Jusqu’alors directrice marketing et communication des vignobles Fayat, Camille Poupon, 39 ans (photo), vient de prendre la direction du marketing stratégique des vignes Olivier Decelle. Situées dans quatre régions différentes, celles-ci sont constituées par les 170 hectares de Mas Amiel (Roussillon), les 18 hectares du château Jean Faure (grand cru classé de Saint-Émilion), les 7,5 hectares de Decelle-Villa (Bourgogne) et les 11 hectares du vignoble de Boisseyt (Rhône-nord), domaine historique de l’AOC côte-rôtie repris par Olivier Decelle en septembre 2017.
Avec pour objet la mise en oeuvre de projets de développement sur l’ensemble de ces propriétés, ce recrutement intervient dans le cadre d’une structuration des domaines qu’Anne et Olivier Decelle ont acquis depuis plus de vingt ans. Dans le même ordre d’idée, la direction générale du château Jean Faure avait été confiée l’an passé à Marie-Laure Latorre, œnologue, ingénieure-agronome et ancienne acheteuse pour un important négoce de Bordeaux. Au printemps dernier, c’est leur fils aîné, Romain Decelle, qui a pris la direction du domaine de Boisseyt. Autant de décisions qu’Olivier Decelle résume par ces mots : « Préparer l’avenir, s’assurer de transmettre. »
Dans le but de mener « une démarche commune en faveur de la biodiversité », les producteurs réunis au sein de la structure Vignerons Ardéchois (union qui concerne environ 85 % de ce vignoble) et la Ligue pour la protection des oiseaux Auvergne-Rhône-Alpes (LPO – AuRA*) ont signé une convention de partenariat. Déjà très engagée sur tous les plans, économique, environnemental, touristique, agronomique, etc., l’activité viticole ardéchoise fait la démonstration d’une réelle amélioration du vignoble du fait des pratiques adoptées par ses vignerons depuis plusieurs années (la charte Ardèche par Nature, dont nous vous avions parlé ici, a été mise en place en 2016).
Considérant que l’aspect environnemental est « d’une importance capitale pour les générations futures, mais aussi pour l’image du département de l’Ardèche et pour son attrait en matière touristique », l’union des vignerons ardéchois accompagne les domaines dans leur transition vers l’agriculture bio et vise la certification HVE de la quasi-totalité du vignoble à l’horizon 2025. Mais le chemin à parcourir pour intégrer au mieux la biodiversité au sein des exploitations est aussi long qu’il est ambitieux. Ce partenariat avec la LPO permettra de développer trois axes principaux ces prochaines années, « dont deux auront pour objets principaux de sensibiliser le public sur la biodiversité dans les vignobles. »
Outre l’installation de refuges LPO, le projet prévoit un programme en faveur de la biodiversité sur et aux abords des parcelles qui ira de la formation des vignerons à la créations d’habitats favorables aux espèces. Les actions en cours depuis le printemps dernier ont permis l’observation de diverses espèces d’oiseaux, dont la Pie-grièche à tête rousse et le Pipit rousseline, caractéristique des milieux méditerranéens ouverts, et le recensement de 37 espèces de papillons de jour. Des pièges-photos ont révélé la présence sur le vignoble de sangliers, renards, blaireaux et chevreuils et des enregistreurs d’ultrasons ont été installés afin de déterminer les espèces de chauves-souris fréquentant les vignes (à ce propos, lire notre article La chauve-souris, amie du vignoble).
*Association loi 1901, à but non lucratif, la LPO Auvergne-Rhône-Alpes a pour objet d’agir dans les domaines de la recherche, de la connaissance, de la protection, de la conservation, de la valorisation et de la reconquête de la biodiversité. Elle est apolitique, indépendante et revendique intégrité et transparence dans son action. La LPO AuRA dispose des agréments de protection de l’Environnement et de représentativité aux instances régionales. Un conseil d’administration composé de 19 administrateurs définit les actions mises en oeuvre dans les 8 délégations territoriales au bénéfice de tous les citoyens. La base de données participative contient 16 millions de données naturalistes grâce à la participation de 11 760 contributeurs. La maîtrise complète de ces données, de la collecte à la validation, nécessite le savoir-faire propre à la LPO AuRA. L’association contribue ainsi à l’observation, à la compréhension et au suivi de l’évolution de la biodiversité afin d’assurer la sauvegarde des espèces sauvages et de leurs habitats.
