [/col]


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Vinsobres, Rouge, Les Cornuds, Perrin et Fils, 2011

Après un long contact entre le jus et la peau, l’assyrtiko, un des cépages autochtone grec est savamment élevé en barriques. Un blanc de gastronomie par excellence.

10,80 euros

CONTACTER LA CAVE [/col]


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Macon Milly Lamartine, Clos du Four, Les Héritiers du Comte Lafon, 2011

Les terroirs du Mâconnais sont anoblis par Dominique Lafon. Milly Lamartine 2011 est citronné, avec une fraicheur vivifiante et le volume de bouche qui va avec.

21 euros

CONTACTER LA CAVE [/col]
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Le Rhône nouveau


Les experts Bettane+Desseauve ont sélectionné dans chaque vignoble de France les producteurs
qui leur paraissent avoir le potentiel de s’affirmer au plus haut niveau de leur appellation.


Quatorzième étape de ce Tour de France de l’avenir, la Vallée du Rhône

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Crédits photo d’ouverture : http://semaineosoleil.com/


La sagesse pour réflexe

Lancée au printemps dernier dans le monde entier par le groupe de vins et spiritueux Pernod Ricard, l’application dédiée à la consommation responsable d’alcool Wise Drinking vient d’être enrichie de nouvelles fonctionnalités. Désormais, ses utilisateurs peuvent tester leurs connaissances via un « quiz responsable » composé de dix-sept défis comportant cinq questions chacun. L’idée est de profiter des fêtes de fin d’année et des réunions qui vont avec, en famille ou entre amis, pour diffuser les principes essentiels d’une consommation responsable. « Que représente une unité d’alcool ? Quel processus intervient dans la fabrication du vin ? Quelle est la recommandation faite aux femmes enceintes en matière d’alcool ? Quel était le dieu grec du vin ? » sont quelques-unes des questions posées, premiers pas d’un apprentissage de ses limites personnelles et, par conséquent, d’un comportement responsable envers l’alcool. Autre nouveauté, cette application assortit en toute logique sa recommandation de ne pas prendre le volant d’une possibilité d’appeler un taxi, même sans avoir de réseau.

Capture d’écran 2014-12-15 à 13.15.27

Wise Drinking ne représente qu’une partie des initiatives de promotion d’une consommation responsable engagées par Pernod Ricard et ses filiales à travers le monde. « En 2012, le Groupe a participé avec ICAP (devenu IARD pour International Alliance for Responsible Drinking) à l’élaboration et la mise en œuvre de cinq engagements de l’industrie de la bière, des vins et des spiritueux pour lutter contre l’usage inapproprié de l’alcool. Ces engagements comprennent la réduction de la consommation d’alcool chez les mineurs, le renforcement des codes de bonnes pratiques marketing, la communication d’information aux consommateurs et le développement d’innovations responsables, la réduction de la l’alcool au volant et l’obtention du soutien des détaillants dans la réduction de la consommation nocive d’alcool. » Pernod Ricard a notamment créé Responsible Party en partenariat avec Erasmus Student Network (ESN). En 4 ans, ces interventions lors de soirées étudiantes ont permis de sensibiliser plus de 175 000 étudiants dans vingt-huit pays européens.

Pour découvrir et télécharger l’application Wise Drinking, c’est par .

Chine et sauternes,accord laqué

Bel hommage d’un château très sinophile (voir ici) aux cinquante ans d’amitié franco-chinoise qui ont été célébrés tout au long de cette année 2014, la proposition de fin d’année de la Vinothèque de Bordeaux est un coffret de bois laqué arborant une reproduction d’un tableau de Xú Bēihóng, peintre chinois du XXe siècle parmi les plus célèbres. A l’intérieur de cet écrin pour épicurien, édition limitée à seulement 400 exemplaires au monde, six bouteilles de Château Guiraud, 1er cru classé de Sauternes, dans les millésimes 1998, 2000, 2001, 2002, 2003 et 2004.

Chacune des bouteilles de cette belle verticale porte une étiquette inédite représentant l’un des fameux chevaux à l’encre de Chine qui ont rendu Xú Bēihóng si populaire.
Le fils de l’artiste explique que pour peindre ces animaux symboles de courage, victoire et fidélité, son père a su créer une technique spéciale, « des coups de pinceau très libres, peu de traits et simplement de l’encre. » Une impression sur toile (76 x 46 cm) de l’œuvre Grand Cheval au Galop, accompagnée d’une copie du certificat d’authenticité numéroté, complète cet exceptionnel cadeau.

