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Une soirée en Italie



italielegrand


Les dégustations du mardi reprennent en beauté dès ce soir chez Legrand Filles & Fils. Au programme
d’une série consacrée à l’étude des terroirs, place aux grands vins du nord de l’Italie, et du Piémont en particulier, que la maison considère faire partie « des plus grands rouges, au même titre que les grands vins de Bordeaux, Bourgogne ou de la Vallée du Rhône. » Poursuivant méthodiquement ses investigations pour défricher « cette fascinante région », elle proposera ce soir une sélection de Barbera, Barolo et Barbaresco d’anthologie, ainsi que les rouges en biodynamie de Foradori, dans le Trentin. Un grand voyage qui sera animé par Jean-Emmanuel Simond. Participation, 100 €. Plus de renseignements et réservation ici.

Les vins :

– Dolcetto 2011 Sandrone
– Barbera d’Alba 2010 Sottimano
– Barbera d’Alba 2010 Conterno
– Granato 2008 Foradori
– Langhe Nebbiolo 2010 Sottimano
– Nebbiolo d’Alba Valmaggiore 2010 Sandrone
– Barolo Castiglione 2009 Vietti
– Barbaresco Pajé 2007 Roagna
– Barolo Cannubi Boschis 2000 Sandrone

Pendant que j'y pense #25

Fonsalette syrah 99

Un côtes-du-rhône
Une cuvée 100 % syrah du Château de Fonsalette, autre propriété de la galaxie Rayas. Certes, ce n’est pas la cuvée mythique de Fonsalette, mais quelle émotion. Longtemps, je n’ai pas mordu aux vins d’Emmanuel Reynaud (le grand rayas mis à part), je n’y comprenais rien et, poussé par Thierry Desseauve qui voue une passion à ces vins, j’ai vingt fois recommencé l’expérience sans plus de succès. Jusqu’à cette bouteille d’exception. Et j’en suis bien content. L’impression euphorisante de rejoindre une couche de la stratosphère dont je n’avais pas la clef.

GG96

Un pomerol
Il s’agit de gombaude-guillot 96, en magnum. Un vin d’une belle finesse qui a enchanté une tablée d’amateurs rigolards et tâtillons. Pour ses 17 ans, il porte beau sans marque de vieillissement exagéré. Suave et complet, le magnum se révélera tout petit, on aurait voulu un autre. Gombaude-Guillot, c’est un petit domaine…lire la suite

Qu'est-ce qu'on fait ce week-end ?

Cahors

Deux randonnées en forme de découverte du vignoble sont au programme de la fête de la Saint-Vincent
organisée pour la première fois en 2010 par les vignerons de Saint-Vincent-Rive-d’Olt. Ce dimanche, c’est le
comité des fêtes qui se chargera d’accueillir les participants à cette « Rando Malbec » qui comptera deux parcours différents (difficulté moyenne, quelques passages escarpés). Qu’on choisisse de marcher 8 à 9 kilomètres ou près de 14 kilomètres, les points de vue sur le vignoble, ses terroirs, le causse et le petit patrimoine rural, seront beaux. Ouverture des inscriptions à 7 h 30 (salle des fêtes), départ 8 h 30 pour une balade d’environ 3 h 30.
Tarif : 7 €, plus d’infos ici.

Vallée du Rhône
Incontournable pour les amateurs des vins du nord de la vallée du Rhône, la 86e édition du marché aux vins d’Ampuis – Côte-Rôtie a démarré aujourd’hui et se poursuivra jusqu’à lundi. Des milliers de visiteurs sont attendus (ils étaient près de 14 000 en 2013) pour ces quatre jours de dégustation dédiés aux appellations côte-rôtie, condrieu, cornas, crozes-hermitage, hermitage, saint-joseph et saint-péray. Au total, 200 vins seront présentés
par une soixantaine de maisons. Droit d’entrée : 8 € incluant un verre de dégustation gravé au nom de Côte-Rôtie
et la participation à un tirage au sort. Plus de renseignement .


marchéampuis

Enfin, pour rappel, il se passe également des choses à Reims et dans les Alpes.