Lancé en 2016, le bouchon NDtech d’Amorim, leader mondial du liège avec une production de 5,5 milliards de bouchons en 2018, est désormais assorti d’une version destinée aux vins effervescents déclinée en trois références, deux pour le bouchage d’expédition (Classic et Iconic) et un bouchon de tirage. Composé d’un corps en liège aggloméré obtenu par moulage individuel et de deux rondelles de liège naturel, ce bouchon est issu de la même technologie que son prédécesseur pour vins tranquilles et bénéficie ainsi d’une garantie individuelle “sans TCA relargable”*. Selon Franck Autard, directeur général d’Amorim France, « cette déclinaison de NDtech pour le bouchage des vins effervescents était très attendue par le marché. »
Contrôle qualité certifié
Cette innovation permet d’apporter aux acteurs de la filière vinicole ainsi qu’aux consommateurs « la garantie de solutions de bouchage pour les vins tranquilles et effervescents les plus sécurisées et durables au monde. » Amorim s’est tenu en première ligne de la lutte contre le TCA par l’application de normes de production rigoureuses et de méthodes de contrôle de qualité certifiées. Venant s’ajouter aux mesures existantes, NDtech peut détecter avec une exceptionnelle précision tout bouchon contenant plus de 0,5 nanogramme de TCA par litre, qui est alors automatiquement retiré de la ligne de production. Le développement de cette technologie a exigé huit ans de travail et un investissement de 15 millions d’euros. Deux mille maisons de vin dans le monde ont déjà adopté NDTech, « renforçant ainsi le rôle emblématique du liège naturel pour le bouchage des vins. »
Empreinte carbone négative
Basée au Portugal, le groupe Amorim fournit en bouchons plus de 18 000 clients dans 82 pays. Son engagement dans le développement durable et l’économie circulaire a récemment été mis en évidence par les résultats d’une étude menée par PriceWaterhouseCoopers (PWC). Portant sur le bilan carbone du bouchon Neutrocork d’Amorim, cette dernière a calculé son empreinte de sa production à sa distribution au Royaume-Uni. Menée selon la méthodologie de l’analyse du cycle de vie, l’étude de PWC montre que l’un des facteurs clé pour assurer l’empreinte carbone négative de ce bouchon (- 392g de CO2) réside dans la forêt de chêne-liège, véritable puits de carbone. Un constat partagé par une autre étude menée par l’université d’Aveiro.
L’écorce du Quercus Suber
Franck Autard précise que chaque tonne de liège récoltée par Amorim retient 73 tonnes de CO2 : « Quand on sait qu’un chêne-liège vit en moyenne 200 ans et qu’il sera écorcé tous les 9 ans, on peut mesurer la contribution apportée par l’industrie du liège dans le développement durable ! » Vivier de biodiversité abritant plus de 200 espèces animales et 135 espèces végétales, les subéraies contribuent également au contrôle de l’érosion, à la régulation du cycle hydrologique et à la lutte contre la désertification et le réchauffement de la planète. Elles couvrent 2,2 millions d’hectares situés dans le bassin méditerranéen. Le Portugal en accueille la plus grande partie avec 736 000 hectares. Si la première récolte se pratique une fois que l’arbre a 25 ans, ce n’est qu’à la troisième que le liège obtenu peut devenir bouchon. L’arbre a alors 43 ans.
*Teneur en TCA relargable égale ou inférieure à la limite de quantification de 0,5 ng/l ; analyse réalisée selon la norme ISO 20752.
L’équipe Bettane+Desseauve arpente le vignoble tout au long de l’année pour dénicher les futurs vignerons stars et confirmer le niveau des domaines et châteaux déjà reconnus. Chaque mois, le Club du Grand Tasting by iDealwine met en lumière un des coups de cœur de nos dégustateurs sur le site d’iDealwine. Après Orphée du Domaine des Poëte, le rosé du Château Revelette, voici une troisième pépite, la cuvée sans soufre ajouté « Nuit d’ivresse » du Domaine Catherine et Pierre Breton.
Véronique Raisin, notre experte bien nommée, a sélectionné trois vins en vente pendant la Foire aux vins chez nos amis d’iDealwine. Un riesling allemand, un languedoc top et un gevrey-chambertin de chez…
Vite, c’est jusqu’au 1er octobre 2019.
L’automne, c’est le belle saison du vignoble et en Bourgogne, les professionnels comme les amateurs de vin s’y retrouvent chaque année pour participer à de nombreux événements viticoles, notamment la vente des vins des Hospices de Beaune, dont nous vous reparlerons à l’heure dite. En attendant, la rentrée rondement menée, le beau temps incite à nouveau aux escapades. Et c’est à un voyage hors du temps que l’historique maison Joseph Drouhin convie « tous ceux qui s’intéressent aux vins de Bourgogne », mais aussi à l’histoire et à l’architecture. Patrimoine transmis de génération en génération depuis près de 140 ans, l’institution bourguignonne sur laquelle veillent Philippe, Frédéric, Véronique et Laurent Drouhin possède en effet des caves faisant partie des plus anciennes de Beaune.