GuiraudMasterpiece@Vinotheque
Coffret « Guiraud Masterpiece », 16 500 €. Exclusivement disponible à la boutique de la Vinothèque de Bordeaux, 8 cours du 30 juillet, 33000 Bordeaux.

Bordeaux Tasting, les chiffres


La troisième édition du salon organisé par le magazine Terre de Vins a confirmé sa place de dégustation de qualité auprès d’un public venu nombreux. Plus de 5 000 visiteurs se sont croisés ce week-end au Palais de la Bourse de Bordeaux. Au moment de refermer les portes de cette édition 2014, Rodolphe Wartel, directeur du magazine, a tenu à remercier « vivement » les grands bordeaux pour leur « énorme » engagement.

« Ils ont été à nos côtés pendant ces deux jours, représentés le plus souvent par leurs propriétaires qui nous ont fait la sympathie de venir à la rencontre du public pendant une journée, voire plus. Nous associons dans nos remerciements les grands invités et les Champenois, tous venus de beaucoup plus loin. C’est une marque de confiance envers Terre de vins qui compte énormément pour nous. »

« La troisième édition de la manifestation marque une importante étape de maturité. Cette belle réussite nous incite à poursuivre et à nous engager (…) dans un deuxième cycle qui va nous permettre de grandir, mais de façon mesurée, en entendant les attentes et les désirs de nos partenaires. Notre visitorat étant très qualitatif, nous allons essayer de nous développer en maintenant cette priorité absolue. »

En 2013, Terre de Vins avait réalisé une enquête de satisfaction auprès des visiteurs.
98 % d’entre eux disaient avoir savouré leur visite et 92 % être prêts à acheter les vins qu’ils avaient dégustés. Lors de cette édition 2014 qui accueillait 120 grands bordeaux, 20 champagnes, 15 invités d’autres régions françaises et 10 vins étrangers, 7 000 verres Riedel ont été utilisés et offerts aux visiteurs et plus de 3 000 bouteilles ouvertes pour être dégustées en respectant l’objectif de l’événement de découverte et d’apprentissage dans la modération.

Retour complet sur ce Bordeaux tasting 2014 par Terre de Vins ici.

Vive le Féret

La XIXe édition du Féret vient de paraitre. Elle célèbre en sous-titre le bicentenaire de cette maison d’édition bordelaise, et il faut tirer un grand coup de chapeau à Bruno Boidron, son patron depuis quelques lustres maintenant, pour avoir non seulement repris ce monument girondin, mais aussi pour en avoir fait une maison prospère, dynamique et, surtout, fidèle à sa vocation et à ses principes.
Qu’est-ce que le Féret ? Tout simplement un dictionnaire encyclopédique des crus de Bordeaux. Il ne s’agit aucunement d’un guide : vous n’y trouverez ni notation ni commentaires critiques ; en revanche, l’exhaustivité est totale. Chaque cru, même les plus modestes de Bordeaux, y est recensé avec au minimum le nom des propriétaires, le nombre d’hectares et la production (en tonneaux, vieille unité de mesure bordelaise). « Bordeaux et ses vins », véritable nom de ce que tous les professionnels appellent « le Féret », est né en 1868 et ni son objet, ni sa tonalité générale, n’ont profondément changé. Il faut donc s’habituer au style suranné des textes, mais j’avoue que j’éprouve une certaine délectation à découvrir que tel cru que je trouvais par ailleurs banal produit un vin « renommé pour son bouquet délicat et distingué » ou que tel autre s’élève « à 38 mètres d’altitude » sur de « magnifiques croupes graveleuses ». Si l’on pense non sans discernement que chaque cru mérite, au moins une fois, son heure de gloire, c’est dans le Féret qu’elle sonnera. Mais bien sûr, la raison d’être du Féret est ailleurs, dans l’incroyable masse d’informations et de données factuelles sur le vignoble, les vinifications, les équipes et les coordonnées, la commercialisation présentée pour chaque cru. En matière d’information sur les vins de Bordeaux, le Féret renvoie Google et tout internet au rang de médiocres défricheurs…
Mais je crois que ce qui me plait le plus dans le Féret, c’est encore le portrait en creux qu’il trace des vins de Bordeaux. Son obsession, très bourgeoise avouons-le, de la classification, ici aussi discrète qu’impitoyable. Outre le classement officiel de chaque cru (classé, bourgeois, etc.), les auteurs s’autorisent depuis la première édition, à ranger chaque propriété « par ordre de mérite dans chaque commune ». Cet ordre de mérite, c’est bien sûr le poids, parfois écrasant, de la tradition et des us et coutumes du commerce local. Les exégètes et les curieux peuvent s’amuser tout au long des pages à le décrypter… Autre discours passionnant à lire, la remarquable introduction didactique qui couvre la totalité des éclairages sur le vin de Bordeaux. Écrites par les sommités girondines de chaque question (Van Leewen pour le terroir, Dubourdieu pour la vinification, Me Agostini pour le droit des marques, etc.), ces textes de présentation délivrent en quelque sorte le discours officiel des vins de Bordeaux. Avec ses grands principes et parfois ses petites manies : on n’y trouvera, par exemple, nulle part un chapitre sur la viticulture bio (ou a fortiori biodynamique), et encore moins dans les textes consacrés à « la conduite du vignoble » ou à la « fertilisation ». Le Féret n’est pas un ouvrage d’auteurs, il reflète avec une précision d’entomologiste l’univers des vins de Bordeaux, dans toutes les facettes de son génie et jusqu’aux reflets de ses quelques manques.