Les amis de Miss Glou Glou, #5 Gilles Pons

Gilles Pons

Il y a 15 ans, Gilles Pons quittait Paris pour acheter avec sa femme Pascale un vieux mas provençal et quelques vignes. Aujourd’hui, ils en possèdent 35 hectares et le domaine s’appelle Château Les Valentines. Leurs vins, en côtes-de-provence-lalonde, connaissent un franc succès. Dans cette histoire, il y a beaucoup d’amour.

Vous avez tout fait à deux en amoureux ?
Ce domaine, c’est notre troisième enfant. C’était une volonté commune, de A à Z. Quand on a mis les mains dans ce projet, on a dû y mettre les bras, puis tout le corps. Pour être très franc, notre première idée était de pouvoir faire ça à mi-temps. Comme beaucoup de citadins, je crois. Mais personne n’avait jamais vinifié sur ce mas, le raisin allait à la coopérative. On est parti d’une page blanche, on s’est laissé guider par nos envies. Donc on s’y est consacré à 100% et voilà.

Comment avez-vous inventé les noms ?
D’abord on s’est creusé la tête pour trouver un nom de domaine, parce qu’il n’y en avait pas. On a mélangé les prénoms de nos enfants, Valentin et Clémentine, pour créer Les Valentines. Un vin d’amoureux. En plus, par le plus grand des hasards, notre tout premier vin, notre 1997, a été prêt le jour de la Saint-Valentin.
Les noms de cuvées viennent de nos expériences dans les vignes. « Bagnard », c’est une plantation qu’on a fait pendant trois semaines, quasiment jour et nuit. On nous avait livré des jeunes plants mais notre terrain était envahi de cailloux. On avait très peu de temps et on a levé les pierres à la main comme des bagnards. « La punition », c’est l’histoire d’une parcelle de vieux carignans laissés à l’abandon. Quant on l’a récupérée, on avait 50 à 60 micro-grappes par pied de vigne. Avec les vendangeurs, on passait 15 à 20 minutes sur chacun. Le nom s’est imposé.

Vous avez découvert les joies de l’ administratif.
Le rapport entre l’administration et le monde vigneron est catastrophique. Les vignerons de plus de 75 ans sont en train de lâcher prise, les enfants ne veulent pas reprendre parce que la pression administrative et informatique est épouvantable. Il y a deux ans, je me suis énervé. Pour la troisième fois dans la semaine, quelqu’un me contactait pour venir contrôler mes surfaces et j’avais fait le compte : huit structures en tout dans l’année viennent mesurer. Mais sur les huit administrations, personne n’a trouvé la même surface. Et encore, on n’a que 35 hectares… Enfin, entre 35 et 40. C’est kafkaïen.

Comment vous vous détendez ?
En se promenant dans le monde avec nos bouteilles. On discute, on échange, on fait goûter. Par exemple, on est très bien distribué aux Maldives, c’est assez fou. On y va tous les 18 mois car c’est notre gros marché d’export. Une bouteille sur un ponton au coucher de soleil sur l’île la plus au sud des Maldives, c’est assez magique, je n’ai pas trouvé plus romantique.

Le vin et vous – l’anecdote honteuse :
Nous les vignerons, quand on voit quelqu’un se servir un rosé piscine, avec des glaçons, ça nous fait mal au ventre. Parce qu’on se bat pour faire des vins élégants. Mais bon, quand je vais faire du bateau avec les copains au large de Porquerolles, on n’hésite pas à rajouter de l’eau pétillante dans le rosé. Parce que ça désaltère super bien. Mais il ne faut pas le dire, hein.

Cet interview a été publié le 1er décembre sous une forme différente dans Mes Dimanches Vin, le supplément mensuel du Journal du Dimanche.