Ces lieux où sont élevés, aujourd’hui encore, une partie des vins de la maison offrent aux visiteurs « un merveilleux voyage dans le passé en plein cœur de la ville historique » et leur visite permet de lire à livre ouvert dans l’histoire de la Bourgogne, depuis l’époque romaine jusqu’à nos jours. Organisé sur rendez-vous, ce parcours commenté est accessible tous les jours (plus de détails ici). Précisons que le “Maurice Drouhin Tour” dévoile l’histoire de ce dernier durant la Deuxième Guerre mondiale, « à travers les Hospices de Beaune et les caves secrètes de la maison. » Les visites, dégustations, balades dans le vignoble et autres propositions (accords mets-vins, concerts, etc.) organisées tout au long de l’année par la maison sont à découvrir sur le site de l’œnothèque Joseph Drouhin.
Ouvert toute l’année du lundi au samedi, de 9 h 30 à 18 h, cet endroit propose par ailleurs une sélection de vins de la maison « couvrant l’ensemble de la Grande Bourgogne, Chablis, Côte de Nuits, Côte de Beaune, Côte Chalonnaise, Mâconnais, Beaujolais, sur des millésimes récents et anciens, en bouteille ou grands formats (magnum, jéroboam, mathusalem). » Les vins des domaines Drouhin Oregon, Cloudline et RoseRock y sont également disponibles.
Les vignes de chenin, chardonnay, pinot noir et merlot sont plantées à côté de Davron, dans la plaine de Versailles (Yvelines).
Si le chai installé il y a quatre ans fut une première étape dans le renouveau d’une tradition que la capitale avait perdue depuis quelques décennies, la Winerie Parisienne fondée par Adrien Pélissié, Julien Bengué et Julien Brustis passe un cap supplémentaire en cette rentrée avec le lancement de ses premières vendanges. Après les raisins issus de grandes régions viticoles françaises sélectionnés pour être vinifiés aux portes de Paris, voici que ce trio de passionnés s’apprête à récolter les fruits de la vigne qu’ils ont plantée en 2017 dans la plaine de Versailles, à Davron. « Premier vignoble professionnel d’Ile-de-France depuis la crise phylloxérique », ce domaine tricote une nouvelle histoire viticole dans une région qui fut jusqu’à la fin du XIXe siècle l’un des plus grands vignobles de France, avec 40 000 hectares de vignes.
Julien Brustis, Adrien Pélissié et Julien Bengué, les trois fondateurs de la Winerie parisienne, ont réalisé leur rêve : ils vont produire un vin 100 % francilien.
Les premiers vins en 2020
Ce nouveau vignoble, qui intègre « les enjeux de la viticulture de demain » en alliant précision, savoir-faire traditionnel et respect de l’environnement, a été inauguré la semaine dernière en présence de Pierre Bédier, président du conseil départemental des Yvelines. Projet soutenu, entre autres partenaires, par bettane+desseauve, le domaine de la Winerie Parisienne compte pour le moment dix hectares et la première récolte (issue des cépages chardonnay, chenin, pinot noir et merlot) donnera des vins 100 % issus de l’agriculture francilienne. En attendant la certification bio qui interviendra au prochain millésime, au sortir des trois années de conversion exigées. En jachère depuis quinze ans, la parcelle choisie par la Winerie a en effet été entretenue mécaniquement sans produits chimiques de synthèse.
Le millésime 2019 en Ile-de-France
« Les conditions ont été particulièrement propices à la viticulture. Le cycle de la vigne a démarré fin avril, des nuits fraîches en mai ont conduit à un développement sans avance jusqu’à fin juin où soleil et pluie s’équilibrent, permettant une belle floraison mi-juin. L’ensoleillement en juillet a permis à la végétation de s’épanouir sans souffrir de la sécheresse grâce à l’argile des sols. Chaque cépage dispose de son rythme et de ses spécificités et les raisins devraient être dans des conditions optimales fin septembre et début octobre. » Avec un objectif de 10 000 bouteilles pour ce premier millésime, et en visant à terme une production approchant les 150 000 cols, la Winerie Parisienne proposera des cuvées mono-cépage afin d’offrir l’opportunité aux amateurs de redécouvrir ces cépages connus « sur un nouveau territoire avec une nouvelle typicité. »
L’engagement du département des Yvelines
Président du conseil départemental des Yvelines, Pierre Bédier souligne l’importance de l’agriculture locale : « Nous sommes fiers de nos agriculteurs. Ils sont indispensables au dynamisme économique des Yvelines, ils font vivre de nombreux villages. On leur doit la qualité de notre alimentation, la diversité de nos paysages et la richesse de nos terroirs. » Pour maintenir une agriculture de qualité, respectueuse de l’environnement et compétitive, ce département qui se place au second rang des départements agricoles d’Ile-de-France apporte depuis de nombreuses années des soutiens significatifs (500 000 euros d’aide aux agriculteurs par an). Le conseil départemental subventionne des projets d’investissement des entreprises agricoles en lien avec la chambre d’agriculture et soutient les agriculteurs (blé) engagés dans une démarche éco-responsable pour diminuer l’utilisation de produits phytosanitaires.