Saison 1, dernier épisode : les grands de Bordeaux s’endorment ou se réveillent


Brève – et personnelle – histoire contemporaine du vin de France


 

Chapitre onze, dans lesquels les grands de Bordeaux s’endorment ou se réveillent.

 
Les premiers crus de Bordeaux avaient évolué différemment au cours de la décennie précédente. Margaux, mené par le brillant Paul Pontallier, avait entamé une lente, mais sûre remontée vers les sommets, démarrant il est vrai d’un niveau très décevant dans les années soixante-dix. Haut-Brion était de très loin la star des années quatre-vingt au début des années quatre-vingt-dix. La rigueur et la vision que développait le directeur du cru, l’impérieux et impressionnant Jean-Bernard Delmas (une vraie dynastie, les Delmas, il avait succédé à son père et son successeur a été son fils Jean-Philippe), avait eu pour couronnement un 1989 légendaire. Lafite était mené sans tapage et dans un style à l’ancienne qui le plaçait à côté de l’ébullition stylistique de la période. Mais en 1994, quand Charles Chevalier, quitta la direction d’un autre cru du Baron Eric de Rothschild, le sauternes Rieussec, pour s’installer à Lafite, la révolution fut immédiate. Dans ce millésime, le très calme et déterminé Charles n’hésita pas à produire un grand vin à 100% cabernet sauvignon. Certains s’étranglèrent ou se moquèrent, sur le ton « Lafite est devenu un vin de cépage », pourtant, ce vin aristocratique et tendu marquait le renouveau de la propriété. Deux ans plus tard, Charles Chevalier signait un 1996 d’anthologie qui est pour moi le plus grand médoc de la décennie.
Latour, comme d’autres, subit une pollution de ses chais dû à l’utilisation d’un produit de traitement du bois qui délivrait une molécule, le trichloranisole (TCA), apportant aux vins une mauvaise saveur comparable à celle du goût de bouchon. Ce problème dramatique, dont on prit conscience au début des années 90 et qui fut décrit et traité quelques années plus tard par l’œnologue bordelais Pascal Chatonnet, n’apparaissait pas immédiatement et se propageait au fil du temps, dans des vins déjà mis en bouteille. Il touchait des propriétés plutôt méritantes, qui avaient souvent restructuré leur chai en utilisant ce produit. Lorsqu’il racheta le cru en 1996, l’homme d’affaire français François Pinault nomma un jeune directeur extérieur au monde du vin, Frédéric Engerer. Formé dans une grande école de commerce (HEC), Frédéric avait suivi l’enseignement de Michel Bettane et d’un autre brillant critique que j’avais embauché à la RVF, Bernard Burtschy. Homme de décision énergique, il prit le problème des TCA immédiatement à bras le corps et replaça aussitôt Latour au sommet, avec à mon sens un 2003 qui étonnera encore mes arrières-petits-enfants dans cent ans.