Jeanjean, toujours plus haut



caussedarboras
Déjà en charge de plus de 357 hectares de vignobles en Languedoc, dont Mas de Lunes et Devois des Agneaux
en AOP languedoc, Domaine de Fenouillet en AOP faugères, Domaine du Landeyran en AOP saint-chinian, Mas Neuf en AOP muscat-de-Mireval ou encore Domaine Le Pive en vin de pays des Sables, Vignobles Jeanjean, la filiale d’Advini* fondée en 1870 à Saint-Félix de Lodez a signé fin décembre l’acquisition du domaine du Causse D’Arboras, en association avec des investisseurs d’Advini.

Située sur un plateau d’éclats calcaires planté à haute densité, à plus de 320 mètres d’altitude, cette propriété découpée par une faille naturelle au cœur du terroir sauvage des Terrasses du Larzac s’étend sur 16 hectares.
Avec cette acquisition, Vignobles Jeanjean élargit sa palette de grands vins du Languedoc et poursuit ainsi une quête historique pour révéler et magnifier, grâce à une viticulture respectueuse de l’environnement, toute l’authenticité et la richesse des terroirs languedociens. Pour Advini, c’est la poursuite d’une stratégie de montée
en gamme, dans laquelle s’inscrivait également le rachat du Clos de Paulilles par la Maison Cazes, une autre
de ses filiales, il y a tout juste un an.


* Né en 2010 de la fusion de Jeanjean SA et Laroche SA, le groupe Advini représente plus de 1 700 hectares de vignobles, à Châteauneuf-du-Pape (Ogier), à Saint-Emilion (Antoine Moueix), à Chablis (Laroche), à Cahors (Rigal), en Provence (Gassier), en Languedoc (Jeanjean, Laroche) et en Roussillon (Cazes). Cet acteur de référence sur les vins français de qualité exporte ses marques dans plus de 90 pays. Le groupe est également présent dans les vins du Nouveau Monde avec Viña Casablanca au Chili, une propriété de 150 hectares, en partenariat avec Santa Carolina et L’Avenir, une propriété œotouristique de 70 hectares en Afrique du Sud.

Crédit photo : Mathias LECLERC (Altaïr-prod)

Le cognac, encore leader à l’export en 2013


Dans un contexte de ralentissement économique mondial, les expéditions de cognac se maintiennent à un niveau élevé en 2013 avec 13,4 millions de caisses, soit 161,4 millions de bouteilles. La baisse en volume est de 4 %,
mais les résultats en valeur restent stables (+ 0,2 %). Pour la deuxième année, le cognac confirme sa place de leader des exportations françaises du secteur des vins et spiritueux. Le poids relatif de chacune des qualités dans ces expéditions est resté stable. Le VS représente 44,8 %, le VSOP 41,2 % et les plus vieilles eaux-de-vie, 14 %.

La zone de l’ALENA (accord de libre-échange nord-américain signé entre le Canada, les États-Unis et le Mexique en janvier 1994) a enregistré une progression de 2,1 % en volume et de 5,3 % en valeur, et affiche un total de 53,4 millions de bouteilles expédiées. Plus précisément, les expéditions aux Etats-Unis ont augmenté de 1,9 % en volume et de 5,1 % en valeur. S’il demeure le premier marché en volume et valeur du cognac avec 56,5 millions
de bouteilles expédiées, l’Extrême-Orient* a vu ses exportations diminuer de 9,8 % en volume et de 3,8 % en valeur, un ralentissement qui intervient après une dizaine d’années de croissance soutenue.

L’Europe** représente 43,1 millions de bouteilles expédiées, en recul de 5,3 % en volume et de 0,7 % en valeur.
On note une augmentation en volume à l’Est (+ 3,1 %) et une stabilité en valeur à l’Ouest (- 0,1 %). Enfin, le continent africain est une zone en plein essor (+ 26,7 %, 3,2 millions de bouteilles expédiées) d’où émergent de nouveaux pays consommateurs comme le Nigeria ou l’Afrique du Sud.