Une dégustation musicale et un dîner étoilé signé Julien Lefebvre dans le cadre mythique des studios Ferber, c’est l’expérience proposée aux amateurs à l’occasion de la deuxième édition des Echappées Krug, qui mettra à l’honneur le champagne Krug Grande Cuvée 167e édition. Grand amateur des champagnes de la maison, le chef de Cordeillan-Bages était notamment au Mexique en janvier dernier avec le chef de cave Eric Lebel et douze autres chefs des “Ambassades Krug” pour un voyage à la découverte du piment, l’ingrédient sélectionné par la maison cette année. Dans ce “studio culinaire” installé au cœur de Paris le temps de trois dîners, les accords harmonieux de cet amoureux d’un terroir gourmand et vivant, « très attaché à la valorisation du travail des producteurs », résonneront tout en nuances. Si la proposition réjouira le gastronome, elle est aussi résolument mélomane.
Le champagne en musique, c’est pas pareil
C’est en effet sur la base d’un partenariat avec l’Ircam (Institut de recherche et coordination acoustique/musique) que la maison Krug s’apprête à prouver à l’amateur ce que des études récentes de l’université d’Oxford ont révélé : un contexte musical enrichit le goût et modifie la perception des arômes. Il a fallu dix-huit mois de travail aux œnologues de la maison et aux chercheurs de l’institut pour développer les sons illustrant les vins récoltés dans chaque parcelle. Rappelons que pour Krug Grande Cuvée 167e édition, Eric Lebel a auditionné 250 vins issus des vendanges et 150 vins de réserve issus de plus de dix années différentes, pour finalement réunir 191 vins de treize années différentes (le plus jeune date de 2011 et le plus vieux, de 1995) en une même œuvre, celle imaginée par Joseph Krug, fondateur de la maison en 1843, et sans cesse réinventée depuis.
Les Echappées Krug – Studio culinaire
Studios Ferber (Paris XXe), les 24, 25 et 26 octobre 2019
Informations et réservations sur krug.com/fr
Nous tenons à rectifier le nombre d’étoiles attribuées à Tardieu Laurent dans la vallée du Rhône, il s’agit bien de cinq étoiles et non de quatre. Ce producteur remarquable n’a jamais aussi bien travaillé ! Toutes nos excuses à Michel, Bastien et Camille Tardieu et à nos lecteurs.
Installée à la pointe de la côte des Blancs, « terre des grands chardonnays », la maison menée depuis 1991 par Carol Duval-Leroy célèbre cette année l’apport des six générations qui ont fait de ce domaine champenois resté familial et indépendant un modèle de durabilité. Désormais entourée par ses fils Julien, Charles et Louis, « une relève fidèle et ambitieuse », Carol Duval-Leroy est convaincue que l’excellence de la maison réside dans trois valeurs fondamentales : « protéger, perfectionner, transmettre. »
Affirmant au fil du temps ses partis pris et sa sensibilité, elle a fait de Duval-Leroy l’une des seules maisons dirigées par des femmes. Main dans la main avec la chef de cave Sandrine Logette, entrée dans la maison au poste de responsable qualité en 1991 et maître d’œuvre de l’obtention de la certification ISO 9002 (une première à l’époque pour une maison de vin), Carol Duval-Leroy a développé les vinifications parcellaires, « permettant ainsi l’élargissement de la palette des vins et la création de cuvées d’exception. » Par exemple, Femme de Champagne, qu’elles ont imaginée ensemble.
Portée par le respect de son terroir de premiers et grands crus champenois, la maison Duval-Leroy a compris très tôt l’importance d’un vignoble biologique et, tout naturellement, fût parmi les premières a proposer un brut certifié AB. Elle a également créé il y a dix ans le prix du meilleur jeune sommelier de France, organisé tous les deux ans avec l’Union de la sommellerie française, et lancé en 2013 une cuvée baptisée M.O.F., élaborée en partenariat avec les meilleurs ouvriers de France en sommellerie sur la base de « l’exceptionnelle vendange 2008. »
Carol Duval-Leroy et la chef de cave de la maison, Sandrine Logette.
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