Engerer, comme Chevalier et Pontallier, ont utilisé une méthode infaillible pour replacer leur cru au plus haut niveau. Sélectionner impitoyablement le meilleur pour produire le grand vin de la propriété, quitte à réaliser des seconds vins rivalisant largement avec les plus grands crus classés. Au début des années quatre-vingt-dix, Mouton Rothschild ne nous paraissait pas engagé dans la même exigence. Je me souviens des regards consternés de Bettane, Michel Dovaz (notre ainé et un autre pilier de La RVF de l’époque) et moi-même, alors que nous sortions de la salle de dégustation de Mouton ou nous venions de redéguster les vins de 1991 à 1995. Nous écrivîmes brutalement notre déception dans la seconde édition du guide en retirant de surcroît une étoile à la notation du cru. Le jour de la sortie du guide, je donnai une interview à l’Agence France Presse qui résuma notre travail en titrant sa dépêche : « Mouton Rothschild déclassé !» Cela déclencha une incroyable tempête médiatique. Quand, après la soirée de lancement, je rentrai chez moi avec mon épouse, la baby-sitter qui gardait nos enfants m’avertit que le téléphone n’arrêtait pas de sonner, les principales chaines de télévision et de radio françaises ou européennes voulant à tout prix m’interviewer ! Ce maelstrom, qui dura une semaine entière et fut interrompu par une tempête d’une toute autre dimension, celle que provoqua la disparition tragique de Lady Di à Paris, nous permit de mieux connaitre et surtout de découvrir la forte personnalité de Philippine de Rothschild. Au lieu de nous attaquer et de nier tout problème dans son cru fétiche, elle voulut nous rencontrer pour comprendre nos reproches et provoque une profonde remise en question des méthodes de travail de ses équipes. A partir de 1997, Mouton s’engageait sur la voie qui est la sienne aujourd’hui, celle d’une viticulture exigeante et attentive, d’une récolte et d’une sélection de raisins à parfaite maturité de tanin et de fruit, de vinifications ultra précises et d’élevage plus artistement équilibrés qu’à l’époque précédente. Et ces chefs d’œuvre sont mis en scène avec brio par cette passionnée de théâtre devenue la plus brillantes et sensibles des créateurs de vins contemporains.

Le Metropolitain


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Menus : 38€ et 55€. Formule à 17€ (au déjeuner)
Accueil : jusqu’à 22h30. Terrasse. Fermé le dimanche.
Fermé le samedi midi et dimanche.

8, rue de Jouy – 75004
Métro : Saint-Paul
09 81 20 37 38
www.metroresto.fr
Anne Bermont, Paul-Arthur Berlan

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Ne nous fions pas trop au décor qui pourrait faire miroir aux alouettes: les carreaux de faïence soulignés d’un liseré bleu, les casquettes de poinçonneur, les banquettes en lames de bois évoquant l’ancien mobilier des voitures Sprague ou les reproductions de réclames (« alcool de menthe Riclès, préservatif contre les épidémies »). Il semble sorti des remises d’un plateau de cinéma. Consacrons-nous plutôt sur nos assiettes: modernes, vives. Les préparations sont structurées, juxtaposant des textures différentes, cuites avec justesse. Le dressage tente l’œil avec des couleurs claquantes.
Les propositions du déjeuner, à prix attractif, sont exécutées avec autant de soin que les plats du menu-carte. Bon choix de vins. Service attentif. Très bon pain du boulanger voisin.

À LA CARTE :

  • Gnocchis de pommes de terre, fricassée de cèpes 12€
  • Foie gras des Landes, dattes et raisins au citron confit 15€
  • Œuf mollet croustillant, crème de champignons de Paris 12€

 

  • Paleron de bœuf braisé, foie gras poêlé, mousseline de céleri 24€
  • Magret de canard en deux cuissons, mousseline de carottes au gingembre 24€
  • Saint-jacques rôties 24€
  • Blanquette de joues de lotte au lait de coco 24€

 

  • Tarte Tatin à la poire, fuseau croustillant 10€
  • Compotée de coings, mousse topinambour vanillée et crumble aux noix 10€

 

Notre sélection

  • Marsannay 2011, Domaine Sylvain Pataille 40€
  • Saint-joseph Poivre et Sol 2011, Domaine François Villard 44€
  • Valençay Vieilles Vignes 2010, Domaine André Fouassier 24€

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DÉCOUVREZ LA SÉLECTION LEBEY

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Qu'est-ce qu'on faitce week-end ?