* Asie du Sud-Est (Corée du Sud, Hong Kong, Malaisie, Singapour, Taïwan, Thaïlande), Chine, Japon.
** Continent européen, dont Europe de l’Est et pays Baltes (Russie, Estonie, Lituanie, Lettonie, Bulgarie, Biélorussie, Hongrie, Moldavie, Pologne, République Tchèque, Roumanie, Serbie, Slovaquie, Ukraine).

Les amis de Miss Glou Glou,#4 Ronan Laborde

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À 33 ans, Ronan Laborde dirige Château Clinet depuis dix ans et a fait passer son chiffre d’affaires de 1,3 à 7 millions dans le même temps. Aujourd’hui, il commercialise les deux vins de Château Clinet ainsi qu’un vin de négoce : Ronan by Clinet. C’est un jeune homme très décidé.

On ouvre une bouteille d’Especiosa Seposito ?
Vous êtes bien renseignée, mais non. C’est un cas à part. En 2009, on a acheté une barrique à un tonnelier qui venait d’un arbre tricentenaire, très rare. On en abat un par an pour faire 55 barriques. On a voulu y faire naître un vin d’exception : 100% merlot, des vieilles vignes de 80 ans. À la base, l’idée est de faire le meilleur vin possible. C’est subjectif, bien sûr, mais on a envie de vins crémeux, sur le fruit, reflets de leur terroir. Nous n’avons que 313 bouteilles. On en a goûté trois entre nous et c’était subjuguant, magique, encore meilleur que château-clinet. Mais on ne le fait pas déguster. Il restera confidentiel.

Vous avez couru le marathon de New York en 2 h 36. Courir, c’est comme faire du vin ?
On peut y voir toutes les analogies. Dans les deux cas, il faut être très patient. Il faut du temps, on ne devient pas le meilleur du jour au lendemain. Il faut travailler. Pour moi c’est un marathon avec les impondérables. Vous avez beau vous entrainer comme il faut, il suffit d’un problème qui vous déstabilise, une blessure, une maladie, une mauvaise digestion, le stress, pour entraver la course. Dans le vin, cet impondérable est le climat.

Quelles est votre grande qualité dans le vin ?
Je sais déceler ce que les gens attendent d’un vin en termes de qualité. Et je suis sur le pont avec le commercial, car j’ai une bonne qualité d’écoute et de compréhension.

En revanche, vos comptes Twitter et Facebook ne sont pas glorieux, une centaine d’abonnés seulement. Qu’est ce qui se passe ?
Je m’y suis inscrit récemment. C’est vraiment moi qui les alimente, personne ne me représente. J’avoue que je suis un peu largué, je préfère le téléphone et surtout la rencontre physique. C’est encore notre moyen privilégié de communiquer.

Je dirai aux gens de s’abonner à votre compte pour vous aider.
Si vous voulez, oui. Mais c’est vrai qu’on doit s’améliorer sur ce plan.

Le vin et vous – l’anecdote honteuse :
Je vais demander à ma fiancée… elle ne trouve pas de truc honteux… bon, ça ne fait que ans ans qu’on est ensemble. Ah oui. Parfois je suis un peu too much. J’ai fait un truc pas bien il y a peu. On a une parcelle en face du syndicat viticole de Pomerol et j’y ai planté un panneau pour mes vins. Juste devant la boutique de vins du syndicat. Je l’ai enlevé rapidement. Je me demande quand même comment j’ai pu faire ça, j’étais un peu honteux. J’ai envoyé mes excuses au président du syndicat de Pomerol. Dans notre environnement, je suis sûr que certains se demandent : « pour qui il se prend, ce petit con ».

Cet interview a été publié le 1er décembre sous une forme différente dans Mes Dimanches Vin, le supplément mensuel du Journal du Dimanche.