Samedi soir au château de Saint-Martin (Var) se tiendra la douzième édition du « Gros Souper de Noël » organisé chaque année par Adeline du Barry, à la tête de cette propriété qui produit des crus classés de Provence dans un décor volontiers partagé avec ses visiteurs (voir les chambres d’hôtes ici). C’est Catherine Chenut (Hostellerie de Cotignac) qui interprètera cette édition 2014 des traditionnels sept plats “maigres” et treize desserts provençaux, un menu qui sera accompagné par les vins du château et qui peut être réédité à la demande pour une soirée privée (à partir de 40 personnes).

Château de Saint-Martin, route des Arcs, 83460 Taradeau. Tél. : 04 94 99 76 76


Capture d’écran 2014-12-12 à 15.12.21Dimanche à La Bégude, un autre domaine provençal au sujet duquel on pourra lire ceci, Guillaume et Soledad Tari organisent un concert de solidarité dont les bénéfices seront destinés à financer les écoles fondées en Syrie par le Père Ziad, l’aide à l’enfance en Irak et l’accueil des chrétiens d’Orient qui souhaitent se réfugier en France (via les associations L’Œuvre d’Orient , Fraternité en Irak et Service Jésuite des Réfugiés, auxquelles on peut aussi directement faire un don). L’ensemble Musica Antiqua Mediterranea jouera sous la direction de Christian Mendoze, créateur en 1981 de cette formation dont le répertoire immense va de « danceryes du XVIe siècle aux danses roumaines de Bartok en passant par les grandes œuvres baroques de Bach ou Vivaldi. »

Domaine de la Bégude, route des Garrigues, 83330 Le Camp du Castellet.
Tél. : 04 42 08 92 34



Capture d’écran 2014-12-12 à 15.08.11Dix grands vins étrangers seront présentés
ce week-end lors du Bordeaux Tasting, événement créé en 2012 par le magazine Terre de Vins pour donner à Bordeaux « un événement grand public qui ouvre le temps des fêtes de fin d’année. » L’année dernière,
5 200 visiteurs ont été accueillis et, dans le sillage de ce succès, Rodolphe Wartel, le directeur du magazine, annonçait le lancement du Lille Tasting qui s’est tenu en juin dernier. Cette troisième édition bordelaise présentera 120 bordeaux (crus classés des deux rives et châteaux de référence), 20 maisons de Champagne, 15 “grands invités” d’autres régions françaises et, c’est une première, 10 “grands étrangers” (Espagne, Nouvelle Zélande, Japon, Chili, Argentine). Gérard Basset, meilleur sommelier du Monde, animera des masterclass autour de vins de légende (35 à 150 €), l’Ecole du vin de Bordeaux proposera des initiations à la dégustation et les verres de la cristallerie Riedel seront à nouveau de la partie (6 500 verres Riedel ont été utilisés et offerts aux visiteurs en 2013). Le programme complet est .
 
Bordeaux Tasting 2014, Palais de la Bourse
samedi 13 décembre (10h-19h) et dimanche 14 décembre (10h-18h).
25 € l’entrée sur place + verre Riedel + abonnement à Terre de Vins (ou 21 € ici)



C.Thieux L’édition 2014 du « Hameau enchanté » de Duboeuf déroulera jusqu’au 7 janvier 2015 ses 400 m2 de fresques de la salle des pas perdus du Hameau Dubœuf. C’est l’artiste illustrateur David Giraudon qui a imaginé et dessiné ce conte pour enfants dont l’héroïne est une petite fée nommée Étincelle (en savoir plus ici). De « château-lustre» en « cage aux cadeaux » saupoudrés de lutins, cette histoire se parcourt tous les jours de 10 h à 18 h (accès libre et gratuit). Fort du succès rencontré en 2013, la « boum costumée » de Noël est rééditée cette année pour les enfants à partir de trois ans. Elle aura lieu le samedi 20 décembre de 15 h à 18 h 30 (15 € par participant, sur réservation).


Hameau Duboeuf, 796 route de la gare, 71570 Romanèche Thorins.
Tél. : 03 85 35 22 22