Bonheur d’hiver



Deep Diner

Pour la deuxième année, le domaine Les Crayères à Reims propose dès sa réouverture, demain soir, un menu
à la gloire de la terre, pour célébrer la truffe autant que le renouveau du cycle végétatif de la vigne. Les deux Philippe qui officient en ces lieux, Mille et Jamesse (son portrait ici), signent une proposition faite d’accords entre
les fascinantes saveurs du diamant noir et l’harmonie de deux millésimes de Krug Grande Cuvée, conçue comme une « immersion culinaire et œnologique. » A propos de cet éphémère Deep Dinner, Margareth Henriquez, présidente et directrice Générale de la Maison Krug, parle d’une véritable mise en valeur de la truffe par Philippe Mille, « en risotto, entière ou râpée », dans un menu en quatre temps envisagés comme autant de variations autour de ce produit d’exception. 


Hervé Fort, le directeur général du Domaine Les Crayères, rappelle quant à lui que le style Krug « c’est la tension harmonieuse des contrastes, l’équilibre entre puissance et finesse. Tout en alliant une longueur et une vivacité particulières, il exprime une présence et une persistance harmonieuses. Son raffinement subtil se dévoile dans la délicatesse extrême des bulles, rappelant au palais qu’il goûte un champagne d’exception. » Comprenant que l’essence du champagne était le plaisir, Joseph Krug décida d’aller au-delà du millésime et de transcender les conventions de l’assemblage en créant sa Grande Cuvée, « le champagne le plus généreux au monde, d’une élégance rare, impossible à façonner avec ce que la nature donne en une seule année. »

Menu Deep Dinner, restaurant gastronomique Le Parc, du 15 janvier à fin février.
350 euros par personne, réservation au 03 26 24 90 00.

Blanc comme neige



fuméesblanches

Du 15 janvier au 2 février, une caravane de cinquante chevaux va sillonner les Alpes à l’occasion de la tournée hivernale du BMW Polo Masters Tour en Savoie et Haute-Savoie, au cours duquel les plus grands joueurs internationaux s’affronteront sur les pistes enneigées de trois grandes stations, Val d’Isère (15 au 18 janvier), Megève (23 au 26 janvier) et Courchevel (du 30 janvier au 2 février). Ce tournoi de polo le plus « élevé » au monde, dont les 21 matches se joueront à plus de 2 000 mètres d’altitude, est aussi le seul événement français
de polo sur neige.

C’est une des raisons qui ont poussé François Lurton à en devenir un partenaire officiel, avec son vin Les Fumées Blanches (IGP côtes-de-gascogne), un assemblage de 127 échantillons de sauvignon blanc issus du Gers, créé en 1998. Engagé dans la préservation des plus beaux milieux naturels, montagne ou océans, François Lurton a déjà fait de ce vin éco-responsable, élaboré selon une charte qui limite les empreintes H2O et carbone à toutes les étapes de production (du vignoble à la mise) le partenaire de deux éditions successives de l’Urban Plagne
(festival de films freeski et outdoor). Depuis la station Plagne Montalbert en est devenu l’ambassadeur.

Sandrine G, homme de l’année

Sandrine Goeyvaerts reçoit son prix

Belle soirée chez les collègues de la Revue du vin de France. Il y avait (presque) tout le monde et on s’est bien marré. C’était pour « Les hommes de l’année », les distinctions remises par la Rédaction de la RVF a des gens qui le méritent. Il n’y avait que des méritants, mais il n’y avait pas que des hommes. Je ne vais pas vous épeler le palmarès, il y a des sites pour ça.

Sandrine Goeyvaerts reçoit son prix
Sandrine Goeyvaerts reçoit son prix

Moi, j’étais venu pour le sacre de Sandrine de Flandres, blogueuse internationale à l’enseigne de La Pinardothek. Elle nous a fait son petit discours, drôle et sympa, même pas émue, elle a quand même dit le mot « sexe », on ne se refait pas, les gens ont ri.
Le vigneron de l’année, on l’a vu…lire la suite